Traité de la poësie françoise

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Chez Jacques Vincent, rue & vis-à-vis l'eglise S. Severin, a l'Ange., 1729 - 292ÆäÀÌÁö

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292 ÆäÀÌÁö - A nos ames & féaux Confeillers , les Gens tenans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel , Grand Confeil , Prevôt de Paris , Baillifs , Sénéchaux , leurs Lieutenans Civils , & autres nos Jufticiers qu'il appartiendra : SALUT.
86 ÆäÀÌÁö - N'a rien d'humain que l'apparence ; Et d'ailleurs il n'est pas si facile qu'on pense D'être fort honnête homme et de jouer gros jeu. Le désir de gagner qui nuit et jour occupe...
292 ÆäÀÌÁö - Dubos ; qu'il fouhaiteroit faire imprimer & donner au Public , s'il nous plaifoit lui accorder nos Lettres de Privilège fur ce...
281 ÆäÀÌÁö - D'Adam nous sommes tous enfans , La preuve en est connue, Et que tous nos premiers parens Ont mené la charrue.
211 ÆäÀÌÁö - Rêvant à cette bagatelle Plus qu'il ne faut de la moitié. Surprife des impertinences . > Que l'on débite -en ce bas Lieu ^ J'y viens faire des remontrances A ces fous qui 'fans connoifiances, Raifonnent comme il plaît à Dieu, Gâtent mes plus belles Sciences.

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