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Religieux de Câteaux, fon ami, va faire le voyage de Rome, 114. Le loue du zele qu'il a pour le bien de fon Ordre, 116. Lui envoie la permiffion de lire & retenir les li **vres prohibés, & pour deux autres Reli gieux, 116 & 119. Il ne l'envoie pas au Frere Fahkner, & pourquoi 119. Rend raifon du motif pour lequel le Cardinal Galli accordoit à tous les Religieux qui le defirerent, la liberté d'embraffer une regle plus auftere, 116. Fait part à ce Religieux de ce que Sa Sainteté lui a dit à fon fujet, 119 fuiv. Les fouhaits qu'il lui fait, 120. Se fou vient de lui à l'autel, 121. Se recommande à fes oraifons & faints facrifices, 122. Eloge qu'il fait de la Reine de Hongrie, 124, & du Comte Firmian, fon Miniftre, ibid. Dé. clare quelle étoit fa dévotion lorfqu'il de meuroit à Milan, pour l'Eglife où Saint Auguftin avoit reçu le Baptême, 124, 125. Son amour pour l'Ordre de S. François, [126. Sa profonde humilité, ibid. Fait l'éloge da P. Pacciaudi, Théatin, & du P. Jacquier, Minime, 127. Confole un Supérieur de Communauté, au fujet de la Commiffion établie en France pour examiner les inftituts des Ordres religieux, 127 & suiv. Loue le Pape de fon zele, M. l'Archevêque de Paris de fa haute piété, & la Maifon de Bourbon, de la protection qu'elle a toujours accordée aux vrais Fideles, 128 & 129. Promet a un Religieux de fon Ordre, de le réconci lier avec fon Gardien, pourvu que ce Religieux lui écrive qu'il ne donnera à la Mufique que le temps de la récréation, 130. Avis qu'il lui donne à ce fujet, ibid. S'étoit appliqué à toucher l'orgue, ibid. Mais qu'il s'eft rendu à la regle & à la raifon, ibid. › Pourquoi il aimoit cet inftrument, ibid. Ob

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tient du Pape la grace que defiroit fon Général, 132. Parle au Comte Riviéra des émi nentes vertus du R. P. Coftanzo, afin qu'il en inftruife Sa Majefté, 133, Eft très-éloigné de mettre aucun obstacle à l'élévation de ce Pere à l'Epifcopat, ibid. Ne veut pas aller plus avant, pour ne point priver fon Ordre d'un auffi bon Religieux, d'ailleurs très- éloigné d'ambitionner aucune dignité, ibid. Exhorte un Chevalier à fe confoler par des vues de religion, 134, à pardonner à fon beau-frere, ibid. Fait l'éloge de l'Abbé de Véri, Auditeur de Rote; 135. Blâme l'empreffement d'un certain Religieux à diriger les confciences, 135 & fuiv. Diftingue la Philofophie, dont il montre l'utilité d'avec les abus de la philofophie, 136. Ses fentiments pendant få derniere maladie, 137

fuiv. Comment il envifage fa mort prochaine, 140. Auroit voulu avant de mourir, écrire à tous les Fideles, pour leur recommander la paix & la charité, 141. Sa reconnoiffance pour fon Ordre, ibid. Son humilité, ibid. Sa confiance en Dieu, ibid. Son efprit de facrifice, ibid. & fuiv. Il a à cœur la canonifation de la bienheureufe Colette, 145, & la béatification du vénérable Céfar de Bus, Fondateur des Doctrinaires, 146: pourquoi, 147. Son amour paternel pour la Maifon d'Autriche, 149. Reçoit avec fatis3 faction l'Hiftoire Métallique de la Maifon de Lorraine, un Manufcrit de Dom Calmet, & la Traduction d'une Piece intitulée: La Clémence de Titus, 151. Ses Brefs adreffés à différentes perfonnes, 142 fuiv. Son Difcours fur la Religion, b, 1. Prouve combien elle eft pleine du feu de la charité, de tendreffe pour tous les hommes, quels qu'ils A foient, justes, opulents, Juifs, païens, ibid.

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&fuiv. Ses Réflexions für le Zele, 17. Montre la différence entre la Loi ancienne & la Loi nouvelle, 18, 19. La premiere étoit une loi de terreur, la feconde une loi de paix, de douceur, de charité, ibid. Démontre le danger d'un faux zele, 20. Indique les fources de ce faux zele, ibid. Termine, en prouvant que le vrai zele eft accompagné d'un confeil tendre, compatiffant, prévenant, 26

fuiv. Autres Réflexions fur la Prédication, 30. Defire qu'un Prédicateur s'applique à la morale & pourquoi, ibid. & fuiv. Qu'il fupprime toute invective contre les Mécréants, 30. Qu'il expofe la vérité avec force & lumiere, en épargnant les perfonnes, 32. Ses Réflexions fur l'Esprit, de l'Eglife, 33. Décrit différents caracteres de cet efprit, ibid. & fuiv. Témoigne le vif defir qu'il a de la réunion des Proteftants, 46 fuiv. Eft prêt de hâter par l'effufion de fon propre fang, le retour de ces Freres, pour qui il reffent toute la tendreffe poffible, 48. Ses Réflexions fur Pefprit des Ordres Religieux, 48. Donne une idée des principales regles de ces Ordres, 48 & fuiv. Etablit des principes pour juger des différents Ordres, 54 fuiv. Dépeint le génie des diverfes Nations, fur-tout des Italiens, 63. Après avoir étudié les différents peuples qui habitent l'Europe, foit par la vue des étrangers, foit par les récits qu'en font les voyageurs, foit par l'Hiftoire, il remarque que ce qui différencie les hommes, c'eft principalement l'éducation & le climat, ibid. fuir. Son Difcours fur la Superfti tion, 77. Fait la defcription des maux qu'elle a produits dans la Religion judaïque, 78, & qu'elle caufe dans le Chriftianifme, 79. Se félicite d'avoir eu quelque part à l'ouvrage de la Canonifation des Saints, du Pape Bes

noît XIV, 82. Son premier Difcours fur in
fête de Noël, 85. Peint l'état malheureux de
l'homme fans la grace du Rédempteur, ibid.

fuiv, & fon heureux changement par le
Myftere de l'Incarnation, 87. Montre le fort
qui attend ceux qui n'auront pas profité de
ce myftere, 90 & fuiv. Indique les moyens
de correfpondre à l'humilité d'un Dieu qui
y manifefte, 94 & fuiv, & à fa charité
qui y brille, 97 & fuiv. Second Difcours
fur la fête de Noël, 101. Prouve que l'In-
carnation eft tout à la fois l'humiliation du
Verbe & l'exaltation de l'homme, 102. Le
Verbe femble fe dépouiller de fa divinité,
pour divinifer en quelque forte notre hunia-
mité, 104. Son Panegyrique de Sainte Répa
rate, 106. Il montre que cette Sainte mérite
par fes vertus les plus grands honneurs fur la
-terre, 109. Les moyens d'implorer utilement
fon fecours, 113. Son Difcours à la louange
de Benoît XIV, prononcé en la préfence
de ce Pape, 116. Témoigne la crainte qu'il
a de produire au dehors, la maniere dont
il eft affecté envers ce grand Pontife, ibid.
Fondements de fes craintes, ibid. Sa modef
-tie, 117, 130. Son Difcours au Chapitre des
FF. Mineurs Conventuels, pour l'élection d'an
Général, 131, Se rappelle le fouvenir agréa-
ble d'avoir paffé au milieu d'eux depuis fa
plus tendre jeuneffe, ibid. Fait voir l'impor
tance de ce choix, 132. Indique les motifs
qui doivent diriger ce choix, ibid. Les ver-
tus dont doit être revêtu ce Supérieur, ibid.
& fuiv. Affure l'Ordre & le Général futur
de fa protection & de cette affection qui,
quelque ancienne qu'elle foit, fe ranime de
plus en plus dans fon cœur, 234, 235.
Bulle pour le Jubilé univerfel, au commen-
cement de fon pontificat, 136. Il y peint

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fes craintes vives à la vue de la pefanteur du fardeau qui lui eft confié, ibid., Avoue qu'il feroit prêt de petdre courage, fans les efpérances du fecours de celui qui lui a im pofé ce poids fi redoutable, 136, 137. A recours aux vœux ardents, aux prieres, aux jeûnes & aux aumônes, & à toutes les autres bonnes ceuvres de tous les Fideles du monde chrétien, afin qu'ils obtiennent pour lui de Dieu une abondante effufion de fon efprit, 137. Se confeffoit fouvent, célébtoit la Meffe tous les jours, & étoit, malgré fes Occupations, exact à la priere, 147, 149. En conféquence, il ouvre le tréfor des graces divines, 137. Particularités fur fa vie privée, 140. Son amour pour les pauvres, 147. Retranchoit toute dépenfe fuperflue pour leur bien, 141, 145, 146 fuiv. Biens qu'il leur faifoit 147. Il n'avoit pas de plus grande confolation, que de s'entretenir avec eux ibid. Ses libéralités envers les PP. Capucins & les PP. Réformés, ibid. Son amour pour la pauvreté, même étant Pape, dans fes meubles, 141, 145, dans fes habits, 145. Sa, fobriété, 143. N'oublia jamais fon état de Religieux, 147. Faifoit très-facilement remife de fes droits, ibid. Jufqu'où alloit fa crainte d'être à charge à perfonne, 141. Indemnifoit fes Officiers des droits que fa fobriété & fon amour pour la pauvreté auroient pu leur faire perdre, 145. Avoit, étant Pape, pour le Frere François, la même affabilité que par le paffé, 147. Continuoit toujours fa même correfpondance, ibid, Donna tous les préfents qui lui furent faits, au Cabinet de Curiofités qu'il établit au Palais du Vațican, b, ibid. 149 Génie (le) eft comme un fleuve qui répand la vie & la fécondité tant qu'il ne fe déborde

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