Etudes bibliques

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A. Picard et Fils, 1903 - 335ÆäÀÌÁö

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173 ÆäÀÌÁö - ... de documents divers (cosmogéniques, anthropogéniques) que Moïse a utilisée pour établir le dogme monothéiste. « Notre opinion, dit Loisy, est que les premiers chapitres de la Genèse ne contiennent pas précisément une histoire des origines du monde et de l'humanité, mais plutôt la philosophie religieuse de cette histoire... Notre hypothèse est que le cadre dans lequel cette philosophie religieuse nous est présentée a été fourni en partie parla tradition chaldéenne
139 ÆäÀÌÁö - Le Pentateuque, en l'état où il nous est parvenu, ne peut pas être l'©«uvre de Moïse. Les premiers chapitres, de la Genèse ne contiennent pas une histoire exacte et réelle des origines de l'humanité.
139 ÆäÀÌÁö - L'histoire de la doctrine religieuse contenue dans la Bible accuse un développement réel de cette doctrine dans tous les éléments qui la constituent : notion de Dieu, de la destinée humaine, des lois morales. A peine est-il besoin d'ajouter que, pour l'exégèse indépendante, les...
325 ÆäÀÌÁö - J 5,6 (Citat c 15 p 87,35): hie est qui venit per aquam et sanguinem iesus christus, non in aqua tantum, sed in aqua et sanguine. et Spiritus est qui testimonium perhibet, quia Spiritus est veritas.
277 ÆäÀÌÁö - Les religions, dans leur âge viril, font plier la politique ; mais les religions naissantes ont souvent dépendu de circonstances politiques maintenant oubliées. Le moment de Sennachérib fut, comme celui d'Antiochus Épiphane, comme celui du retour de la captivité, un de ces moments où l'avenir de l'humanité se joua sur un coup de dés. Isaïe avait en quelque sorte engagé son enjeu sur un fait tangible, la délivrance de Jérusalem. Il avait parié, et il gagna son pari. Si Sennachérib fût...
154 ÆäÀÌÁö - ... plus rudimentaire des croyances religieuses dans les âges très reculés, étaient pour la Bible une condition de succès, on pourrait dire une qualité indispensable. En ce sens, on peut dire que ces imperfections contribuaient à rendre la Bible vraie pour le temps où elle a paru. Cette vérité purement relative ne porte aucun préjudice à la valeur absolue des principes (j'ai écrit : « les principes », et je n'ai pas ici en vue la forme historique des croyances) qui sont la base de...
105 ÆäÀÌÁö - Item sacram scripturam juxta eum sensum, quem tenuit et tenet sancta mater ecclesia, cujus est judicare de vero sensu et interpretatione sacrarum scripturarum, admitto; nee eam unquam, nisi juxta unanimem consensum patrum accipiam, et interpretabor.
140 ÆäÀÌÁö - ... développement réel de cette doctrine, dans tous les éléments qui la constituent : notion de Dieu, de la destinée humaine, des lois morales. A peine est-il besoin d'ajouter que, pour l'exégèse indépendante, les Livres Saints, en tout ce qui regarde la science de la nature, ne s'élèvent pas au-dessus des opinions communes de l'antiquité, et que ces opinions ont laissé leurs traces dans les écrits et même dans les croyances bibliques.
271 ÆäÀÌÁö - Renan déclare que l'auteur de la Sagesse « fut un personnage de premier ordre dans l'histoire religieuse » parce que ce fut lui qui introduisit dans la tradition juive la doctrine de l'immortalité de l'âme. « A côté de la résurrection, doctrine autrement logique, mais dont la violence effrayait les esprits qui avaient reçu la culture grecque, il y eut une doctrine plus mitigée pour les esprits moyens...
272 ÆäÀÌÁö - L'immortalité de l'âme fut la doctrine fondamentale; la résurrection et le jugement final devinrent un accessoire sans grande signification, relégué à la fin des temps. L'enfer en tout cas était fondé, et c'est seulement grâce à l'enfer qu'on a pu tirer de l'humanité un certain degré de moralité...

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