Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, 3±ÇChez Jore Pere & Fils, 1733 - 95ÆäÀÌÁö |
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11 ÆäÀÌÁö
... pieds l'encens de mes maitreffes , " Et tranquille au Sérail , dictant mes volontés , Gouverner mon païs du fein des voluptés ; Mais la moleffe eft douce , & fa fuite eft cruelle ; Je vois autour de moi cent Rois vaincus par Je vois de ...
... pieds l'encens de mes maitreffes , " Et tranquille au Sérail , dictant mes volontés , Gouverner mon païs du fein des voluptés ; Mais la moleffe eft douce , & fa fuite eft cruelle ; Je vois autour de moi cent Rois vaincus par Je vois de ...
23 ÆäÀÌÁö
... pieds de nos Autels expirans dans les flâmes Et notre dernier Roi courbé du faix des ans Maffacré fans pitié fur fes fils expirans ! Lufignan , le dernier de cette augufte race , Dans ces momens affreux ranimant notre audace , Au milieu ...
... pieds de nos Autels expirans dans les flâmes Et notre dernier Roi courbé du faix des ans Maffacré fans pitié fur fes fils expirans ! Lufignan , le dernier de cette augufte race , Dans ces momens affreux ranimant notre audace , Au milieu ...
28 ÆäÀÌÁö
... pieds la cendre ... ZA YR E. Je la viens honorer , Seigneur , je viens vous rendre .. Le dernier de ce fang , votre amour , votre espoir : Qui , Lufignan eft libre , & vous l'allez revoir . : CHATILLO Nas O Ciel ! nous reverrions notre ...
... pieds la cendre ... ZA YR E. Je la viens honorer , Seigneur , je viens vous rendre .. Le dernier de ce fang , votre amour , votre espoir : Qui , Lufignan eft libre , & vous l'allez revoir . : CHATILLO Nas O Ciel ! nous reverrions notre ...
42 ÆäÀÌÁö
... pieds pour elle Des rigueurs du Sérail la contrainte cruelle , J'ai méprifé ces loix dont l'âpre austerité Fait d'une vertu trifte une néceffité ; Je ne fuis point formé du fang Afiatique , Né parmi les rochers au sein de la Taurique ...
... pieds pour elle Des rigueurs du Sérail la contrainte cruelle , J'ai méprifé ces loix dont l'âpre austerité Fait d'une vertu trifte une néceffité ; Je ne fuis point formé du fang Afiatique , Né parmi les rochers au sein de la Taurique ...
53 ÆäÀÌÁö
... pieds les fouler avec vous ; Mais ... Seigneur ... ces Chrétiens ... OROSMAN E. Ces Chrétiens ... quoi , Madame ? Qu'auroient donc de commun cette Secte & ma flâ- me ? ZAYRE , Lufignan , ce vieillard accablé de douleurs , Termine en ces ...
... pieds les fouler avec vous ; Mais ... Seigneur ... ces Chrétiens ... OROSMAN E. Ces Chrétiens ... quoi , Madame ? Qu'auroient donc de commun cette Secte & ma flâ- me ? ZAYRE , Lufignan , ce vieillard accablé de douleurs , Termine en ces ...
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affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme f©«ur foibles foin foit fon ame fon c©«ur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Àαâ Àο뱸
37 ÆäÀÌÁö - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
8 ÆäÀÌÁö - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos m©«urs, notre croyance.
36 ÆäÀÌÁö - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!