Notice surla vie et les ouvrages de Racine. La Thébaïde, ou, Les frères ennemis. Alexandre. Andromaque. Les plaideursL.E. Herhan, 1801 |
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ALEXANDRE Allez Allons amant amitié amour ANDROMA Andromaque ANTIGONE ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE beau bras CÉPHISE charmes cher chercher CHICANE CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colere combat COMTESSE connois connoître courage courroux craint Créon crime cruel d'Alexandre DANDI DANDIN déja dessein diadême douleur enfin ennemi EPHESTION Epire ÉTÉO CLE ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector flatte frere funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCASTE l'amour l'Epire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame madame de Maintenon main malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle pere PETIT JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs POLY Polynice Porus prince princesse PYLADE PYRRH Pyrrhus qu'un Racine régner rien rival rois s'il sais sang SCENE seigneur seul sœur soins sort SOUFFLEUR soupirs Taxile Thébains Thebes tragédie trépas Troie trône Troyens tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
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151 페이지 - Maîtresse de l'Asie ; et je regarde enfin Quel fut le sort de Troie et quel est son destin. Je ne vois que des tours que la cendre a couvertes. Un fleuve teint de sang, des campagnes désertes, Un enfant dans les fers ; et je ne puis songer Que Troie en cet état aspire à se venger. Ah I si du fils d'Hector la perte...
192 페이지 - Tout cela part d'un cœur toujours maître de soi, d'un héros qui n'est point esclave de sa foi. Pour plaire à votre épouse, il vous faudrait peut-être prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...
154 페이지 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
258 페이지 - L'INTIMÉ, d'un ton pesant. Puis donc qu'on nous permet de prendre Haleine, et que l'on nous défend de nous étendre, Je vais, sans rien omettre et sans prévariquer, Compendieusement énoncer, expliquer, Exposer à vos yeux l'idée universelle De ma cause, et des faits renfermés en icelle.
185 페이지 - Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras conduis-le sur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté, Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été : Parle-lui tous les jours des vertus de son père; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère.
53 페이지 - Je ne sais si mon cœur s'apaisera jamais : Ce n'est pas son orgueil, c'est lui seul que je hais. Nous avons l'un et l'autre une haine obstinée ; Elle n'est pas, Créon, l'ouvrage d'une année ; Elle est née avec nous ; et sa noire fureur, Aussitôt que la vie, entra dans notre cœur. Nous étions ennemis dès la plus tendre enfance ; Que dis-je 1 nous l'étions avant notre naissance.
220 페이지 - Le cinquième ou sixième avril cinquante-six. J'écris sur nouveaux frais. Je produis, je fournis De dits, de contredits, enquêtes, compulsoires , Rapports d'experts , transports, trois interlocutoires. Griefs et faits nouveaux , baux et procès-verbaux.
181 페이지 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
175 페이지 - Le seul où mes regards prétendoient s'adresser : Ma flamme par Hector fut jadis allumée ; Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils. Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas , du moins je le souhaite , En...
20 페이지 - O toi , soleil , ô toi , qui rends le jour au monde , Que ne l'as-tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes-tu tes rayons ? Et peux-tu sans horreur voir ce que nous voyons ! Mais ces monstres, hélas! ne t'épouvantent guères : La race de Laïus les a rendus vulgaires.