Jugements des savans sur les principaux ouvrages des auteurs, 9±Çaux dépens de la Compagnie, 1725 |
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107 ÆäÀÌÁö
... pensées . forte que Il étoit d'ailleurs affés enjoué , plaifant , facétieux & affés commode ; il avoit une grande facilité pour l'expreffion : mais il avoit particulièrement l'art d'imiter les m©«urs de ceux qu'il vouloit repréfenter ...
... pensées . forte que Il étoit d'ailleurs affés enjoué , plaifant , facétieux & affés commode ; il avoit une grande facilité pour l'expreffion : mais il avoit particulièrement l'art d'imiter les m©«urs de ceux qu'il vouloit repréfenter ...
108 ÆäÀÌÁö
... pensées de la Tragi - comédie de Mirame qui court fous le nom de Mr. Defmarets de faint Sorlin eft 1. Relation Hiftorique de l'Académie Françoise , pag . 265 , 2. P. Pelliffon Font . Relat . Hiftor . de l'Academie Françoife pag . 113 ...
... pensées de la Tragi - comédie de Mirame qui court fous le nom de Mr. Defmarets de faint Sorlin eft 1. Relation Hiftorique de l'Académie Françoise , pag . 265 , 2. P. Pelliffon Font . Relat . Hiftor . de l'Academie Françoife pag . 113 ...
113 ÆäÀÌÁö
... pensées , ni choix dans leurs mots , ni aucun goût pour la véritable beauté Poë- tique . Que fi Virgile & Petrarque avoient pas- fé jufqu'ici pour les Princes des Poëtes chacun en leur Langue , c'étoit un bon- heur qu'ils ne devoient qu ...
... pensées , ni choix dans leurs mots , ni aucun goût pour la véritable beauté Poë- tique . Que fi Virgile & Petrarque avoient pas- fé jufqu'ici pour les Princes des Poëtes chacun en leur Langue , c'étoit un bon- heur qu'ils ne devoient qu ...
115 ÆäÀÌÁö
... pensée d'un Auteur . Le Sieur Roffi dit que notre Poëte s'en apperçut affés de fon vivant même & qu'un jour , comme on chantoit une de fes Piéces en Mufique , dans l'Eglife des Stigmates de faint Fran- çois , tout le peuple fe mit à ...
... pensée d'un Auteur . Le Sieur Roffi dit que notre Poëte s'en apperçut affés de fon vivant même & qu'un jour , comme on chantoit une de fes Piéces en Mufique , dans l'Eglife des Stigmates de faint Fran- çois , tout le peuple fe mit à ...
139 ÆäÀÌÁö
... pensées & à fes expreffions . La plus célébre d'entre toutes ces Epi- grammes eft fans doute La Profopopée d'Oftende fur le Siége de trois ans que cet- te Ville fouffrit au commencement de ce fiécle . Elle fut traduite en vers Fran ...
... pensées & à fes expreffions . La plus célébre d'entre toutes ces Epi- grammes eft fans doute La Profopopée d'Oftende fur le Siége de trois ans que cet- te Ville fouffrit au commencement de ce fiécle . Elle fut traduite en vers Fran ...
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affés affure aifé auffi auroit Auteur avoient avoit ayent Balzac beauté Borrichius c'eft C'eſt cenfure Chapelain chofes Comédie compofé confidérer connoître Corneille Critiques deffein Defpréaux Difcours Differtation dire diverfes efprit eftime Epigrammes Epique eſt étoit éxemple faifoit faint favoir fe trouve fecond felon femble fens fent fentimens fervir fes Piéces fes Poëfies feul fiécle foient foit font fous le titre fouvent Fran ftyle fuiv fujet Ghilini Godeau Guez de Balzac Italien Jean Jean Chapelain Jéfuite Journal des Savans jugement l'efprit laiffé Lopé de Vega Malherbe maniére Maynard Meffieurs Ménage Moliere Mufes n'avoit n'eft n'eſt n'étoit natif neille Nicolas Obferv Oeuvres Ouvrages paffer paffions Parnaffe paroît particuliérement Pelliffon penfées perfonne perfuader plaifir plufieurs Poë Poëme Poëte François Poëte Latin Poëtique prefque premiére puiffe Racan Racine raifon Rapin refte réuffi Rofteau s'eft Santeuil Sarafin Satire ſes tems teurs tion Tragédie Urbain VIII Virgile
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13 ÆäÀÌÁö - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir. Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes; Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.
5 ÆäÀÌÁö - D'un mot mis en fa place enfeigna le pouvoir, Et rfduifu la Mufe aux régies du devoir. Par ce fage Ecrivain la Langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. Les Stances avec grâce apprirent à tomber, Et le Vers fur le Vers n'ofa plus enjamber. Tout reconnut fes loix, & ce guide fidèle Aux Auteurs de ce tems fcrt encor de modèle.
346 ÆäÀÌÁö - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eût rayé du nombre des humains, - On reconnut le prix de sa muse éclipsée.
425 ÆäÀÌÁö - La tendresse et les passions, qui doivent être l'âme des tragédies, n'ont aucune part en celle-ci : la grandeur de courage y règne seule, et regarde son malheur d'un ©«il si dédaigneux qu'il n'en saurait arracher une plainte.
245 ÆäÀÌÁö - C'eft pourtant ce qui fait un peu mal au c©«ur à Mr. Defpreaux qui s'en plaint au Roi en ces termes : En tous lieux cependant la Pharfale approuvée Sans crainte de mes Vers va la tête le-
542 ÆäÀÌÁö - Je sais sur leurs avis corriger mes erreurs, Et je mets à profit leurs malignes fureurs. Sitôt que sur un vice ils pensent me confondre, C'est...
172 ÆäÀÌÁö - ... à la Poésie sa force et son élévation, par une retenue trop timide, et par une fausse pudeur, dont on s'avisa de faire le caractère de...
345 ÆäÀÌÁö - L'un, défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pour prix de ses bons mots le condamnoit au feu '. L'autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre, Vouloit venger la cour immolée au parterre.
342 ÆäÀÌÁö - Molière : car les anciens poètes comiques n'ont que des valets pour les plaisants de leur théâtre; et les plaisants du théâtre de Molière sont les marquis et les gens de qualité. Les autres n'ont joué dans la comédie que la vie bourgeoise et commune, et Molière a joué tout Paris et la cour.
539 ÆäÀÌÁö - Il ne s'effraya point du xnorn de Satires que portoient ces Ouvrages , où il ne vit en effet que des vers & des Auteurs attaqués.