Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, 3±Ç |
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10 ÆäÀÌÁö
... 2001 Je ne te parle point du Sceptre qu'il me donne Non , la reconnoissance
est un foible recour , Un tribut offenfant , trop peu fait pour l'amour ; Mon ceur
aime Ocosmanę , & non son Diademe Chere Fatime , en lui je n'aime que lui -
même ...
... 2001 Je ne te parle point du Sceptre qu'il me donne Non , la reconnoissance
est un foible recour , Un tribut offenfant , trop peu fait pour l'amour ; Mon ceur
aime Ocosmanę , & non son Diademe Chere Fatime , en lui je n'aime que lui -
même ...
13 ÆäÀÌÁö
Si vous ne receviez les dons que je vous faits , Qu'arec ces sentimens que l'on
doit aux bienfaits ; Je vous aime , Zaïre ... haï d'être aimé foiblement ; De tous
mes sentimens tel est le caractére , Je veux avec cxcès vous aimer & vous plaire
.
Si vous ne receviez les dons que je vous faits , Qu'arec ces sentimens que l'on
doit aux bienfaits ; Je vous aime , Zaïre ... haï d'être aimé foiblement ; De tous
mes sentimens tel est le caractére , Je veux avec cxcès vous aimer & vous plaire
.
45 ÆäÀÌÁö
N ER E S T A N. Detester l'Empire de vos maîtres , Servir , aimer ce Dieu qu'ont
aimé nos ancêtres , Qar naquit , qui souffrit , qui mourut en ces lieux , Qui nous a
rassemblés , qui m'améne à vos yeux : Est - ce à moi d'en parler ? moins instruit ...
N ER E S T A N. Detester l'Empire de vos maîtres , Servir , aimer ce Dieu qu'ont
aimé nos ancêtres , Qar naquit , qui souffrit , qui mourut en ces lieux , Qui nous a
rassemblés , qui m'améne à vos yeux : Est - ce à moi d'en parler ? moins instruit ...
68 ÆäÀÌÁö
Quoi donc , par ma tendresse élevée à l'Empire , Dans le sein du bonheur que
son ame desire , Près d'un Amant qu'elle aime , & qui brûle à ses pieds ; Ses
yeur remplis d'amour , de larmes sont noïés ? ... Je suis bien indigné de voir tant
de ...
Quoi donc , par ma tendresse élevée à l'Empire , Dans le sein du bonheur que
son ame desire , Près d'un Amant qu'elle aime , & qui brûle à ses pieds ; Ses
yeur remplis d'amour , de larmes sont noïés ? ... Je suis bien indigné de voir tant
de ...
93 ÆäÀÌÁö
Hélas ! à cet excès son coeur l'avoit trompée , Decer espoir trop tendre elle étoit
occupée , Tu balançois fon Dieu dans son c©¡ur allarmé . OROSMANE . Tu m'en
as dit affez . Ciel ! j'étois aimé ! Va , je n'ai pas besoin d'en sçavoir davantage .
Hélas ! à cet excès son coeur l'avoit trompée , Decer espoir trop tendre elle étoit
occupée , Tu balançois fon Dieu dans son c©¡ur allarmé . OROSMANE . Tu m'en
as dit affez . Ciel ! j'étois aimé ! Va , je n'ai pas besoin d'en sçavoir davantage .
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Àαâ Àο뱸
37 ÆäÀÌÁö - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
8 ÆäÀÌÁö - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos m©«urs, notre croyance.
36 ÆäÀÌÁö - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!