nous raifonnions mieux que les Anciens
Que les découvertes qui ont le plus enrichi
fique, font dues au hafard, & non pas
cherches méthodiques.
Se&t. 34. Que la réputation d'un fystéme a
fophie peut être détruite. Que celle d'un P
fçauroit l'être.
Se&t. 35. De l'idée que ceux qui n'entenden
les écrits des Anciens dans les originaux, s
vent former.
Se&t. 36. Des erreurs où tombent ceux qui juge
Poeme fur une traduction & fur les remarq
Critiques.
Sect. 37. Des défauts que nous croyons voi
les Poemes des Anciens.
Sect. 38. Que les remarques des Critiques n
point abandonner la lecture des Poemes, &
ne la quitte que pour lire des Poemes meilleurs
Sect. 39. Qu'il eft des profeffions où le fuccès a
plus du génie que du fecours que l'art peut do
& d'autres, où le fuccès dépend plus du fe
qu'on tire de l'art, que du génie. On ne do
inférer qu'un fiécle jurpasse un autre fiécle, q
aux profeffions du premier genre, parce qu
furpaffe, quant aux profeffions du fecond