Les moeurs du temps ..Dabo-Butschert, 1825 - 52ÆäÀÌÁö |
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... Lubin . Ninette à la cour . Les Rêveries renouvelées des Grecs . Les fausses Infidélités . Les trois Sultanes . La Chercheuse d'esprit . Le Cercle . LIBRAIRIE DE PARIS FIRMIN - DIDOT ET CIE , IMPRIMEURS - ÉDITEURS 56 , RUE JACOB , PARIS ...
... Lubin . Ninette à la cour . Les Rêveries renouvelées des Grecs . Les fausses Infidélités . Les trois Sultanes . La Chercheuse d'esprit . Le Cercle . LIBRAIRIE DE PARIS FIRMIN - DIDOT ET CIE , IMPRIMEURS - ÉDITEURS 56 , RUE JACOB , PARIS ...
4 ÆäÀÌÁö
... Lubin ne me trabisse , Et qu'il ne parle trop même en ne disant rien : La bêtise nuit plus que ne fait la malice . PASQUIN . Monsieur , je vous ai fait observer tout cela , Et j'ai toujours pensé cette vérité - là ; Mais moi - même ...
... Lubin ne me trabisse , Et qu'il ne parle trop même en ne disant rien : La bêtise nuit plus que ne fait la malice . PASQUIN . Monsieur , je vous ai fait observer tout cela , Et j'ai toujours pensé cette vérité - là ; Mais moi - même ...
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... Lubin tient de toi ? Réponds , et promptement . LINDOR . PASQUIN . Sans vous mettre en colère , Vous devriez juger qu'un homme tel que moi Ne doit point se mêler d'une pareille affaire . LINDOR . Dans tout ceci Damis a man©«uvré . JULIE ...
... Lubin tient de toi ? Réponds , et promptement . LINDOR . PASQUIN . Sans vous mettre en colère , Vous devriez juger qu'un homme tel que moi Ne doit point se mêler d'une pareille affaire . LINDOR . Dans tout ceci Damis a man©«uvré . JULIE ...
28 ÆäÀÌÁö
... Lubin vous l'a porte . JULIE . Que je vous sais bon gré d'une telle injustice ! Nous n'avions l'un et l'autre employé l'artifice Que pour nous mieux prouver notre fidélité : De la vôtre je suis contente ; Sur la mienne de même étant ...
... Lubin vous l'a porte . JULIE . Que je vous sais bon gré d'une telle injustice ! Nous n'avions l'un et l'autre employé l'artifice Que pour nous mieux prouver notre fidélité : De la vôtre je suis contente ; Sur la mienne de même étant ...
34 ÆäÀÌÁö
... Lubin ! et de Ninette à la cour , qu'il faut rendre à Favart tout ce qui lui appartient . Favart perdit sa femme en 1772 , et parut la regretter beaucoup . Il lui survécut vingt années sans travailler , comme si ses travaux eussent ...
... Lubin ! et de Ninette à la cour , qu'il faut rendre à Favart tout ce qui lui appartient . Favart perdit sa femme en 1772 , et parut la regretter beaucoup . Il lui survécut vingt années sans travailler , comme si ses travaux eussent ...
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Adieu aime ALAIN allez Allons amant âme amour ANGÉLIQUE ANNETTE ARAMINTE Ariette ASTOLPHE avez BAILLI BARON BASTIENNE beauté belle bian billet bonheur brin d'amour chante charmes cher CIDALISE ciel CLITANDRE c©«ur COLAS COMTE COMTESSE coquette crois DAMIS DAMON Délia dire dois DORANTE DORIMÈNE DORMILLI doux ELMIRE ÉMILIE ÉRASTE esclave esprit Est-ce êtes FABRICE FAVART femme fille FINETTE GÉRONTE Hélas heureux homme IPHIGÉNIE ISMÈNE j'ai j'aime j'en jamais jolie jour JULIE l'amour l'esprit L'ÉVEILLÉ laissez-moi LINDOR LISETTE LISIDOR LUBIN Lucile m'aimez m'en MADAME MADRÉ MARQUIS mieux Mondor monseigneur monsieur n'en NARQUOIS NICETTE nièce NINETTE ORESTE ORPHISE OSMIN parbleu parler PASQUIN pense plaire plaisir plaisirs PREMIÈRE PRÊTRESSE présent PYLADE rien rire rival ROSALIE ROSETTE ROXELANE sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII SCYTHE SEIGNEUR sentiment sera sérail seul SOLIMAN sort SUBTIL sultan tendre tendresse théâtre THOAS v'là vais VALSAIN veut veux voilà vois vrai yeux
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4 ÆäÀÌÁö - Le bruit est pour le fat, la plainte est pour le sot, L'honnête homme trompé s'éloigne et ne dit mot.
19 ÆäÀÌÁö - Ce discours a fort bonne grâce. Qu'un empereur turc est galant ! Prenez-vous ce ton-là pour être aimé des femmes ? Vous devez enchanter leurs âmes. En vérité , c'est avoir du talent : Mais , mais je vous trouve excellent. (Montrant Osmin.) Et de vos volontés voilà donc le ministre?
64 ÆäÀÌÁö - Non, marquis; la prudence Interdit à madame ici la concurrence : Elle ne voudra point, par un bruyant débat, Me préparer l'honneur d'un triomphe d'éclat.
54 ÆäÀÌÁö - ROXELANE , fièrement. Tu te trompes, sultan : céder à son malheur Est l'effet d'une âme commune. Modeste au sein de la grandeur, Tranquille et fier dans l'infortune , C'est à ces traits qu'on connaît un grand c©«ur. SOLIMAN. Un grand c©«ur est fier sans audace : Quand le sort a marqué sa place II cède ; et lorsqu'il veut braver, II se rabaisse, au lieu de s'élever.
12 ÆäÀÌÁö - JULIE. Je ne sais, madame; mais, quand je le vois... je sens un trouble secret... Je ne puis entendre prononcer son nom sans rougir... J'ai du plaisir à le voir... et si je n'ose le regarder... Est-on comme cela quand on aime? Oh! madame, pour celui-là, s'il m'épouse, je suis bien sûre que ce ne sera pas comme le marquis, pour ne pas m'aimer.
14 ÆäÀÌÁö - Ce mot ne signifie plus rien. Apprends donc , une fois pour toutes , mon petit parent de province, apprends donc les usages de ce pays-ci. On épouse une femme, on vit avec une autre, et l'on n'aime que soi.
9 ÆäÀÌÁö - J'ai toujours remarqué que la grande folie, Que le goût dominant de ma chère Julie, Est moins de captiver ceux qui l'aiment par choix, Que d'asservir les c©«urs soumis à d'autres lois. Un amant, quel qu'il soit, la trouvera rebelle; Mais qu'il en aime une autre, il devient digne d'elle; Et, pour se l'attacher, il n'est feintes, détours, Ruses, dont son orgueil n'emprunte le secours. Elle attaque, on résiste ; elle presse, on lui cède ; Mais un est-il soumis , un autre lui succède. Pour fixer...
63 ÆäÀÌÁö - N'ont rien qui soit digne de vous. ROXELANE, avec trouble, embarras et tendresse. Non... Laissez-moi vous fuir. Peut-être que l'ab[sence... Nous pourrons, vous et moi, jouir d'un sort plus [doux.
8 ÆäÀÌÁö - Au loin l'épingle : aye , aye; on fait un petit cri, Dont le sultan est attendri ; Et tandis qu'on en cherche une autre à la toilette, On vous laisse le temps de fixer un regard, A travers le tissu d'une gaze assez claire , Sur une taille élégante et légère , Qui s'arrondit sans le secours de l'art. SOLIMAN. Arrête , Osmin , apprends à mieux connoître Un objet respectable , adoré de ton maître.
22 ÆäÀÌÁö - Bélise, par exemple, chez qui nous soupâmes dernièrement; je fus obligée d'en sortir à minuit, et d'aller avec le marquis chercher quelque endroit où passer la soirée. GÉRONTE : Oh! il a, comme vous, la fureur de veiller, le marquis : je vous avoue, ma s©«ur, que plus j'y pense, et moins je puis me déterminer à le préférer à Dorante. LA COMTESSE, ironiquement : Dorante ! GÉRONTE : Je sais, comme vous, qu'il a des façons de penser très extraordinaires, et qu'il soutient des thèses...