Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, 3±Ç |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
5°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
ÆäÀÌÁö
... ci - dessus exposé , en tout ni en partic , ni d'en faire aucuns Extraits , sous
quelque prétexte que ce soit , d'augmentation , correction , changement de titre ,
mê . ment , > -me en feuilles séparées . , ou autrement fans la PRIVILEGE DU
ROT .
... ci - dessus exposé , en tout ni en partic , ni d'en faire aucuns Extraits , sous
quelque prétexte que ce soit , d'augmentation , correction , changement de titre ,
mê . ment , > -me en feuilles séparées . , ou autrement fans la PRIVILEGE DU
ROT .
16 ÆäÀÌÁö
... Ce reste de vangeance & de sévérité Pour Zaïre , crois moi , fans . que ton
c©¡ur s'offense . Elle n'est pas d'un prix qui soit en ta puissance ; Tes Chevaliers
François , & tous leurs Souverains S'uniroient vainement pour l'ôter de mes
mains ...
... Ce reste de vangeance & de sévérité Pour Zaïre , crois moi , fans . que ton
c©¡ur s'offense . Elle n'est pas d'un prix qui soit en ta puissance ; Tes Chevaliers
François , & tous leurs Souverains S'uniroient vainement pour l'ôter de mes
mains ...
27 ÆäÀÌÁö
... plus libre alors m'étoit permis , Esclave dans la foule où j'étois confondue , Aux
regards du Soudan je vivois inconnuë , Vous daignâtes bien - côt , soit grandeur ,
soit pitić , > Soit plutôt digne effet d'une pure amitit , Revoiant TRAGEDIE , 27.
... plus libre alors m'étoit permis , Esclave dans la foule où j'étois confondue , Aux
regards du Soudan je vivois inconnuë , Vous daignâtes bien - côt , soit grandeur ,
soit pitić , > Soit plutôt digne effet d'une pure amitit , Revoiant TRAGEDIE , 27.
64 ÆäÀÌÁö
loin de votre vue Mourir defefpéré de vous avoir perdue , Que de vous posseder ,
s'il faut qu'à votre foi Il en coutc un soupir qui ne soit pas pour moi : Allez , mes
yeux jamais ne reverront vos charines . ZA Y RE . Tu m'as donc tout ravi , Dieu ...
loin de votre vue Mourir defefpéré de vous avoir perdue , Que de vous posseder ,
s'il faut qu'à votre foi Il en coutc un soupir qui ne soit pas pour moi : Allez , mes
yeux jamais ne reverront vos charines . ZA Y RE . Tu m'as donc tout ravi , Dieu ...
95 ÆäÀÌÁö
Aux siens . Respectez ce Héros , & conduisez les NE'RESTAN . Guide - moi ,
Dieu puissant , je ne me connois pas : Faut - il qu'à t'admirer ta fureur me
contraigne , Et que dans mon malheur ce soit moi qui te plaigne . - pas . FI N. JA '
Ai lû par ...
Aux siens . Respectez ce Héros , & conduisez les NE'RESTAN . Guide - moi ,
Dieu puissant , je ne me connois pas : Faut - il qu'à t'admirer ta fureur me
contraigne , Et que dans mon malheur ce soit moi qui te plaigne . - pas . FI N. JA '
Ai lû par ...
´Ù¸¥ »ç¶÷µéÀÇ ÀÇ°ß - ¼Æò ¾²±â
¼ÆòÀ» ãÀ» ¼ö ¾ø½À´Ï´Ù.
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
abandonna affreux aimé allez Amant amour aujourd'hui barbare bienfaits bonheur bras c'eſt cacher c©¡ur CHATILLON cher Chevaliers Chrétiens Ciel coeur CORA CORASMIN cour courage crime cruel délivre demande dernier devant Dieu doit Donne doute enfans enfin Eſclave eſt fang fans FATIME fers fidéle fille fils foibles font François frere Garde généreux gloire Hélas Héros heureux j'ai jour l'amour larmes lieux loin Louis Luſignan m'aimez Madame main Maître malheureux momens n'en n'eſt NERESTAN ORO S M A N OROSMANE parler pere Peut-être peux pieds pleurs porter premiers qu'à qu'en regards rend rien Rois s'il ſang ſans SCENE ſecret Seigneur ſein ſens ſentimens Sérail ſes ſeul ſeule ſoit ſon ſont Soudan ſous ſuis ſur tems tendre tendreſſe trahis tremble trouble vertu veux viens vois voix yeux Z A Y R ZA Y R Zaïre ZAYRE
Àαâ Àο뱸
37 ÆäÀÌÁö - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
8 ÆäÀÌÁö - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos m©«urs, notre croyance.
36 ÆäÀÌÁö - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!