Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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35 ÆäÀÌÁö
... art nouveau dont les effets ont été si étendus en bien et en mal , que les déclamateurs inconsidérés ou passion- nés , dont tout l'esprit consiste à ne mon- trer qu'un côté des objets , ne pourront jamais épuiser ici ni l'éloge ni la ...
... art nouveau dont les effets ont été si étendus en bien et en mal , que les déclamateurs inconsidérés ou passion- nés , dont tout l'esprit consiste à ne mon- trer qu'un côté des objets , ne pourront jamais épuiser ici ni l'éloge ni la ...
36 ÆäÀÌÁö
Jean-François de La Harpe. ¡¤ l'application des procédés de cet art , il a usé de sa liberté naturelle pour tirer éga- , lement de l'imprimerie de bons et de mau- > vais effets , ce n'est pas l'art qu'il faut ac- cuser , c'est l'homme . C ...
Jean-François de La Harpe. ¡¤ l'application des procédés de cet art , il a usé de sa liberté naturelle pour tirer éga- , lement de l'imprimerie de bons et de mau- > vais effets , ce n'est pas l'art qu'il faut ac- cuser , c'est l'homme . C ...
53 ÆäÀÌÁö
... art ensei- gne et de tout ce que le bon sens pres- crit ; mais il y a des situations , des effets , des caracteres ... art plus loin qu'eux , l'emporta sur eux par un talent naturel , quelquefois élevé jusqu'au sublime des pensées , à l ...
... art ensei- gne et de tout ce que le bon sens pres- crit ; mais il y a des situations , des effets , des caracteres ... art plus loin qu'eux , l'emporta sur eux par un talent naturel , quelquefois élevé jusqu'au sublime des pensées , à l ...
64 ÆäÀÌÁö
... nos aïeux le rhythme qui convient à notre versification , les regles essentielles de nos différens metres et l'art de les entremêler , le mouvement et les les suspensions de la phrase poétique , l'usage légitime de 64 INTRODUCTION .
... nos aïeux le rhythme qui convient à notre versification , les regles essentielles de nos différens metres et l'art de les entremêler , le mouvement et les les suspensions de la phrase poétique , l'usage légitime de 64 INTRODUCTION .
71 ÆäÀÌÁö
... art heureux et diffi- cile que Voltaire a si éminemment possédé dans la poésie badine et dans le style épis- tolaire , l'art de rapprocher et de familia- riser ensemble le talent et la grandeur , sans compromettre ni l'un ni l'autre . L ...
... art heureux et diffi- cile que Voltaire a si éminemment possédé dans la poésie badine et dans le style épis- tolaire , l'art de rapprocher et de familia- riser ensemble le talent et la grandeur , sans compromettre ni l'un ni l'autre . L ...
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Acomat acte aime amour Andromaque assez Atalide Bajazet beau beautés Bérénice Boileau Britannicus Burrhus caractere César Chimene chose Cinna Cléopâtre c©«ur Corneille Cours de littér crime Curiaces d'Acomat d'Hermione défauts desirs dire doit dramatique Émilie ennemis eût Fontenelle François Ier frere génie genre gloire goût grace Grecs hémistiche Hermione heureux homme Horaces idées imité j'ai jamais jour l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit laisser langage langue long-tems lumieres malheureux maniere Mariamne Marot ment mérite modele morceaux mort Narcisse Néron Osmin ouvrages parler passion pensée pere personnages Phénice piece plaisir poëme poésie poëte poétique Polyeucte premier premiere prince Pyrrhus qu'un Racine raison reste rien Rodrigue rôle Romains Rome Ronsard Roxane s'il Sabine sang scene seigneur sentimens sentiment serait serrail Sertorius seul siecle Sophonisbe sort spectateur style sublime succès sujet sultane Syphax talent tems théâtre tion tragédie tragique trouve tyran venger versification veut Viriate Voilà Voltaire vrai yeux دو
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442 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
127 ÆäÀÌÁö - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
161 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
429 ÆäÀÌÁö - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
386 ÆäÀÌÁö - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton c©«ur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du c©«ur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
338 ÆäÀÌÁö - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
413 ÆäÀÌÁö - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton c©«ur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
208 ÆäÀÌÁö - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes v©«ux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
99 ÆäÀÌÁö - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
217 ÆäÀÌÁö - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.