Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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127 ÆäÀÌÁö
... desirs ! > C'est un objet de comparaison assez curieux que de voir précisément les mêmes idées renfer- mées dans le même nombre de vers , par le grand versificateur Despréaux . Qu'heureux est le mortél qui du monde ignoré , Vit content ...
... desirs ! > C'est un objet de comparaison assez curieux que de voir précisément les mêmes idées renfer- mées dans le même nombre de vers , par le grand versificateur Despréaux . Qu'heureux est le mortél qui du monde ignoré , Vit content ...
130 ÆäÀÌÁö
... desirs sont contems ; Je trouve beau le désert ou j'habite , Et connais bien qu'il faut céder au tems M Fuir ( 2 ) l'éclat et devenir hermite . Je suis heureux de vieillir sans emploi , De me cacher , de vivre tout à moi , D'avoir ...
... desirs sont contems ; Je trouve beau le désert ou j'habite , Et connais bien qu'il faut céder au tems M Fuir ( 2 ) l'éclat et devenir hermite . Je suis heureux de vieillir sans emploi , De me cacher , de vivre tout à moi , D'avoir ...
196 ÆäÀÌÁö
... desirs ! Ne pouvais - tu trouver où prendre tes plaisirs , Qu'en cherchant l'amitié de ce prince numide , Qui te rend tout ensemble impudique et perfide ? Que me pourrais - tu dire , impudente , effrontée ? On croit entendre Arnolphe ...
... desirs ! Ne pouvais - tu trouver où prendre tes plaisirs , Qu'en cherchant l'amitié de ce prince numide , Qui te rend tout ensemble impudique et perfide ? Que me pourrais - tu dire , impudente , effrontée ? On croit entendre Arnolphe ...
369 ÆäÀÌÁö
... desirs D'un amour qui vers vous porte tous mes soupirs ! J'avouerai qu'autrefois , au milieu d'une armée , Mon c©«ur ne soupirait que pour la renommée . Mais hélas ! que vos yeux , ces aimables tyrans , Ont produit sur mon c©«ur des ...
... desirs D'un amour qui vers vous porte tous mes soupirs ! J'avouerai qu'autrefois , au milieu d'une armée , Mon c©«ur ne soupirait que pour la renommée . Mais hélas ! que vos yeux , ces aimables tyrans , Ont produit sur mon c©«ur des ...
393 ÆäÀÌÁö
... tombe à ses pieds . Il lui reproche son inflexibilité . Sa grace à vos desirs pouvait être accordée ; Mais vous ne l'avez pas seulement demandée , C'en est fait . ANDRO MAQU 2 . Ah ! seigneur , vous entendiez DE 393 LITTÉRATURE .
... tombe à ses pieds . Il lui reproche son inflexibilité . Sa grace à vos desirs pouvait être accordée ; Mais vous ne l'avez pas seulement demandée , C'en est fait . ANDRO MAQU 2 . Ah ! seigneur , vous entendiez DE 393 LITTÉRATURE .
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442 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
127 ÆäÀÌÁö - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
161 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
429 ÆäÀÌÁö - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
386 ÆäÀÌÁö - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton c©«ur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du c©«ur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
338 ÆäÀÌÁö - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
413 ÆäÀÌÁö - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton c©«ur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
208 ÆäÀÌÁö - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes v©«ux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
99 ÆäÀÌÁö - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
217 ÆäÀÌÁö - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.