La comédie en France au XVIIIe siècle, 2±ÇHachette et cie, 1888 - 446ÆäÀÌÁö |
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245 ÆäÀÌÁö
... Bartholo , de Bazile et même du comte Almaviva . « J'ai peur , écrit Voltaire après avoir lu ses Mémoires , que ce brillant écervelé n'ait au fond raison contre tout le monde . Que de friponneries , ô ciel ! que d'horreurs ! que d ...
... Bartholo , de Bazile et même du comte Almaviva . « J'ai peur , écrit Voltaire après avoir lu ses Mémoires , que ce brillant écervelé n'ait au fond raison contre tout le monde . Que de friponneries , ô ciel ! que d'horreurs ! que d ...
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... Bartholo qui a oublié de le reconnaître . Il s'est trouvé jeté sur la grande route du monde , sans asile , sans appui , sans fortune , n'ayant que son esprit pour vivre , faisant flèche de tout bois , maniant tour à tour avec la même ...
... Bartholo qui a oublié de le reconnaître . Il s'est trouvé jeté sur la grande route du monde , sans asile , sans appui , sans fortune , n'ayant que son esprit pour vivre , faisant flèche de tout bois , maniant tour à tour avec la même ...
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... Bartholo , Bazile seront eux - mêmes des types consacrés à l'immortalité . Le rôle de jeune premier , devenu si fade , si langou- reux dans la comédie larmoyante , va se renouveler sous les traits du comte Almaviva . Ce grand seigneur ...
... Bartholo , Bazile seront eux - mêmes des types consacrés à l'immortalité . Le rôle de jeune premier , devenu si fade , si langou- reux dans la comédie larmoyante , va se renouveler sous les traits du comte Almaviva . Ce grand seigneur ...
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... Bartholo , qui l'a si longtemps tyrannisée : Non , non , grâce pour lui , cher Lindor . Mon c©«ur est si plein que la vengeance ne peut y trouver place 2 . Bartholo n'est point un de ces tuteurs imbéciles et crédules comme ceux de la ...
... Bartholo , qui l'a si longtemps tyrannisée : Non , non , grâce pour lui , cher Lindor . Mon c©«ur est si plein que la vengeance ne peut y trouver place 2 . Bartholo n'est point un de ces tuteurs imbéciles et crédules comme ceux de la ...
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... BARTHOLO . te plairai ! Si vous pouviez me plaire , comme je vous aimerais ! Je te plairai , je te plairai ; quand je te dis que je - Nous n'y comptons guère , ni Rosine non plus . Pour compléter le portrait de Bartholo , le peintre en ...
... BARTHOLO . te plairai ! Si vous pouviez me plaire , comme je vous aimerais ! Je te plairai , je te plairai ; quand je te dis que je - Nous n'y comptons guère , ni Rosine non plus . Pour compléter le portrait de Bartholo , le peintre en ...
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284 ÆäÀÌÁö - Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu'ils ordonnent! quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil, je lui dirais...
98 ÆäÀÌÁö - Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions; ils arrachent du fond des c©«urs le remords du crime, l'espoir de la vertu, et se vantent encore d'être les bienfaiteurs du genre humain ! Jamais, disent-ils, la vérité n'est nuisible aux hommes; je le crois comme eux, et c'est, à mon avis, une grande preuve que ce qu'ils enseignent...
353 ÆäÀÌÁö - ... république ? Le plus sûr est pourtant de ne pas s'y fier : Ce même Frédéric, juste envers un meunier, Se permit maintes fois telle autre fantaisie : Témoin ce certain jour qu'il prit la Silésie ; Qu'à peine sur le trône, avide de lauriers, Epris du vain renom qui séduit les guerriers, II mit l'Europe en feu. Ce sont là jeux de prince ; On respecte un moulin, on vole une province A.
284 ÆäÀÌÁö - ... 0 bizarre suite d'événements! Comment 15 cela m'est-il arrivé? Pourquoi ces choses, et non pas d'autres? Qui les a fixées sur ma tête? Forcé de parcourir la route où je suis entré sans le savoir, \ comme j'en sortirai sans le vouloir, je l'ai jonchée.
253 ÆäÀÌÁö - ... l'action principale de la comédie? "Ces caractères, dit-on, sont naturels." Ainsi, par cette règle, on occupera bientôt tout l'amphithéâtre d'un laquais qui siffle, d'un malade dans sa garde-robe, d'un homme ivre qui dort ou qui vomit. Y at-il rien de plus naturel! C'est...
127 ÆäÀÌÁö - Quel état, mon fils, que celui d'un homme qui, d'un trait de plume, se fait obéir d'un bout de l'univers à l'autre! Son nom, son seing n'a pas besoin, comme la monnaie d'un souverain, que la valeur du métal serve de caution à l'empreinte ; sa personne a tout fait ; il a signé, cela suffit.
351 ÆäÀÌÁö - Qui les aimaient jusqu'au trépas ; Deux tendres s©«urs qui, sans débats, Veillaient au bonheur des deux frères, Filant beaucoup, n'écrivant pas. Les deux maisons n'en faisaient qu'une, Les clefs, la bourse était commune, Les femmes n'étaient jamais deux. Tous les v©«ux étaient unanimes ; Les enfants confondaient leurs jeux, Les pères se prêtaient leurs rimes, Le même vin coulait pour eux.
300 ÆäÀÌÁö - Froids humains, non encor vivants, Atomes perdus dans l'espace, Que chacun de vos éléments Se rapproche et prenne sa place, Suivant l'ordre, la pesanteur Et toutes les lois immuables Que l'Éternel dispensateur Impose aux êtres vos semblables. Humains non encore existants, A mes yeux paraissez vivants.
281 ÆäÀÌÁö - Je me crus trop heureux d'en être oublié, persuadé qu'un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal.
76 ÆäÀÌÁö - Et on ne vous a pas encore montré en public, le cou décoré d'un collier de fer de quatre pouces de hauteur ? FRELON : Voilà un homme qui n'aime pas la littérature.