Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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23 ÆäÀÌÁö
... comme s'il pou- y avoir en Europe une Nation qui fît sa propriété du brigandage , qui consentît à se nourrir de sang et de dépouilles , et à vait laisser mourir de faim ceux qu'elle n'aurait pas égorgés en B 4 INTRODUCTION . 23.
... comme s'il pou- y avoir en Europe une Nation qui fît sa propriété du brigandage , qui consentît à se nourrir de sang et de dépouilles , et à vait laisser mourir de faim ceux qu'elle n'aurait pas égorgés en B 4 INTRODUCTION . 23.
111 ÆäÀÌÁö
... sang soient noyés . - Je veux qu'on dise un jour aux peuples effrayés : Il fut des Juifs . Et ailleurs : Je l'ai vu tout couvert d'une affreuse poussiere , Revêtu de lambeaux , tout pâle ; mais son ©«il Conservait sous la cendre encor le ...
... sang soient noyés . - Je veux qu'on dise un jour aux peuples effrayés : Il fut des Juifs . Et ailleurs : Je l'ai vu tout couvert d'une affreuse poussiere , Revêtu de lambeaux , tout pâle ; mais son ©«il Conservait sous la cendre encor le ...
139 ÆäÀÌÁö
... sang qu'ils ont répandu , Vient d'un pas lent et tranquille , Seule aux portes d'un asyle Où repose la vertu . ( 1 ) A quoi se rapporte abreuvée ? Est - ce à la mort ? Est - ce à la foule ? C'est une amphibologie condamnable . : Ces ...
... sang qu'ils ont répandu , Vient d'un pas lent et tranquille , Seule aux portes d'un asyle Où repose la vertu . ( 1 ) A quoi se rapporte abreuvée ? Est - ce à la mort ? Est - ce à la foule ? C'est une amphibologie condamnable . : Ces ...
175 ÆäÀÌÁö
... sang ils trempent leur pensée . Eh bien vous ai - je trompés ? Ne voilà - t - il pas que l'on qualifie expressément de chaleur et de hardiesse ce dernier excès du ridicule et de l'extra- vagance ? Par quel moyen , sous quel rapport peut ...
... sang ils trempent leur pensée . Eh bien vous ai - je trompés ? Ne voilà - t - il pas que l'on qualifie expressément de chaleur et de hardiesse ce dernier excès du ridicule et de l'extra- vagance ? Par quel moyen , sous quel rapport peut ...
176 ÆäÀÌÁö
... sang ? et ce vers , qu'on ne peut entendre sans pouffer de rire , est cité avec éloge ! « L'expression du » P. Lemoine est toujours hardie et poétique . S'il » veut peindre de grands arbres , voici comment il s'exprime : " Et les pins ...
... sang ? et ce vers , qu'on ne peut entendre sans pouffer de rire , est cité avec éloge ! « L'expression du » P. Lemoine est toujours hardie et poétique . S'il » veut peindre de grands arbres , voici comment il s'exprime : " Et les pins ...
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442 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
127 ÆäÀÌÁö - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
161 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
429 ÆäÀÌÁö - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
386 ÆäÀÌÁö - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton c©«ur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du c©«ur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
338 ÆäÀÌÁö - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
413 ÆäÀÌÁö - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton c©«ur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
208 ÆäÀÌÁö - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes v©«ux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
99 ÆäÀÌÁö - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
217 ÆäÀÌÁö - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.