A History of French VersificationAt the Clarendon Press, 1903 - 312ÆäÀÌÁö |
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... LECONTE DE LISLE , Poésies - Poèmes Antiques ( 1853 ) , Poèmes Barbares ( 1859 ) , Poèmes Tragiques ( 1884 ) , Derniers Poèmes ( 1895 ) . Paris ( Lemerre ) . LE GOFFIC et THIEULIN , Nouveau Traité de Versification française . Paris ...
... LECONTE DE LISLE , Poésies - Poèmes Antiques ( 1853 ) , Poèmes Barbares ( 1859 ) , Poèmes Tragiques ( 1884 ) , Derniers Poèmes ( 1895 ) . Paris ( Lemerre ) . LE GOFFIC et THIEULIN , Nouveau Traité de Versification française . Paris ...
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... Leconte de Lisle , according to his own rendering , all the feminine e's in the body of the line 1 Cf. p . 149 of Koschwitz's Les Parlers Parisiens - phonetic tran- scripts of readings by famous contemporary Frenchmen . after a ...
... Leconte de Lisle , according to his own rendering , all the feminine e's in the body of the line 1 Cf. p . 149 of Koschwitz's Les Parlers Parisiens - phonetic tran- scripts of readings by famous contemporary Frenchmen . after a ...
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... Leconte de Lisle , Sully - Prudhomme , & c . The poets of the Pléiade occasionally took the same liberty , which goes to prove that even then the feminine e in that position was only faintly audible : Et la fusée ardent ' siffler même ...
... Leconte de Lisle , Sully - Prudhomme , & c . The poets of the Pléiade occasionally took the same liberty , which goes to prove that even then the feminine e in that position was only faintly audible : Et la fusée ardent ' siffler même ...
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... ( Leconte de Lisle , Poèmes Tragiques , p . 52. ) Tous les vaincus d'hi - er n'ont pas l'air soucieux . ( Sully - Prudhomme , Poésies , ii . p . 269. ) Hier dans sa belle humeur elle entretint Valère . ( Corneille , Horace , Act i . Sc ...
... ( Leconte de Lisle , Poèmes Tragiques , p . 52. ) Tous les vaincus d'hi - er n'ont pas l'air soucieux . ( Sully - Prudhomme , Poésies , ii . p . 269. ) Hier dans sa belle humeur elle entretint Valère . ( Corneille , Horace , Act i . Sc ...
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... ( Leconte de Lisle , Dern . Poèm . , p . 72. ) On entend cette chair pétiller et bru - ire . ( V. Hugo , Châtiments , p . 182. ) Yeuse ( probably a provincial form , from ilicem ) is uncertain . Since it is derived from ilicem , the ...
... ( Leconte de Lisle , Dern . Poèm . , p . 72. ) On entend cette chair pétiller et bru - ire . ( V. Hugo , Châtiments , p . 182. ) Yeuse ( probably a provincial form , from ilicem ) is uncertain . Since it is derived from ilicem , the ...
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abab accented according Alexandrine already Art Poétique Baïf Ballades beginning Bellay body cesura chansons chant Chénier Christine de Pisan classicists Clément Marot composed consonant cross rimes decasyllabic line different eighteenth century epic cesura especially Eustache Deschamps Euvres examples feminine rimes fifteenth first five followed follows found four French poets frequently Gautier generally great half hemistich hiatus Ibid invariably kind known last Leconte de Lisle Légende des Siècles likewise lyric lyrical poetry Malherbe masculine measure Middle French Modern French modern poets monosyllabic Musset mute nineteenth century number occasionally occurs octosyllabic lines Odes Odes et Ballades overflow pause period poems Poés poetic Premières Poésies present pronounced pronunciation quatrain quoted rhythmical rich rime riming Romanticists Ronsard rule Rutebeuf same seven seventeenth century short six syllables sixteenth century sonnet sound strophe strophic syllables Théodore de Banville Théophile Gautier three time used Verlaine Victor Hugo vowel words works
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92 ÆäÀÌÁö - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
54 ÆäÀÌÁö - Oh ! qui dira les torts de la Rime ? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
242 ÆäÀÌÁö - Ayant poussé la porte étroite qui chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu'éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle. Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin... Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les...
244 ÆäÀÌÁö - Mon Dieu m'a dit : Mon fils, il faut m'aimer. Tu vois Mon flanc percé, mon c©«ur qui rayonne et qui saigne, Et mes pieds offensés que Madeleine baigne De larmes, et mes bras douloureux sous le poids De tes péchés, et mes mains ! Et tu vois la croix...
309 ÆäÀÌÁö - Où me cacher ? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pales humains.
184 ÆäÀÌÁö - S'il fallait maintenant parler de ma souffrance, Je ne sais trop quel nom elle devrait porter, Si c'est amour, folie, orgueil, expérience, Ni si personne au monde en pourrait profiter. Je veux bien toutefois t'en raconter l'histoire, Puisque nous voilà seuls, assis près du foyer.
201 ÆäÀÌÁö - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
99 ÆäÀÌÁö - Elle est pieça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie; Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir desdaing, quoy que fusmes occis Par justice.
66 ÆäÀÌÁö - Elle dit, la voix reconnue, Que la bonté c'est notre vie, Que de la haine et de l'envie Rien ne reste, la mort venue.
201 ÆäÀÌÁö - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.