| Marguerite-Jeanne Staal (baronne de) - 1756 - 308 ÆäÀÌÁö
...Je demeurai pétrifiée à cette propoiition '•> mais , furtout , ce qui me glaça le c©«ur, fut cet habit emprunté pour deux heures , avec lequel...je craignis qu'on ne me fît faire le tour du monde ; & il ne s'en fallut guere s. Mais, malgré ces confidérations , il n'y avoit pas moyen de reculer... | |
| Marguerite-Jeanne Cordier Staal de Launay (baronne de) - 1756 - 468 ÆäÀÌÁö
...Ventadour. Je demeurai pétrifiée à cette propofition ; mais , furtout , ce qui me glaça le c©«ur, fut cet habit emprunté pour deux heures , avec lequel...je craignis qu'on ne me fît faire le tour du monde ; & il ne s'en fallut gueres. Mais, malgré ces confidérations , il n'y avoit pas moyen de reculer... | |
| Joseph de Laporte, Jean-François de La Croix - 1769 - 622 ÆäÀÌÁö
...Je demeurai pétrifiée à cette pro» pofition ; mais furtout , ce qui me glaça le c©«ur, s, rut cet habit emprunté pour deux heures , avec ,> lequel je craignis qu'on ne me fit faire le tour » du monde ; & il ne s'en fallut guère. Malgré » ces confidérations , il n'y... | |
| 1829 - 546 ÆäÀÌÁö
...tadour.» Je demeurai pétrifiée à cette proposition; mais surtout ce qui me glaça le c©«ur fut cet habit emprunté pour deux heures, avec lequel...autres. Je montai donc , le c©«ur serré : elle ne s'en apercut pas, et parla tout le long du chemin. Elle disoit cent choses à la fois, qui n'avoient nul... | |
| Marie Aurore Dupin de Francueil - 1833 - 400 ÆäÀÌÁö
...à cette proposition, dit » mademoiselle de Launay; mais surtout > ce qui me glaça le c©«ur, fut cet habit » emprunté pour deux heures avec lequel...le tour du • monde, et il ne s'en fallut guère. » Pendant le trajet, mademoiselle de Launay commença à sentir toute la dépendance de sa position.'... | |
| Ludwig Ideler - 1838 - 538 ÆäÀÌÁö
...Ventadour. Je demeurai pétrifiée à cette proposition; mais, surtout, ce qui me glaça le coeur, fut cet habit emprunté pour deux heures, avec lequel...de résister à celle des autres. Je montai donc le coeur serré; elle ne s'en ¬Ñ¬âperçut pas, et parla tout le long du chemin. Elle disoit cent choses... | |
| 1846 - 472 ÆäÀÌÁö
...Ventadour. » Je demeurai pétrifiée à cette proposition ; mais surtout ce qui me glaca le c©«ur fut cet habit emprunté pour deux heures, avec lequel...guère. Mais , malgré ces considérations, il n'y avait pas moyen de reculer; je n'étais plus au temps d'avoir une volonté , ni de résister à celle... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 ÆäÀÌÁö
...Ventadour. Je demeurai pétrifiée à cette proposition ; mais, surtout, ce qui me glaça le c©«ur, fut 8 cet habit emprunté pour deux heures, avec lequel je craignis qu'on ne me ftt faire le tour du monde ; et il ne s'en fallut guère. Mais, malgré ces considérations, il n'y... | |
| 1853 - 468 ÆäÀÌÁö
...Veiitadour. » Je demeurai pétrifiée à cette proposition ; mais surtout ce qui me glaça le c©«ur fut cet habit emprunté pour deux heures, avec lequel...guère. Mais, malgré ces considérations , il n'y avait pas moyen de reculer ; je n'étais plus au temps d'avoir une volonté , ni de résister à celle... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1856 - 488 ÆäÀÌÁö
...Ventadour. Je demeurai pétrifiée à cette proposition ; mais, surtout, ce qui me glaça le c©«ur, fut "'cet habit emprunté pour deux heures, avec lequel je craignis qu'on ne me fit faire le tour du monde; et il ne s'en fallut guère. Mais, malgré ces considérations, il n'y... | |
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