Tant qu'a duré leur vie ils semblaient quelque chose; Toute leur vanité. Parle, parle, seigneur, ton serviteur t'écoute. Parle donc, ô mon Dieu! ton serviteur fidèle Et trouve les douceurs de la vie éternelle Parle, pour consoler mon âme inquiétée; Pour t'élever de terre, homme, il te faut deux ailes, La pureté de cœur et la simplicité. Elles te conduiront avec facilité Jusqu'à l'abîme heureux des clartés éternelles. Viens, mon Dieu, viens, sans demeure! Tant que je ne te vois pas, Il n'est point de jour ni d'heure Où je goûte aucun appas. Ma joie en toi seul réside; Sous les misères humaines, Et tout chargé de leurs chaînes, Je languis comme en prison, Jusqu'à ce que ta lumière Et que ta faveur entière Jusqu'à ce qu'après l'orage La nuit faisant place au jour, Qui ne soit pour moi qu'amour. Corneille a porté à un point de perfection jusqu'alors inconnu toutes les formes dramatiques, tragédie, comédie, tragi-comédie, mélodrame, pièce à spectacle, et l'on voit qu'il tient une haute place dans la poésie lyrique. C'est que toutes les grandeurs lui étaient familières et toutes les élévations faciles. La Bruyère a bien dit le mot juste lorsqu'il a écrit : « Ce qu'il y avait de plus remarquable en lui, c'était l'esprit, qu'il avait sublime. » La Comédie ne s'est pas élevée en ce temps à la même hauteur. Cependant on dit beaucoup trop que la Comédie n'existait pas avant Molière. Aussi bien c'est dans la Comédie de ses prédécesseurs que Molière a souvent pris ses meilleures scènes, qui à la vérité ne devenaient excellentes qu'entre ses mains; mais cela suffirait à montrer qu'au moins les comiques de 1630 à 1660 ne manquaient point d'invention. Ce qui a un peu nui à la comédie du XVIIe siècle avant Molière, c'est d'abord qu'elle était très peu estimée et que toute la faveur du public se tournait vers la tragédie; ensuite qu'il n'y a pas un comique de cette époque, si ce n'est Scarron, qui ait été uniquement poète comique. Les comédies étaient faites par les poètes tragiques entre deux tragédies pour lesquelles ils réservaient le meilleur de leur talent. C'étaient leurs délassements et leurs divertissements. C'est ainsi que de Cyrano de Bergerac nous avons le Pédant joué, bouffonnerie touffue et bizarre, mais souvent très gaie, à laquelle Molière a emprunté la « scène de la Galère» et une autre scène des Fourberies de Scapin. conglomer Hous ес te que mabusenay camais ifques a mimagian. girls great feina o de quelque modele on a the face de. vos usus on a la pick la, flick de vos ( un sentiment. For appelle ducisef cunement qu'il no Balzac donte aucunen le plan de ce menus. Qerex oviux age a nous e ident nomme nous la demande ount offerton demence & hut mon commi C'est ainsi que nous avons de Scudéry le Trompeur puni, le Vassal généreux, la Comédie des Comédiens, etc.; de Tristan l'Hermite, la Folie du Sage, le Parasite; de du |