La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
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25 ÆäÀÌÁö
... fçais - tu tout cela ? + SCAPIN . Je fuis l'affocié du fils de Monfieur Grifon , moy . CHAMPAGNE . Quoy , tu te mefles auffi ... SCAPIN . Nous ne fommes affociez que pour emprunter , nous autres . Le connois - tu Monfieur Grifon ? T ...
... fçais - tu tout cela ? + SCAPIN . Je fuis l'affocié du fils de Monfieur Grifon , moy . CHAMPAGNE . Quoy , tu te mefles auffi ... SCAPIN . Nous ne fommes affociez que pour emprunter , nous autres . Le connois - tu Monfieur Grifon ? T ...
51 ÆäÀÌÁö
... fçais - tu pas encor quelle adreffe eft la nôtre ? On m'a dit que ce foir , on doit danfer , chanter . On me l'a dit ainfi . LISETTE .. MERLIN . J'en fçauray profiter ; Ayde - nous feulement . LISETTE . Je fuis prefte à tout faire ...
... fçais - tu pas encor quelle adreffe eft la nôtre ? On m'a dit que ce foir , on doit danfer , chanter . On me l'a dit ainfi . LISETTE .. MERLIN . J'en fçauray profiter ; Ayde - nous feulement . LISETTE . Je fuis prefte à tout faire ...
61 ÆäÀÌÁö
... fçais jufte baiffer , ou hauffer une corde , Nul ne fçait de l'amour mieux le diapazon , Ny mettre comme moy deux c©«urs à l'uniffon . LISETTE . Oh vous aurez grand ' peine , avec votre industrie , A faire icy chanter deux Amants en ...
... fçais jufte baiffer , ou hauffer une corde , Nul ne fçait de l'amour mieux le diapazon , Ny mettre comme moy deux c©«urs à l'uniffon . LISETTE . Oh vous aurez grand ' peine , avec votre industrie , A faire icy chanter deux Amants en ...
71 ÆäÀÌÁö
... fçais pour tout jeu que l'oye & le toton . LE BARON .. Vous me gâtez icy bien du temps en paroles ; Monfieur , je veux toucher mes quatre cens piftoles , Ou cadedis , je veux le faignet à l'inftant , GERONT E. Si mon gendre vous doit ...
... fçais pour tout jeu que l'oye & le toton . LE BARON .. Vous me gâtez icy bien du temps en paroles ; Monfieur , je veux toucher mes quatre cens piftoles , Ou cadedis , je veux le faignet à l'inftant , GERONT E. Si mon gendre vous doit ...
85 ÆäÀÌÁö
... fçais qu'il a cent fois promis à ma Maîtreffe De ne toucher jamais cornet , carte , ny dé , " Par quelqu'efpoir de gain dont fon c©«ur fût guidé ; Cependant .... HECTOR . Je voy bien qu'un Rival domeftique Configne entre tes mains pour ...
... fçais qu'il a cent fois promis à ma Maîtreffe De ne toucher jamais cornet , carte , ny dé , " Par quelqu'efpoir de gain dont fon c©«ur fût guidé ; Cependant .... HECTOR . Je voy bien qu'un Rival domeftique Configne entre tes mains pour ...
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Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE c©«ur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille f©«ur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Àαâ Àο뱸
161 ÆäÀÌÁö - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
202 ÆäÀÌÁö - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
150 ÆäÀÌÁö - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
202 ÆäÀÌÁö - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
86 ÆäÀÌÁö - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...