Oeuvres, 5±Ç |
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148 ÆäÀÌÁö
... fecond Acte . A cette belle Sce- ne , où Armide , un poignard à la main , & prête à ôter la vie à Re- naud , fait ce charmant & fameux Monologue . Enfin il eft en ma pui Tance Ce fatal ennemi , ce fuperbe vainqueur ! Le charme du ...
... fecond Acte . A cette belle Sce- ne , où Armide , un poignard à la main , & prête à ôter la vie à Re- naud , fait ce charmant & fameux Monologue . Enfin il eft en ma pui Tance Ce fatal ennemi , ce fuperbe vainqueur ! Le charme du ...
167 ÆäÀÌÁö
... nous les ont donnés ; une Tragé- die cent fois plus difficile à fai- re . Dans la Tragédie proprement dite , on peut employer le premier , & même une partie du fecond A & te Acte , à expofer fon Sujet ; & quand ce SUR L'OPÉRA . 167.
... nous les ont donnés ; une Tragé- die cent fois plus difficile à fai- re . Dans la Tragédie proprement dite , on peut employer le premier , & même une partie du fecond A & te Acte , à expofer fon Sujet ; & quand ce SUR L'OPÉRA . 167.
171 ÆäÀÌÁö
... fecond ou au troisieme Acte , & aille ainfi en croiffant jufqu'au bout dans la Tragédie , on ne vous en demande pas davantage . Il faut à l'Opéra , que tout , & même dès le début , foit en feu ; que l'exposi- tion de votre Sujet , toute ...
... fecond ou au troisieme Acte , & aille ainfi en croiffant jufqu'au bout dans la Tragédie , on ne vous en demande pas davantage . Il faut à l'Opéra , que tout , & même dès le début , foit en feu ; que l'exposi- tion de votre Sujet , toute ...
223 ÆäÀÌÁö
... fecond Acte de Phaeton où Théone défolée , & craignant qu'on ne lui enleve Epa- phus , s'écrie : Ah ! que l'incertitude Eft un rigoureux tourment ; Je fens croître à tout moment Mon inquiétude . : On ne fauroit ici défendre Lulli , il ...
... fecond Acte de Phaeton où Théone défolée , & craignant qu'on ne lui enleve Epa- phus , s'écrie : Ah ! que l'incertitude Eft un rigoureux tourment ; Je fens croître à tout moment Mon inquiétude . : On ne fauroit ici défendre Lulli , il ...
225 ÆäÀÌÁö
... , Monfieur , fi diffi- cile , que je fuis prefque tenté d'ac- cufer l'homme du monde , que vous eftimez le plus & moi auffi , d'y avoir un peu manqué . Souvenez- yous vous de la Scene du fecond Acte de Thétis & SUR L'OPERA 225.
... , Monfieur , fi diffi- cile , que je fuis prefque tenté d'ac- cufer l'homme du monde , que vous eftimez le plus & moi auffi , d'y avoir un peu manqué . Souvenez- yous vous de la Scene du fecond Acte de Thétis & SUR L'OPERA 225.
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admirable affez Affûrément agréable aimable aime aimoit ainfi dire Armide auffi avoit Ballet beauté belle bleffé c'eft c'eſt c'étoit chant charmes chofe choſe c©«ur Danfe de-là déclamation défordre délicat donne efpece eft beau eſt étoit faffe fage falloit fans fauroit favez fecond femble fenfibles fens fentiment feroit fervi feul fied fieur fimple fingulier fion flater foient foit fommes font fouvent fuis fujet fuperbe furtout goût grace Homere idées j'ai joüir l'efprit l'être l'expreffion l'Ode l'Opéra eft laiffe Lulli lupté m'en maniere mauvaiſe ment mife Monfieur mouvemens Muficien Mufique n'eft n'eft-il n'eſt naturel néantmoins néceffaire nobleffe Omphale Opéra ORIAN paffer paffions par-là paroît peindre perfonnes petits Poëmes Pindare plaifir Poë Poëfie Poëte prefque puiffe quefois quelquefois Quinault Racan raifon récitatif refrains refte répons réuffi rien Rondeau Sonnet Stances Sublime Suréna tems tion toûjours Tragédie veux Voilà vraiffemblance yous
Àαâ Àο뱸
94 ÆäÀÌÁö - Bien fait de corps et d'esprit agréable, Elle aima mieux, pour s'en faire conter, Prêter l'oreille aux fleurettes du diable, Que d'être femme et ne pas coqueter.
94 ÆäÀÌÁö - S'il l'aima fort, elle de son côté (Dont bien nous prend) ne lui fut pas cruelle. Cher Charleval, alors en vérité Je crois qu'il fut une femme fidèle: Mais comme quoi ne l'aurait-elle été?
100 ÆäÀÌÁö - Qui voudra donc qu'à aimer je me fonde, II faut premier que l'amour on refonde, Et qu'on la mène ainsi qu'on la menoit Au bon vieux temps.
105 ÆäÀÌÁö - Le premier jour du mois de mai Fut le plus heureux de ma vie. Le beau dessein que je formai , Le premier jour du mois de mai ! Je vous vis et je vous aimai ; Si ce dessein vous plut , Sylvie , Le premier jour du mois de mai Fut le plus heureux de ma vie.
64 ÆäÀÌÁö - Nous masquant sans cesse à nous-mêmes, Parmi les vices nous endort , Du furieux fait un Achille, Du fourbe un politique habile, Et de l'athée un esprit fort. Mais vous, mortels, qui dans le monde Croyant tenir les premiers rangs , Plaignez l'ignorance profonde De tant de peuples différents...
46 ÆäÀÌÁö - Marquez en bien la cadence : Et vous, vents, faites filence : Je vais parler de Louis.
145 ÆäÀÌÁö - Un songe affreux m'inspire une fureur nouvelle Contre ce funeste ennemi. J'ai cru le voir, j'en ai frémi; J'ai cru qu'il me frappait d'une atteinte mortelle. Je suis tombée aux pieds de ce cruel vainqueur; Rien ne fléchissait sa rigueur, Et, par un charme inconcevable, Je me sentais contrainte à le trouver aimable Dans le fatal moment qu'il me perçait le c©«ur.
64 ÆäÀÌÁö - Au seul instinct presque réduit, Parlez : Quel est le moins barbare, D'une raison qui vous égare , Ou d'un instinct qui le conduit ? La nature , en trésors fertile , Lui fait abondamment trouver Tout ce qui lui peut être utile , Soigneuse de le conserver.
67 ÆäÀÌÁö - Ah ! si d'une pauvreté dure Nous cherchons à nous affranchir, Rapprochons-nous de la nature Qui seule peut nous enrichir. Forçons de funestes obstacles ; Réservons pour nos tabernacles Cet or, ces rubis , ces métaux ; Ou dans le sein des mers avides Jetons ces richesses perfides , L'unique élément de nos maux.
124 ÆäÀÌÁö - Que te sert de chercher les tempêtes de Mars, Pour mourir tout en vie au milieu des hasards Où la gloire te mène? Cette mort qui promet un si digne loyer N'est toujours que la mort qu'avecque moins de peine L'on trouve en son foyer.