Oeuvres, 2±ÇPaulin, 1836 |
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48 ÆäÀÌÁö
Molière. MOPSE . Que de sottes façons et que de badinage ! Ménalque pour chanter n'en fait pas davantage . LYCARSIS . Parmi les curieux des affaires d'état , Une nouvelle à dire est d'un puissant éclat . Je me veux mettre un peu sur l ...
Molière. MOPSE . Que de sottes façons et que de badinage ! Ménalque pour chanter n'en fait pas davantage . LYCARSIS . Parmi les curieux des affaires d'état , Une nouvelle à dire est d'un puissant éclat . Je me veux mettre un peu sur l ...
75 ÆäÀÌÁö
... chanter , et voir si leur musique n'obligera point cette belle à paroître à quelque fenêtre . SCÈNE IV . ADRASTE , HALI , MUSICIENS . HALI . Les voici . Que chanteront - ils ? ADRASTE . Ce qu'ils jugeront de meilleur . HALI . Il faut qu ...
... chanter , et voir si leur musique n'obligera point cette belle à paroître à quelque fenêtre . SCÈNE IV . ADRASTE , HALI , MUSICIENS . HALI . Les voici . Que chanteront - ils ? ADRASTE . Ce qu'ils jugeront de meilleur . HALI . Il faut qu ...
78 ÆäÀÌÁö
... chanter à ma porte , et sans doute cela ne se fait pas pour rien . Il faut que , dans l'obscurité , je tâche à découvrir quelles gens ce peuvent être . BESEWORTH 7 64 ADRASTE . Hali . HALI . Quoi ? ADRASTE . N'entends - tu plus rien ...
... chanter à ma porte , et sans doute cela ne se fait pas pour rien . Il faut que , dans l'obscurité , je tâche à découvrir quelles gens ce peuvent être . BESEWORTH 7 64 ADRASTE . Hali . HALI . Quoi ? ADRASTE . N'entends - tu plus rien ...
80 ÆäÀÌÁö
... chanter sous nos fenêtres . ISIDORE . Il est vrai . La musique en étoit admirable . DON PEDRE . C'étoit pour vous que cela se faisoit ? ISIDORE . Je le veux croire ainsi , puisque vous me le dites . DON PÈDRE . Vous savez qui étoit ...
... chanter sous nos fenêtres . ISIDORE . Il est vrai . La musique en étoit admirable . DON PEDRE . C'étoit pour vous que cela se faisoit ? ISIDORE . Je le veux croire ainsi , puisque vous me le dites . DON PÈDRE . Vous savez qui étoit ...
188 ÆäÀÌÁö
... chanter un peu d'ici . ( Il chante . ) MERCURE . Qui donc est ce coquin qui prend tant de licence Que de chanter et m'étourdir ainsi ? ( A mesure que Mercure parle , la voix de Sosie s'affoiblit peu à peu . ) Veut - il qu'à l'étriller ...
... chanter un peu d'ici . ( Il chante . ) MERCURE . Qui donc est ce coquin qui prend tant de licence Que de chanter et m'étourdir ainsi ? ( A mesure que Mercure parle , la voix de Sosie s'affoiblit peu à peu . ) Veut - il qu'à l'étriller ...
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ADRASTE AGLAURE ALCMÈNE Allons amant amour AMPHITRYON ANAXARQUE ANGÉLIQUE ARGAN ARISTE ARISTIONE ARMANDE avez beau BÉLINE BÉLISE belle BÉRALDE bergers chanter charmes chose CHRYSALE ciel CLAUDINE CLEANTE CLEANTHIS CLÉONTE CLITANDRE CLITIDAS c©«ur COMTESSE connoître COVIELLE DAPHNE dieu dire DON PÈDRE DORANTE DORIMÈNE DORINE doux ÉLISE ELMIRE ENTRÉE DE BALLET ÉRASTE ÉRIPHILE Est-ce êtes femme fille FROSINE GEORGE DANDIN GÉRONTE grace HARPAGON HENRIETTE homme IPHICRATE j'ai j'en JULIE l'amour LÉANDRE LUBIN LYCARSIS m'en MADAME DE SOTENVILLE MADAME JOURDAIN MAITRE A DANSER MAITRE DE MUSIQUE MAITRE DE PHILOSOPHIE MAITRE JACQUES MARIANE MÉLICERTE MERCURE monde MONSIEUR DE POURCEAUGNAC MONSIEUR DE SOTENVILLE MONSIEUR DIAFOIRUS MONSIEUR JOURDAIN MONSIEUR PURGON MYRTIL NICOLE OCTAVE ORGON ORONTE parler père PHILAMINTE PHILÈNE POLICHINELLE PSYCHÉ raison rien s'il vous plaît sais sauroit SBRIGANI SCAPIN SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII SGANARELLE SOSIE SOSTRATE SYLVESTRE TARTUFE TIRCIS TOINETTE TRISSOTIN VALÈRE veut veux v©«ux voilà vois voudrois voulez-vous yeux
Àαâ Àο뱸
356 ÆäÀÌÁö - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
518 ÆäÀÌÁö - Oui ; mais on y voit des grâces qu'on ne voit point aux autres bouches ; et cette bouche, en la voyant, inspire des désirs, est la plus attrayante, la plus amoureuse du monde.
741 ÆäÀÌÁö - Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d'à présent sont bien loin de ces m©«urs ; Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans, beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comment vont lune, étoile polaire, Vénus, Saturne et Mars, dont je n'ai point affaire...
144 ÆäÀÌÁö - Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable, Un malheureux pécheur, tout plein d'iniquité, Le plus grand scélérat qui jamais ait été. • Chaque instant de ma vie est chargé de souillures...
117 ÆäÀÌÁö - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré ; Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science, Du faux avec le vrai faire la différence ; Et, comme je ne...
118 ÆäÀÌÁö - Et leur âme est portée à juger bien d'autrui. Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre ; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre. Jamais contre un pécheur ils n'ont d'acharnement : Ils attachent leur haine au péché seulement, Et ne veulent point prendre, avec un zèle extrême, Les intérêts du Ciel plus qu'il ne veut lui-même.
741 ÆäÀÌÁö - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes m©«urs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'©«il sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
260 ÆäÀÌÁö - C'est une chose merveilleuse que cette tyrannie de messieurs les maris; et je les trouve bons de vouloir qu'on soit morte à tous les divertissements et qu'on ne vive que pour eux ! Je me moque de cela, et ne veux point mourir si jeune.
98 ÆäÀÌÁö - Si l'emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes, je ne vois pas par quelle raison il y en aura de privilégiés.
117 ÆäÀÌÁö - Et prêchent la retraite au milieu de la Cour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment, De l'intérêt du Ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, Et que leur passion dont on leur sait bon gré. Veut nous assassiner avec un fer sacré.