Les ©«uvres de theatre de Monsieur de Brueys: Les empyriques. Patelin. La force du sang. Les quidproquo. Les embarras du derriere du theatre. Paraphrase de l'Art poëtique d'HoraceChez Briasson, 1735 |
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10 ÆäÀÌÁö
... avez commandé de me rendre ici ... ERASTE . Je croyois avoir besoin de toi ; mais va m'at- tendre au logis . PASQUI N. Vous n'êtes pas content , Monfieur ; vous au- rois - je porté malheur le premier jour que je rentre à votre service ...
... avez commandé de me rendre ici ... ERASTE . Je croyois avoir besoin de toi ; mais va m'at- tendre au logis . PASQUI N. Vous n'êtes pas content , Monfieur ; vous au- rois - je porté malheur le premier jour que je rentre à votre service ...
12 ÆäÀÌÁö
... avez toujours demeuré en Flandres , ou en Allemagne , & que vous ne connoiffez plus Paris . Ici , Monfieur , on ne fe fert plus de Medecins . ERAST E. On ne s'en fert plus ? MARTON . Eh ! non , Monfieur , la Medecine eft au billon ...
... avez toujours demeuré en Flandres , ou en Allemagne , & que vous ne connoiffez plus Paris . Ici , Monfieur , on ne fe fert plus de Medecins . ERAST E. On ne s'en fert plus ? MARTON . Eh ! non , Monfieur , la Medecine eft au billon ...
15 ÆäÀÌÁö
... fçai mieux que vous . ARIST E. Cependant , mon frere , il eft bien certain qu'il ¡¤ ne faut qu'ouvrir les yeux , pour voir que vous n'avez pas au moins la jauniffe , LE BARO N. J'ai ce que j'ai . Vous fçavez COMEDIE , 15.
... fçai mieux que vous . ARIST E. Cependant , mon frere , il eft bien certain qu'il ¡¤ ne faut qu'ouvrir les yeux , pour voir que vous n'avez pas au moins la jauniffe , LE BARO N. J'ai ce que j'ai . Vous fçavez COMEDIE , 15.
17 ÆäÀÌÁö
... avez donnée , vous verrez que dans la réjoüissan- te des nôces cette imagination fe diffipera . LE BARON . Ah ! je vous entens . Vous prétendez donc que je fuis un vifionnaire , & que mon mal n'est qu'une chanson ? Mais vous qui ...
... avez donnée , vous verrez que dans la réjoüissan- te des nôces cette imagination fe diffipera . LE BARON . Ah ! je vous entens . Vous prétendez donc que je fuis un vifionnaire , & que mon mal n'est qu'une chanson ? Mais vous qui ...
18 ÆäÀÌÁö
... avez froid ? MARTO N. C'est un effet de la bile qui doute . LE BARO N. Oui , la bile fait en moi des chofes inconcevables . ROMARIN . Affûrément . ARIST E. Mais d'où vient que vous ne l'avez pas guéri depuis un mois que vous le traitez ...
... avez froid ? MARTO N. C'est un effet de la bile qui doute . LE BARO N. Oui , la bile fait en moi des chofes inconcevables . ROMARIN . Affûrément . ARIST E. Mais d'où vient que vous ne l'avez pas guéri depuis un mois que vous le traitez ...
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ACCURSE affez AGNELE AGNELET ainfi allez ALMEDOR ANGELIQUE ARISTE auffi avez avoit BARO BARTOLIN bile Brueys c'eft c'eſt çà chofe choſe CLITANDRE COLETTE Comédie deffein derriere diable dire donner drap écus eft vrai Eft-ce enſemble Erafte ERASTE eſt êtes étoit fans doute fçai fçavez fçavoir fecours femble fens fera feroit fervir ferviteur feulement fieur fille fils fix aulnes FLORIDOR foit fonge font fous FRIBOURG FRONTIN fuis fuivant fujet gens grace homme j'ai joüer jufte l'efprit L'ETOILE laiffe LAURIER Lifette LISETTE LUCE Madame Mademoiſelle MANOIR Marianne MAROT MARTON Medecins Meffieurs Menandre Monfieur Guillaume moutons n'eft NERINN paffer Palaprat PAQUINOY pargué parler PASQUI PASQUIN PATEL PATELIN pere perfonne plaifir plûtôt Poëfie Poëte préfent premiere PRESIDENTE promeffe raifon refte réüffir ROMAR ROMARIN SCENE VII tatigué THALIE Théatre THIBAUT toûjours URBINE vais VERGER veux VICOMTE VIGNE voilà vûë
Àαâ Àο뱸
449 ÆäÀÌÁö - Préfentes de faire imprimer ledit ouvrage autant de fois que bon lui femblera, & de le faire vendre '& débiter par tout notre Royaume pendant le tems de fix années confécutives, à compter du jour de la date des Préfentes.
144 ÆäÀÌÁö - Barwlin va tout à l'heure donner audience; ne manque point de revenir ici : tu my trouveras. Adieu. N'oublie pas de porter de l'argent. A.GNELET. Serviteur. Que les gens de bien ont de peine à vivre!
88 ÆäÀÌÁö - Pasquier fait de cette comédie est ce qui me l'a fait faire, ou, pour mieux dire , ce qui me l'a fait travailler, et mettre dans le langage d'aujourd'hui.