Histoire Anecdotique Et Raisonnée Du Théâtre Italien, Depuis Son Rétablissement en France Jusqu'à L'année 1769, 1±Ç

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491 ÆäÀÌÁö - Ote-toi de là. ARLEQUIN Ah! les sottes gens! Mais, dites-moi, celui qui tuera l'autre épousera donc cette fille? MARIO Oui. ARLEQUIN Oui? et savez-vous si elle le voudra? Elle aime l'un ou l'autre, ainsi il faut lui demander avant que de vous battre, celui qu'elle veut que l'on tue. LÉLIO Mais . . . ARLEQUIN Mais, mais: oui, bête que tu es; car si c'est lui qu'elle aime, et que tu le tues,30 elle te haïra davantage et ne te voudra pas.
52 ÆäÀÌÁö - Dans la premiere fcêne , Arlequin paraît avec un collet de bufle & une longue épée ; il dit qu'il vient de l'armée , qu'il a fervi à Portolongone ; la mifere l'oblige de demander la charité. Cinthio furvient', Arlequin lui dit : Seigneur, fecourez d'une petite charité un pauvre muet qui eft privé de l'ufage de la parole : vous êtes donc muet, mon ami ? Oui, Monfieur ; mais comment êtes vous muet, puifque vous répondez à ce que je vous demande ? Monfieur, fi je ne vous répondais pas,...
41 ÆäÀÌÁö - ... joué ensemble, le premier acteur les réunit le matin, leur lit le plan de la pièce, et leur explique fort au long tout ce qui la compose ; en un mot il joue lui seul devant eux la pièce entière, rappelle à chacun ce qu'il doit dire, quant au fond ; lui indique les traits brillants qui, consacrés par le temps, sont devenus indispensables ; les jeux de théâtre que porte la scène et la manière dont les lazis doivent se répondre les uns aux autres.
305 ÆäÀÌÁö - Trivelin, s'offrit de le tuer; il en vint à bout , & n'exigea pour prix de fa victoire , que de devenir l'époux de la plus riche du Village ; le choix ne fut pas incertain , Et le Vainqueur d'un Loup , était digne de moi.
304 ÆäÀÌÁö - Colombine crut qu'en l'envoyant aux Enfans - trouvés , elle empêcherait ce fils de commettre de tels forfaits ; mais malgré cette précaution , il remplit fa deftinée.
493 ÆäÀÌÁö - Si quelqu'un m'en demandait autant, je le tuerais; car je suis honnête homme, moi, et qui n'est pas sujet à caution. LE PASSANT : Je le vois bien, monsieur. Adieu. ARLEQUIN : Arrête. LE PASSANT, à part : Encore! Ciel, tirez-moi de ce pas. ARLEQUIN : Je suis fâché d'en agir ainsi avec toi, parce que tu me parais bon homme, et que tu estimes les sauvages.
186 ÆäÀÌÁö - Meunier, de son fils et l'âne ; il accompagnait son récit de tous les gestes qui lui étaient familiers : il descendait de l'âne avec le meunier , il y montait avec le jeune homme, il trottait devant eux, il prenait tous les...
187 ÆäÀÌÁö - des raifons me raffurer fur mes craintes , & » me faire entrer avec confiance fur ce Théâtre; » mais comme c'eft à fa feule bonté que je dois » cet avantage , c'eft à vous , Meffieurs , à qui
429 ÆäÀÌÁö - ARLEQUIN , en fe rafeyant, dit : • Qu'il crie donc ..plus haut. LE CHANTEUR continue , en lui montrant la. Fée Voyez- vous cet objet charmant? Ses yeux dont l'ardeur étincelle , Vous répètent à tout moment : Beau brunet, l'Amour vous appelle. ARLEQUIN , regj.rda.nt les yeux de la.
186 ÆäÀÌÁö - Je suis le bonhomme; je suis son fiis; et je suis encore l'âne. Les uns me disent : « Arlequin. il faut parler français : les dames ne vous entendent point, et bien des hommes ne vous entendent guère. Lorsque je les ai remerciés de leur avis, je me tourne d'un autre côté, et des seigneurs me disent : « Arlequin, vous ne devez pas parler français : vous perdrez votre feu.

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