La Henriade,Chez François L'Honoré., 1767 - 408ÆäÀÌÁö |
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affaffins affez affreux affurément ainfi auffi bataille d'Ivry Bourbon bras c'eft c'eſt Chant Charles IX Ciel Cieux combats Confeil courage crime d'Aumale deffein deftin Dieu Dieux Difcorde difcours Duc de Guife Duc de Mayenne efprits enfans ennemis Epique eſt facrés fage faibleffe faifait faint fang fanglant fans fecours fecret fein femble fent fervir fes yeux feul foit foldats fon c©«ur fon pere fon Poëme font fous fouvent fuivans fuivi fujet fureur gloire guerre Guiſe Henri Henri III Henri IV Henriade Héros Homere Jacques Clément jufte l'amour l'édition de 1723 l'Eglife l'Hiftoire l'Iliade laiffe Ligue Ligueurs loix long-temps lorfque Louis Lucain lumiere Maifon main Maître malheureux Milton monftre Mornay mort n'eft n'eſt paffer paffions par-tout parle perfonne peuple plaifirs plufieurs Poëfie Poëme épique Poëte préfent prefque premiere Prince refte Reine Rois Rome ſes ſon Taffe trépas Trône Tyrans Valois vertu Virgile voix
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27 ÆäÀÌÁö - Des fureurs des humains c'est ce qu'on doit attendre; Mais ce que l'avenir aura peine à comprendre, Ce que vous-même encore à peine vous croirez, Ces monstres furieux, de carnage altérés, Excités par la voix des prêtres sanguinaires, Invoquaient le Seigneur en égorgeant leurs frères, Et, le bras tout souillé du sang des innocents, Osaient offrir à Dieu cet exécrable encens. O combien de héros indignement périrent! Resnel...
27 ÆäÀÌÁö - Des assassins trop lents il veut hâter les coups ; Aux pieds de ce Héros il les voit trembler tous. A cet objet touchant lui seul est inflexible; Lui seul, à la pitié toujours inaccessible, Aurait cru faire un crime et trahir Médicis, Si du moindre remords il se sentait surpris.
7 ÆäÀÌÁö - Le poème épique, regardé en lui-même, est donc un récit en vers d'aventures héroïques. Que l'action soit simple ou complexe ; qu'elle s'achève dans un mois ou dans une année , ou qu'elle dure plus long-temps ; que la scène soit fixée dans un seul endroit, comme dans l'Iliade; que...
111 ÆäÀÌÁö - L'un, quand l'homme accablé sent de son faible corps Les organes vaincus sans force et sans ressorts, Vient par un calme heureux secourir la nature, Et lui porter l'oubli des peines qu'elle endure. L'autre anime nos c©«urs, enflamme nos...