Peintres & les Poëtes. Qu'ils ne fçanroient les choifir trop intereßans So. Sect. 7. Que la Tragedie nous affecte plus que la Comedie, canfe de la nature des fujets que la Tragedie traite. 56 Sect. 8. Des differens genres de la Pofie de leur caractere. 61 Sect. 9. Comment les fujets dogmatiques deviennent intereffans. 63 Sect. 10. Objection tirée des tableaux pour montrer qu'il arrive quelquefois que Limitation intereffe plus que le fujet même de l'imitation. 66 Sect. 11. Que les beautez de l'execu-` tion ne rendent pas fcules un Poeme un bon ouvrage, comme elles rendent un tableau un ouvrage precieux. 70 Sect. 12. Qu'un Ouvrage nous intereße en deux manieres: comme étant un homme en general & comme étant un certain homme en particulier. 72 Sect. 13. Qu'il eft des fujets propres fpecialement pour la Poëfie, & d'autres Specialement propres pour la Peinture. Moyen de les reconnoître. 801 108 ment propres à certains genres de Poëfie comme à certains genres de Peinture. Des fujets propres à la Tragedie. Sect. 15. Des perfonnages de fcelerats qu'on peut introduire dans les Trage dies. 114. Sect. 16. De quelques Tragedies dont le fujet eft mal choifi. 120 1.24 Sect. 17. S'il eft à propos de mettre de Pamour dans les Tragedies. Sect. 1.8. Que nos voisins difent que nos Poëtes mettent trop d'amour dans leurs Tragedies. Sect. 19. De la galanterie qui eft dans nos Poëmes. 142 Sect. 20. De quelques bien-fceances qu'il faut obferver en traitant des Sujets tragiques. 147 Sect. 21. Du choix des fujets de Comedie. Où il en faut mettre la fcene. 156. Differentes efpeces de Comedie chez les anciens Romains 160 Sect. 22. Quelques remarques fur la Poëfie Paftorale fur les Bergeres des Eglogues. 171 Sect. 23. Quelques remarques fur le Poëme Epique. Obfervation touchant le lien & le temps où il faut prendre fon ection. 178 des perfonnages allegoriques par rapport à la peinture. 182 Sect. 25. Des perfonnages & des actions allegoriques par rapport à la poësie. 212 Sect. 26. Que les fujets ne font point épuifez pour les peintres. Exemples tirez des tableaux du Crucifiment. 220 Sect. 27. Que les fujets ne font pas épuifez pour les Poëtes. Qu'on peut même encore trouver de nouveaux caracteres propres à faire des perfonnages de Comedie. 226 Sect. 28. De la vrai-femblance en Poëfie. 236 Sect. 29. Si les Poëtes tragiques font obligez de fe conformer à ce que la Geographie, l'Hiftoire & la Chronologie nous apprennent pofitivement. Remarques fujet fur quelques Tragedies de Corneille de Racine. à 243 Section 30. De la vrai-semblance en Peinture, & des égards que les Peintres doivent aux traditions reçues. 254 Sect. 31. De la difpofition du Plan. Qu'il faut divifer l'ordonnance des tableaux en compofition Poëtique & en compofition Pittoresque. 265 Sect. 32. De l'importance des fautes que les Peintres & les Poëtes peuvent faire contre les regles. 272 Sect. 33. De la poëfie du ftile dans la quelle les mots font regardez en tant qu'ils font les fignes de nos idées. Que c'eft la poëfie du ftile qui fait la deftinée des poëmes. 275 Sect. 34. Du motif qui fait lire les pofies. Que l'on n'y cherche pas l'inftruction comme dans les autres livres. 287 Sect. 35. De la mecanique de la poëfie qui ne regarde les mots que comme de fimples fons. Avantage des Poëtes qui ont compofé en Latin fur ceux qui compofent en François. que Vers de l'Abbé de Chaulien. 296 336 339 Sect. 37. Que les mots de notre langue naturelle font plus d'impression fur nous les mots d'une langue étrangere. 346 Sect. 38. Que les Peintres du temps de Raphaël n'avoient point d'avantage fur ceux d'aujourd'hui. Des Peintres de l'antiquité de ceux de leurs ouvrages qui nous restent. 352 De quelques ftatues & grouppes anti ques. 377 Sect. 39. En quel fens on peut dire que la nature fe foit enrichie depuis Raphaël. 386 Sect. 40. Si le pouvoir de la Peinture fur les hommes eft plus grand que le pou voir de la Pofie. 392 Sect. 41. De la fimple recitation & de la declamation. 406 Sect. 42. De notre maniere de reciter la Tragedie & la Comedie. 417 Sect. 43. Que le plaifir que nous avons an Theatre n'eft point l'effet de l'illufion. 429. Sect. 44. Que les Poëmes Dramatiques purgent les passions. 435 Sect. 45. De la Musique proprement dite. 444 Sect. 46. Quelques reflexions fur la Mufique des Italiens. Que les Italiens n'ont cultivé cet art qu'après les François &les Flamands. 464 Sect. 47. Quels vers font les plus à être mis en mufique. Sect. 48. Des Estampes & des Poëmes en profe. propres 478 484 Scct. 49. Qu'il eft inutile de difputer fi la partie du deffein & de l'expreffion eft preferable à la partie du coloris. 486 Sect. 5o. De la Sculpture, du talent qu'elle demande, & de l'art des bas-reliefs. 492 Fin de la Table. |