Oeuvres de d'Alembert, 3±ÇA. Belin, 1821 |
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académicien aimait âme amis assez aurait auteur avaient Bernoulli cardinal cardinal de Fleury cardinal Dubois célèbre Cicéron comédie compagnie confrères Crébillon croyait d'autres d'être Despréaux Destouches Dieu digne dire disait-il discours dit-il donner Dubois écrit écrivain éloge enfans ennemis espèce eût finesse Fontenelle genre gens de lettres gloire goût heureux hommes Houtteville jamais jésuites jour juges justice l'abbé d'Olivet l'abbé de Choisy l'abbé de Saint-Pierre l'auteur l'éloge l'esprit l'Esprit des Lois l'ouvrage laisser langue long-temps Louis XIV madame de Lambert malheur Marivaux Marsais Massillon mérite milord Maréchal ministre momens monarque Moncrif Monnaye Montesquieu mort Motte n'avait n'était nation non-seulement ouvrages parler penser personne peuple peut-être philosophe pièce plaisir poésie poëte pouvait presque prince prose public qu'un quelquefois raison religion reproche ridicule rien sage Saint-Aulaire satire scène sentimens sentiment serait seul société souvent style succès sujet surtout talens théâtre tion tragédie traits trouver Trublet vérité Voltaire vrai zèle
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246 ÆäÀÌÁö - Parlons maintenant selon les lumières naturelles. S'il ya un Dieu, il est infiniment incompréhensible, puisque, -n'ayant ni parties ni bornes, il n'a nul rapport à nous. Nous sommes donc incapables de connaître ni ce qu'il est, ni s'il est.
246 ÆäÀÌÁö - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à luimême, et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis, ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant...
440 ÆäÀÌÁö - Personnes, mais qu'il était encore plus éloigné de désavouer un ouvrage dont il croyait n'avoir point à rougir ; et qu'il devait être jugé d'après une lecture , et non sur une délation. Le ministre prit enfin le parti...
454 ÆäÀÌÁö - Il était sensible à la gloire , mais il ne voulait y parvenir qu'en la méritant; jamais il n'a cherché à augmenter la sienne par ces man©«uvres sourdes, par ces voies obscures et honteuses, qui déshonorent la personne $ans ajouter au nom de l'auteur.
249 ÆäÀÌÁö - Qui blâmera donc les chrétiens de ne pouvoir rendre raison de leur créance, eux qui professent une religion dont ils ne peuvent rendre raison ? Ils déclarent, en l'exposant au monde, que c'est une sottise...
566 ÆäÀÌÁö - Qu'on vous fasse régner, tout vous paraîtra juste ; Mais vous mépriseriez l'amant le plus auguste , S'il ne sacrifiait au pouvoir de vos yeux Son honneur, son devoir, la justice et les dieux.
553 ÆäÀÌÁö - J'ai été content du succès de mon Electre , » je souhaite que le frère vous fasse autant d'honneur que la
69 ÆäÀÌÁö - DU, voluislis) habebo, je ne fay que traîner languissant , et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte.
246 ÆäÀÌÁö - La plupart de ceux qui entreprennent de prouver la divinité aux impies commencent d'ordinaire par les ouvrages de la nature, et ils y réussissent rarement. Je n'attaque pas la solidité de ces preuves, consacrées par l'Écriture sainte; elles sont conformes à la raison; mais souvent elles ne sont pas assez conformes et assez proportionnées à la disposition de l'esprit de ceux pou qui elles sont destinées.
247 ÆäÀÌÁö - C'est à eux que toute la nature parle pour son auteur, et que les cieux annoncent la gloire de Dieu. Mais pour ceux en qui cette lumière est éteinte, et dans lesquels on a dessein de la faire revivre, ces personnes destituées de foi et de charité, qui ne trouvent que ténèbres et obscurité dans toute la nature, il semble que ce ne soit pas le moyen de les ramener que de ne leur donner, pour...