¨«uvres de M. Boileau Despréaux..

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Chez David, à la Plume d'Or. Durand, au Griffon. rue S. Jacques., 1747

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231 ÆäÀÌÁö - Pour souveraine loi mettant la destinée , Du tonnerre dans l'air bravant les vains carreaux , Et nous parlant de Dieu du ton de Des Barreaux (2)?
271 ÆäÀÌÁö - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
279 ÆäÀÌÁö - C'est pour elle, en un mot, que j'ai fait v©«u d'écrire. Toutefois, s'il le faut, je veux bien m'en dédire, Et, pour calmer enfin tous ces flots d'ennemis, Réparer en mes vers les maux qu'ils ont commis, Puisque vous le voulez, je vais changer de style.
364 ÆäÀÌÁö - C'est un homme d'honneur, de piété profonde, Et qui veut rendre à Dieu ce «qu'il a pris au monde.
461 ÆäÀÌÁö - II souhaite la mort, et cent fois il l'appelle. La Mort vint à la fin : « Que veux-tu ? cria-t-elle. — Qui ? moi ! dit-il alors, prompt à se corriger : Que tu m'aides à me charger.
280 ÆäÀÌÁö - Vous aurez beau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom sacré sanctifier vos pages ; Qui méprise Cotin n'estime point son roi, Et n'a, selon Cotin, ni Dieu, ni foi, ni loi. Mais quoi ! répondrez-vous, Cotin nous peut-il nuire ? Et par ses cris enfin que saurait-il produire?

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