Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, 3±Ç |
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27 ÆäÀÌÁö
Le Soudan , le permet , cessez de vous troubler , Et rasfurant mon cour qui
tremble à votre aproche , Chassez de vos regards la plainte & le reproche ;
Şeigneur , nous nous craignons ; nous rougillons tous deux , od 14 Je souhaite &
je crains ...
Le Soudan , le permet , cessez de vous troubler , Et rasfurant mon cour qui
tremble à votre aproche , Chassez de vos regards la plainte & le reproche ;
Şeigneur , nous nous craignons ; nous rougillons tous deux , od 14 Je souhaite &
je crains ...
70 ÆäÀÌÁö
ORO S M AN E. Ah ! lisons , ma main tremble , & mon ame étonnée Prévoit que
ce Billet contient ma destinée . Lisons ... » Chere Zaire , il est rems de nous voir .
» Il est vers la Mosquée une secrette issue , » Où vous pouvez sans bruit , & sans
...
ORO S M AN E. Ah ! lisons , ma main tremble , & mon ame étonnée Prévoit que
ce Billet contient ma destinée . Lisons ... » Chere Zaire , il est rems de nous voir .
» Il est vers la Mosquée une secrette issue , » Où vous pouvez sans bruit , & sans
...
71 ÆäÀÌÁö
Montre - lui cet écric .... qu'elle tremble .... & soudain De cent coups de poignard
que l'infidéle meure , Mais avant de fraper ... , ah ! cher ami demeure , Demeure ,
il n'est pas tems . Je veux que ce Chrétien Devant elle amené .... non .... je ne ...
Montre - lui cet écric .... qu'elle tremble .... & soudain De cent coups de poignard
que l'infidéle meure , Mais avant de fraper ... , ah ! cher ami demeure , Demeure ,
il n'est pas tems . Je veux que ce Chrétien Devant elle amené .... non .... je ne ...
79 ÆäÀÌÁö
Tu vois mon coeur , tu vois à quel excès je l'aime , Ma fureur est plus grande , & j'
en tremble moi - même . J'ai honte des douleurs où je me suis plongé , Mais
malheur aux ingrats qui m'auront outragé . Fin du quatriéme Ade . 1 ACTE V.
Tu vois mon coeur , tu vois à quel excès je l'aime , Ma fureur est plus grande , & j'
en tremble moi - même . J'ai honte des douleurs où je me suis plongé , Mais
malheur aux ingrats qui m'auront outragé . Fin du quatriéme Ade . 1 ACTE V.
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abandonna affreux aimé allez Amant amour aujourd'hui barbare bienfaits bonheur bras c'eſt cacher c©¡ur CHATILLON cher Chevaliers Chrétiens Ciel coeur CORA CORASMIN cour courage crime cruel délivre demande dernier devant Dieu doit Donne doute enfans enfin Eſclave eſt fang fans FATIME fers fidéle fille fils foibles font François frere Garde généreux gloire Hélas Héros heureux j'ai jour l'amour larmes lieux loin Louis Luſignan m'aimez Madame main Maître malheureux momens n'en n'eſt NERESTAN ORO S M A N OROSMANE parler pere Peut-être peux pieds pleurs porter premiers qu'à qu'en regards rend rien Rois s'il ſang ſans SCENE ſecret Seigneur ſein ſens ſentimens Sérail ſes ſeul ſeule ſoit ſon ſont Soudan ſous ſuis ſur tems tendre tendreſſe trahis tremble trouble vertu veux viens vois voix yeux Z A Y R ZA Y R Zaïre ZAYRE
Àαâ Àο뱸
37 ÆäÀÌÁö - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
8 ÆäÀÌÁö - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos m©«urs, notre croyance.
36 ÆäÀÌÁö - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!