Les moeurs du temps ..Dabo-Butschert, 1825 - 52ÆäÀÌÁö |
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6 ÆäÀÌÁö
... vois pas mieux quel projet est le vôtre DAMIS . Je prétends que Julie , avant la fin du jour , Me donne mon congé . PASQUIN . Je n'en fais aucun doute ; Mais d'être sans affaire avez - vous résolu ? Avant de rompre ici , je crois qu'il ...
... vois pas mieux quel projet est le vôtre DAMIS . Je prétends que Julie , avant la fin du jour , Me donne mon congé . PASQUIN . Je n'en fais aucun doute ; Mais d'être sans affaire avez - vous résolu ? Avant de rompre ici , je crois qu'il ...
17 ÆäÀÌÁö
... vois quel est le plus doux : Si tu dis que Lindor est amant de la tante , Tu seras en argent par delà ton attente ; Si tu ne le dis point , je te rouerai de coups . PASQUIN . Quoique je sois un honnête homme , Pour hésiter , monsieur ...
... vois quel est le plus doux : Si tu dis que Lindor est amant de la tante , Tu seras en argent par delà ton attente ; Si tu ne le dis point , je te rouerai de coups . PASQUIN . Quoique je sois un honnête homme , Pour hésiter , monsieur ...
20 ÆäÀÌÁö
... vois , très - bonne compagnie . LINDOR . Ce terme prodigué ne m'en impose plus ; La maison où l'on règne est la seule qui plaise : En définissant bien ce titre , ou son abus , La bonne compagnie est souvent la mauvaise . Renoncer à l ...
... vois , très - bonne compagnie . LINDOR . Ce terme prodigué ne m'en impose plus ; La maison où l'on règne est la seule qui plaise : En définissant bien ce titre , ou son abus , La bonne compagnie est souvent la mauvaise . Renoncer à l ...
21 ÆäÀÌÁö
... vois paraître . Je vous suis attaché plus que l'on ne peut l'être ; Mais la seule amitié ne borne pas mes v©«ux : Ah ! je voudrais encor former de plus doux n©«uds ... Faut - il qu'en même temps , timide et téméraire Je craigne de parler ...
... vois paraître . Je vous suis attaché plus que l'on ne peut l'être ; Mais la seule amitié ne borne pas mes v©«ux : Ah ! je voudrais encor former de plus doux n©«uds ... Faut - il qu'en même temps , timide et téméraire Je craigne de parler ...
25 ÆäÀÌÁö
... vois Julie ; allons , voici l'instant critique Où , táchant poliment de l'impatienter , Je dois chercher à mériter Le congé le plus authentique . JULIE . Qu'avez - vous donc , Damis ? je vous trouve rêveur . DAMIS . Madame , on l'est ...
... vois Julie ; allons , voici l'instant critique Où , táchant poliment de l'impatienter , Je dois chercher à mériter Le congé le plus authentique . JULIE . Qu'avez - vous donc , Damis ? je vous trouve rêveur . DAMIS . Madame , on l'est ...
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Adieu aime ALAIN allez Allons amant âme amour ANGÉLIQUE ANNETTE ARAMINTE Ariette ASTOLPHE avez BAILLI BARON BASTIENNE beauté belle bian billet bonheur brin d'amour chante charmes cher CIDALISE ciel CLITANDRE c©«ur COLAS COMTE COMTESSE coquette crois DAMIS DAMON Délia dire dois DORANTE DORIMÈNE DORMILLI doux ELMIRE ÉMILIE ÉRASTE esclave esprit Est-ce êtes FABRICE FAVART femme fille FINETTE GÉRONTE Hélas heureux homme IPHIGÉNIE ISMÈNE j'ai j'aime j'en jamais jolie jour JULIE l'amour l'esprit L'ÉVEILLÉ laissez-moi LINDOR LISETTE LISIDOR LUBIN Lucile m'aimez m'en MADAME MADRÉ MARQUIS mieux Mondor monseigneur monsieur n'en NARQUOIS NICETTE nièce NINETTE ORESTE ORPHISE OSMIN parbleu parler PASQUIN pense plaire plaisir plaisirs PREMIÈRE PRÊTRESSE présent PYLADE rien rire rival ROSALIE ROSETTE ROXELANE sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII SCYTHE SEIGNEUR sentiment sera sérail seul SOLIMAN sort SUBTIL sultan tendre tendresse théâtre THOAS v'là vais VALSAIN veut veux voilà vois vrai yeux
Àαâ Àο뱸
4 ÆäÀÌÁö - Le bruit est pour le fat, la plainte est pour le sot, L'honnête homme trompé s'éloigne et ne dit mot.
19 ÆäÀÌÁö - Ce discours a fort bonne grâce. Qu'un empereur turc est galant ! Prenez-vous ce ton-là pour être aimé des femmes ? Vous devez enchanter leurs âmes. En vérité , c'est avoir du talent : Mais , mais je vous trouve excellent. (Montrant Osmin.) Et de vos volontés voilà donc le ministre?
64 ÆäÀÌÁö - Non, marquis; la prudence Interdit à madame ici la concurrence : Elle ne voudra point, par un bruyant débat, Me préparer l'honneur d'un triomphe d'éclat.
54 ÆäÀÌÁö - ROXELANE , fièrement. Tu te trompes, sultan : céder à son malheur Est l'effet d'une âme commune. Modeste au sein de la grandeur, Tranquille et fier dans l'infortune , C'est à ces traits qu'on connaît un grand c©«ur. SOLIMAN. Un grand c©«ur est fier sans audace : Quand le sort a marqué sa place II cède ; et lorsqu'il veut braver, II se rabaisse, au lieu de s'élever.
12 ÆäÀÌÁö - JULIE. Je ne sais, madame; mais, quand je le vois... je sens un trouble secret... Je ne puis entendre prononcer son nom sans rougir... J'ai du plaisir à le voir... et si je n'ose le regarder... Est-on comme cela quand on aime? Oh! madame, pour celui-là, s'il m'épouse, je suis bien sûre que ce ne sera pas comme le marquis, pour ne pas m'aimer.
14 ÆäÀÌÁö - Ce mot ne signifie plus rien. Apprends donc , une fois pour toutes , mon petit parent de province, apprends donc les usages de ce pays-ci. On épouse une femme, on vit avec une autre, et l'on n'aime que soi.
9 ÆäÀÌÁö - J'ai toujours remarqué que la grande folie, Que le goût dominant de ma chère Julie, Est moins de captiver ceux qui l'aiment par choix, Que d'asservir les c©«urs soumis à d'autres lois. Un amant, quel qu'il soit, la trouvera rebelle; Mais qu'il en aime une autre, il devient digne d'elle; Et, pour se l'attacher, il n'est feintes, détours, Ruses, dont son orgueil n'emprunte le secours. Elle attaque, on résiste ; elle presse, on lui cède ; Mais un est-il soumis , un autre lui succède. Pour fixer...
63 ÆäÀÌÁö - N'ont rien qui soit digne de vous. ROXELANE, avec trouble, embarras et tendresse. Non... Laissez-moi vous fuir. Peut-être que l'ab[sence... Nous pourrons, vous et moi, jouir d'un sort plus [doux.
8 ÆäÀÌÁö - Au loin l'épingle : aye , aye; on fait un petit cri, Dont le sultan est attendri ; Et tandis qu'on en cherche une autre à la toilette, On vous laisse le temps de fixer un regard, A travers le tissu d'une gaze assez claire , Sur une taille élégante et légère , Qui s'arrondit sans le secours de l'art. SOLIMAN. Arrête , Osmin , apprends à mieux connoître Un objet respectable , adoré de ton maître.
22 ÆäÀÌÁö - Bélise, par exemple, chez qui nous soupâmes dernièrement; je fus obligée d'en sortir à minuit, et d'aller avec le marquis chercher quelque endroit où passer la soirée. GÉRONTE : Oh! il a, comme vous, la fureur de veiller, le marquis : je vous avoue, ma s©«ur, que plus j'y pense, et moins je puis me déterminer à le préférer à Dorante. LA COMTESSE, ironiquement : Dorante ! GÉRONTE : Je sais, comme vous, qu'il a des façons de penser très extraordinaires, et qu'il soutient des thèses...