Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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67 ÆäÀÌÁö
... Mariamne de Tristan et la Sopho- nisbe de Mairet sont infectées de ce ridi- cule style , et c'étaient encore les mer- veilles de notre théâtre au moment où Corneille donnait le Cid et Cinna . D'un autre côté , les romanciers espagnols ...
... Mariamne de Tristan et la Sopho- nisbe de Mairet sont infectées de ce ridi- cule style , et c'étaient encore les mer- veilles de notre théâtre au moment où Corneille donnait le Cid et Cinna . D'un autre côté , les romanciers espagnols ...
204 ÆäÀÌÁö
... Mariamne , sans qu'on dise même pourquoi , corrompt un échan ¡æ son du roi son frere , et l'engage à déposer que Mariamne lui a fait l'horrible proposition d'em- poisonner Hérode . Sur cette accusation , destituée d'ailleurs de toute ...
... Mariamne , sans qu'on dise même pourquoi , corrompt un échan ¡æ son du roi son frere , et l'engage à déposer que Mariamne lui a fait l'horrible proposition d'em- poisonner Hérode . Sur cette accusation , destituée d'ailleurs de toute ...
205 ÆäÀÌÁö
... Mariamne et la perfidie de Salome . Toute la piece n'est donc qu'une déclaration dia- loguée ; elle est absolument sans art , mais non pas cependant sans quelqu'intérêt , puisqu'une femme innocente et mise à mort inspire toujours ...
... Mariamne et la perfidie de Salome . Toute la piece n'est donc qu'une déclaration dia- loguée ; elle est absolument sans art , mais non pas cependant sans quelqu'intérêt , puisqu'une femme innocente et mise à mort inspire toujours ...
206 ÆäÀÌÁö
... - grins que lui donne Mariamne , qui ne répond nullement à l'amour qu'il a pour elle . Les deux confidens s'efforcent de l'aigrir de plus plus en plus contre son épouse . SALOME . Quel plaisir prenez - vous de chérir une 206 COURS.
... - grins que lui donne Mariamne , qui ne répond nullement à l'amour qu'il a pour elle . Les deux confidens s'efforcent de l'aigrir de plus plus en plus contre son épouse . SALOME . Quel plaisir prenez - vous de chérir une 206 COURS.
207 ÆäÀÌÁö
... Cid . Hérode finit par envoyer un message amoureux à Mariamne : Observe bien surtout en faisant ce message , Et le ton de sa voix , et l'air de son visage , 1 Si son teint devient pâle ou s'il devient vermeil DE LITTÉRATURE . 207.
... Cid . Hérode finit par envoyer un message amoureux à Mariamne : Observe bien surtout en faisant ce message , Et le ton de sa voix , et l'air de son visage , 1 Si son teint devient pâle ou s'il devient vermeil DE LITTÉRATURE . 207.
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Acomat acte aime amour Andromaque assez Atalide Bajazet beau beautés Bérénice Boileau Britannicus Burrhus caractere César Chimene chose Cinna Cléopâtre c©«ur Corneille Cours de littér crime Curiaces d'Acomat d'Hermione défauts desirs dire doit dramatique Émilie ennemis eût Fontenelle François Ier frere génie genre gloire goût grace Grecs hémistiche Hermione heureux homme Horaces idées imité j'ai jamais jour l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit laisser langage langue long-tems lumieres malheureux maniere Mariamne Marot ment mérite modele morceaux mort Narcisse Néron Osmin ouvrages parler passion pensée pere personnages Phénice piece plaisir poëme poésie poëte poétique Polyeucte premier premiere prince Pyrrhus qu'un Racine raison reste rien Rodrigue rôle Romains Rome Ronsard Roxane s'il Sabine sang scene seigneur sentimens sentiment serait serrail Sertorius seul siecle Sophonisbe sort spectateur style sublime succès sujet sultane Syphax talent tems théâtre tion tragédie tragique trouve tyran venger versification veut Viriate Voilà Voltaire vrai yeux دو
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442 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
127 ÆäÀÌÁö - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
161 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
429 ÆäÀÌÁö - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
386 ÆäÀÌÁö - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton c©«ur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du c©«ur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
338 ÆäÀÌÁö - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
413 ÆäÀÌÁö - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton c©«ur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
208 ÆäÀÌÁö - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes v©«ux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
99 ÆäÀÌÁö - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
217 ÆäÀÌÁö - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.