Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, 5±ÇF. Didot, 1821 |
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6 ÆäÀÌÁö
... yeux les chantres d'Achille et d'Énée dans la carrière immense de l'épopée , et mêlé nos applaudissements à ceux de la Grèce assemblée , lorsqu'elle couronnait sur le théâtre les Euripide et les Sophocle , et que dans les jeux ...
... yeux les chantres d'Achille et d'Énée dans la carrière immense de l'épopée , et mêlé nos applaudissements à ceux de la Grèce assemblée , lorsqu'elle couronnait sur le théâtre les Euripide et les Sophocle , et que dans les jeux ...
9 ÆäÀÌÁö
... yeux vers le point de l'horizon d'où l'on verra renaître le jour . Quoiqu'on ait observé , avec raison , que le règne des arts a toujours été chez les Anciens , comme chez les Modernes , attaché à des temps de puissance et de gloire ...
... yeux vers le point de l'horizon d'où l'on verra renaître le jour . Quoiqu'on ait observé , avec raison , que le règne des arts a toujours été chez les Anciens , comme chez les Modernes , attaché à des temps de puissance et de gloire ...
12 ÆäÀÌÁö
... yeux , quand nous rencontrons ces grands hommes à la place qu'ils doivent occuper dans le tableau des différents âges littéraires ? Sans doute ils appar- tiennent particulièrement à l'Église , qui les a consacrés à la vénération ...
... yeux , quand nous rencontrons ces grands hommes à la place qu'ils doivent occuper dans le tableau des différents âges littéraires ? Sans doute ils appar- tiennent particulièrement à l'Église , qui les a consacrés à la vénération ...
13 ÆäÀÌÁö
... yeux du monde , une partie de leur gloire : elles aiment à se couvrir de l'éclat qu'ils ont répandu sur leur siècle , et se croiront toujours en droit de dire qu'avant d'être des confesseurs et des martyrs , ils ont été de grands hommes ...
... yeux du monde , une partie de leur gloire : elles aiment à se couvrir de l'éclat qu'ils ont répandu sur leur siècle , et se croiront toujours en droit de dire qu'avant d'être des confesseurs et des martyrs , ils ont été de grands hommes ...
18 ÆäÀÌÁö
... yeux fixés sur le passé , sur le présent et sur l'avenir . Quand je prononçai pour la première fois ce même discours , il y a quelques années , elle existait encore cette savante et respectable école , la plus ancienne du monde , la ...
... yeux fixés sur le passé , sur le présent et sur l'avenir . Quand je prononçai pour la première fois ce même discours , il y a quelques années , elle existait encore cette savante et respectable école , la plus ancienne du monde , la ...
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Achille Acomat acte Agamemnon aime amant amour Andromaque Aricie assez Atalide Bajazet beau beautés Bérénice Britannicus Burrhus Calchas caractère Chimène chose Cinna Clytemnestre c©«ur Corneille Cours de Littérature crime d'Acomat d'Hippolyte d'Iphigénie défauts déja dieux dire doit Émilie ennemis époux Euripide eût Félix fille fils François Ier fureur génie gloire goût grace Grecs hémistiche Hermione héros heureux Hippolyte homme Horaces idées Iphigénie j'ai jamais jour l'amour l'art l'auteur l'autre laisse langage long-temps malheureux Mariamne Marot ment mérite Mithridate Monime mort Narcisse NÉARQUE Néron Osmin ouvrages par-tout paraît parler passion pensée père personnages Phèdre pièce pleurs poésie poëte poétique Polyeucte premier prince Pyrrhus qu'un Racine raison reproche reste rien rival rôle Romains Rome Ronsard Roxane s'il sait sang scène seigneur semble Sénèque sentiment serait Sertorius seul siècle Sophonisbe sort spectateur style sublime sujet sultane sur-tout talent théâtre Thésée tion tragédie tragique trouve veut Voilà Voltaire yeux
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138 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
225 ÆäÀÌÁö - D'une simple vertu c'est l'effet ordinaire, Mille déjà l'ont fait, mille pourraient le faire ; Mourir pour le pays est un si digne sort, Qu'on briguerait en foule une si belle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu'on aime, S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur...
339 ÆäÀÌÁö - L'ingrate de mes pleurs jouira-t-elle moins? Et que me servira que la Grèce m'admire , Tandis que je serai la fable de l'Épire? Que veux-tu? Mais , s'il faut ne te rien déguiser, Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix , et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux , Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux. Méritons leur courroux , justifions leur haine , Et que le fruit du crime en...
105 ÆäÀÌÁö - L'âge insensiblement nous conduit à la mort ; Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; Il est temps de jouir des délices du port.
532 ÆäÀÌÁö - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
102 ÆäÀÌÁö - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
106 ÆäÀÌÁö - Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs ; Et qui, loin retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison, content de sa fortune, A, selon son pouvoir, mesuré ses désirs...
396 ÆäÀÌÁö - Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce présence. Ciel ! avec quel respect et quelle complaisance Tous les c©«urs en secret l'assuraient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
378 ÆäÀÌÁö - NARCISSE. Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste; Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux ; Et le fer est moins prompt pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
150 ÆäÀÌÁö - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé Le champ que par le meurtre il...