Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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33 ÆäÀÌÁö
... être vivement senties par ses compatriotes , et même quelques morceaux assez généralement beaux pour être admirés par toutes les nations ; l'autre , Cours de littér . Tome IV . C né peut - être avec moins de génie , mais INTRODUCTION . 33.
... être vivement senties par ses compatriotes , et même quelques morceaux assez généralement beaux pour être admirés par toutes les nations ; l'autre , Cours de littér . Tome IV . C né peut - être avec moins de génie , mais INTRODUCTION . 33.
54 ÆäÀÌÁö
... morceaux , d'autant plus frappans qu'ils sont chez lui plus rares et plus mêlés d'alliage , il fur , il est vrai , au dessus de son siecle , où la véritable tragédie était ignorée partout ; mais depuis que des génies du premier ordre ...
... morceaux , d'autant plus frappans qu'ils sont chez lui plus rares et plus mêlés d'alliage , il fur , il est vrai , au dessus de son siecle , où la véritable tragédie était ignorée partout ; mais depuis que des génies du premier ordre ...
60 ÆäÀÌÁö
... morceaux pleins d'une verve satyrique , originale et piquante ; et après tout , on ne saurait croire qu'un auteur que Lafontaine lisait sans cesse et dont il a souvent profité , n'ait été qu'un fou vulgaire 60 INTRODUCTION .
... morceaux pleins d'une verve satyrique , originale et piquante ; et après tout , on ne saurait croire qu'un auteur que Lafontaine lisait sans cesse et dont il a souvent profité , n'ait été qu'un fou vulgaire 60 INTRODUCTION .
105 ÆäÀÌÁö
... morceaux de Marot et même de Saint - Gelais , qui écrivaient tous deux trente ans avant lui ? C'est qu'en effet il n'a pas quatre vers de suite qui puis- sent être retenus , grace à l'étrangeté de sa diction ( s'il est permis de se ...
... morceaux de Marot et même de Saint - Gelais , qui écrivaient tous deux trente ans avant lui ? C'est qu'en effet il n'a pas quatre vers de suite qui puis- sent être retenus , grace à l'étrangeté de sa diction ( s'il est permis de se ...
120 ÆäÀÌÁö
... morceaux de lui , qui sont d'une beauté à peu près irréprochable . Voyez cette belle paraphrase d'un pseaume sur la grandeur périssable des rois . Ont - ils rendu l'esprit ? ce n'est plus que poussiere Que cette majesté si pompeuse et ...
... morceaux de lui , qui sont d'une beauté à peu près irréprochable . Voyez cette belle paraphrase d'un pseaume sur la grandeur périssable des rois . Ont - ils rendu l'esprit ? ce n'est plus que poussiere Que cette majesté si pompeuse et ...
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442 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
127 ÆäÀÌÁö - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
161 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
429 ÆäÀÌÁö - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
386 ÆäÀÌÁö - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton c©«ur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du c©«ur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
338 ÆäÀÌÁö - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
413 ÆäÀÌÁö - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton c©«ur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
208 ÆäÀÌÁö - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes v©«ux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
99 ÆäÀÌÁö - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
217 ÆäÀÌÁö - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.