La comédie en France au XVIIIe siècle, 2±ÇHachette et cie, 1888 - 446ÆäÀÌÁö |
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... . Moncade , à force de vouloir se divertir aux dépens des bour- geois ses oncles et cousins futurs , en leur sautant au 1. Acte I , scène xv . cou pour se moquer d'eux , perd le peu de 4 LA COMÉDIE AU DIX - HUITIÈME SIÈCLE .
... . Moncade , à force de vouloir se divertir aux dépens des bour- geois ses oncles et cousins futurs , en leur sautant au 1. Acte I , scène xv . cou pour se moquer d'eux , perd le peu de 4 LA COMÉDIE AU DIX - HUITIÈME SIÈCLE .
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... scène assez plaisante , l'a embrassé malgré lui , cajolé , dorloté , en l'appelant mon bon oncle , M. Mathieu ne peut résister à tant de séductions . Se voir , lui bour- geois , ainsi traité par un marquis ! Il oublie le pauvre Damis qu ...
... scène assez plaisante , l'a embrassé malgré lui , cajolé , dorloté , en l'appelant mon bon oncle , M. Mathieu ne peut résister à tant de séductions . Se voir , lui bour- geois , ainsi traité par un marquis ! Il oublie le pauvre Damis qu ...
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... scène vi . 2. Ibid . 3. Acte II , scène vi . l'esclave , tout en faisant grand bruit de son indé- 10 LA COMÉDIE AU DIX - HUITIÈME SIÈCLE .
... scène vi . 2. Ibid . 3. Acte II , scène vi . l'esclave , tout en faisant grand bruit de son indé- 10 LA COMÉDIE AU DIX - HUITIÈME SIÈCLE .
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... scène II . 2. Acte II , scène III . 3. Ibid . T testine . ped in- comme en quem : 3 LES ÉPHÉMÈRES BOISSY . 13.
... scène II . 2. Acte II , scène III . 3. Ibid . T testine . ped in- comme en quem : 3 LES ÉPHÉMÈRES BOISSY . 13.
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... scènes piquantes très finement et très habilement conduites . Aussi Collé pense - t - il que Boissy a dû être aidé dans le plan et la confection de cette pièce , si ... scène II . 24. 2 . youn We A 2 H e de LES ÉPHÉMÈRES BOISSY . 15.
... scènes piquantes très finement et très habilement conduites . Aussi Collé pense - t - il que Boissy a dû être aidé dans le plan et la confection de cette pièce , si ... scène II . 24. 2 . youn We A 2 H e de LES ÉPHÉMÈRES BOISSY . 15.
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281 ÆäÀÌÁö - Parce que vous êtes un grand Seigneur, vous vous croyez un grand génie!... • noblesse, fortune, un rang, des places; tout cela rend si., fier! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu ! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes ; et vous voulez jouter...
281 ÆäÀÌÁö - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie !... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! \ Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes p I donné la peine de naître, et rien de plus.
96 ÆäÀÌÁö - ... systèmes qu'ils ont bâtis dans leur imagination. Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions; ils arrachent du fond des c©«urs le remords du crime, l'espoir de la vertu, et se vantent encore d'être les bienfaiteurs du genre humain.
351 ÆäÀÌÁö - ... république ? Le plus sûr est pourtant de ne pas s'y fier : Ce même Frédéric, juste envers un meunier, Se permit maintes fois telle autre fantaisie : Témoin ce certain jour qu'il prit la Silésie ; Qu'à peine sur le trône, avide de lauriers, Epris du vain renom qui séduit les guerriers, II mit l'Europe en feu. Ce sont là jeux de prince ; On respecte un moulin, on vole une province A.
335 ÆäÀÌÁö - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux...
251 ÆäÀÌÁö - ... l'action principale de la comédie? "Ces caractères, dit-on, sont naturels." Ainsi, par cette règle, on occupera bientôt tout l'amphithéâtre d'un laquais qui siffle, d'un malade dans sa garde-robe, d'un homme ivre qui dort ou qui vomit. Y at-il rien de plus naturel! C'est...
125 ÆäÀÌÁö - Quel état, mon fils, que celui d'un homme qui, d'un trait de plume, se fait obéir d'un bout de l'univers à l'autre! Son nom, son seing n'a pas besoin, comme la monnaie d'un souverain, que la valeur du métal serve de caution à l'empreinte ; sa personne a tout fait ; il a signé, cela suffit.
262 ÆäÀÌÁö - SierraMorena, l'Andalousie ; accueilli dans une ville, emprisonné dans l'autre, et partout supérieur aux événements; loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là.; aidant au bon temps, supportant le mauvais ; me moquant des sots, bravant les méchants ; riant de ma misère et faisant la barbe à tout le monde...
282 ÆäÀÌÁö - Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu'ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil ! je lui dirais... que les sottises imprimées n'ont d'importance qu'aux lieux où l'on en gêne le cours ; que, sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur ; et qu'il n'ya que les petits hommes qui redoutent les petits écrits.
125 ÆäÀÌÁö - Ce n'est pas un peuple, ce n'est pas une seule nation qu'il sert; il les sert toutes, et en est servi; c'est l'homme de l'univers.