Théâtre et ©«uvres diverses de m. Pannard ...: Pieces représentées sur les théâtres des comédies françoise & italienne ...Duchesne, 1763 |
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affez AGATHINE ainfi Allons amant amour auffi avez BAGATELLE beau BÉLISE Belle bonheur BRÉ C'eft C'eſt CALISTON caufe ceffe charmante chere CHEVALIER CHEVROTIN chofe Clarice CLITAN DRE CLITANDRE c©«ur Confiteor connois CRISPIN DARDANÉ DÉCLAMATEUR difcours DORANTE doux Eft-ce eft-il époux eſt êtes fans fçais fçavez fçavoir fecret fera ferois fervir feul fille FLAVIE f©«ur foins foir foit font foupire fous fouvent FRONTIN fuis fuivez galant GALANTIS GAMBILLARD GUILLOT j'ai J'en joli jour l'Amour L'INTRIGUAN laiffe LEANDRE Lere Lifette LISETTE LUCILE LUCINDE m'en Madame ARGANTE Madame DESROCHES Mademoiſelle maitreffe MARTON Meffieurs MERCURE Monfieur n'eft n'eſt NERINE NOTAIRE OPERA-COMIQUE ORGON ORONT ORPHISE ouiche paffe PIGMALION plaifir POINTILLARD préfent puiffe Puifque raifon RAPIN refte RÉPÉTITEUR Réveillez-vous RICHARD rien ROBERT SCENE VIII tems TIMBRÉ Turelure vais VALENTIN veux VICOMTE vient Voilà la différence Voilà la reffemblance vois voulez-vous
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304 ÆäÀÌÁö - AIR : De tous les capucins du monde. Vingt maximes par accolades, Six quiproquo, douze tirades Sont dans celle poche en paquets : Là des récits, des confidences, Trente songes, vingt-six portraits Avec dix-huit reconnaissances.
52 ÆäÀÌÁö - L'on s'avance. Là, par un manège secret, Le gain qu'on fait Est immense; On y voit des commis Mis Comme des princes, Après être venus Nus De leurs provinces.
48 ÆäÀÌÁö - On est quelquefois étonné de l'aisance avec laquelle ce poète place des vers monosyllabiques : il semble s'être fait à plaisir des difficultés pour les vaincre. Mettez-vous bien cela Là, Jeunes fillettes. Songez que tout amant . Ment Dans ses fleurettes. Et l'on voit des commis Mis Comme des princes , Qui jadis sont venus Nus De leurs provinces.
324 ÆäÀÌÁö - Le malheur, aux cieux Fait lever les yeux: Pour vanter un objet qui touche, On met les cinq doigts dessus la bouche; On fait ceci dans l'embarras : La crainte fait doubler le pas, La pitié nous fait faire hélas ! L'ennui fait étendre les bras, Turelure, etc.
50 ÆäÀÌÁö - Mon c©«ur, sensible et délicat , Veut un contrat Pour se rendre : C'est un trompeur que Cupidon , Et la raison Sut m'apprendre Qu'on n'a de ce vaurien Rien, Quand la bergère Donne à quelque garçon Son C©«ur sans notaire.
306 ÆäÀÌÁö - Oubliez-vous . . .—Finis tes discours superflus. Le sort en est jeté, qu'on ne m'en parle plus. — Puis-je me taire et voir qu'on trahit votre flamme? — Quoi, malgré le beau feu qui règne dans mon âme La princesse pourrait brûler d'une autre ardeur! — Seigneur, n'en doutez point— Ah, comble de douleur! Armez-vous, dieux vengeurs! Grands dieux, lancez la foudre! Impitoyables dieux! dieux, mettez-les en poudre! J'en atteste les dieux; les dieux m'en sont témoins! Justes dieux, c'en est...
229 ÆäÀÌÁö - On à\i que l'Amour eft trompeur, Et qu'il en fait accroire aux Belles ; J'ignore encore fon ardeur. Raifon , fais que jamais mon coeur N'en conçoive de nouvelles.
290 ÆäÀÌÁö - MERCURE. Voici ce que j'ai fait pour la commodité des Auteurs du premier Théâtre. Air : L'honneur dans un jeune tendron. J'ai fait dépecer par lambeaux Les deux Tragiques les plus beaux...
289 ÆäÀÌÁö - Sur le magafm des Auteurs. MERCURE. Pourquoi î LA BAGATELLE. Les preuves en font claires : Le Dieu qui préfide aux Voleurs Doit préfider aux Plagiaires.
499 ÆäÀÌÁö - La folie avec les amours , C'eft ce que l'on voit tous les jours*. L'enjouement avec les affaires ,. Les graces avec le fçavoir , Le plaifir avec le devoir, C'eft ce qu'on ne voit, guère,.