Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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1 ÆäÀÌÁö
... siecle qui a suivi celui d'Auguste , jusqu'au regne de Louis XIV , tel qu'il fut prononcé en 1797 . Nous avons parcouru ces beaux siecles de la Grece et de Rome , qui ont été ceux de la gloire et des prodiges de l'esprit humain nous ...
... siecle qui a suivi celui d'Auguste , jusqu'au regne de Louis XIV , tel qu'il fut prononcé en 1797 . Nous avons parcouru ces beaux siecles de la Grece et de Rome , qui ont été ceux de la gloire et des prodiges de l'esprit humain nous ...
4 ÆäÀÌÁö
... siecle précédent contre la corruption du sien ; mais plus heureuse que la Grece , elle montre encore à la postérité un homme unique , Tacite , qui seul , la tête aussi haute que tout ce qui l'a précédé , reste debout comme une colonne ...
... siecle précédent contre la corruption du sien ; mais plus heureuse que la Grece , elle montre encore à la postérité un homme unique , Tacite , qui seul , la tête aussi haute que tout ce qui l'a précédé , reste debout comme une colonne ...
5 ÆäÀÌÁö
... siecles , où l'on dirait qu'elle a pris plaisir à déve- lopper tout sa puissance productive , à prodiguer ses richesses , à répandre ses trésors comme par monceaux ? Inépuisable et toujours la même dans ses productions physiques , est ...
... siecles , où l'on dirait qu'elle a pris plaisir à déve- lopper tout sa puissance productive , à prodiguer ses richesses , à répandre ses trésors comme par monceaux ? Inépuisable et toujours la même dans ses productions physiques , est ...
6 ÆäÀÌÁö
... siecle qui a suivi celui d'Auguste , jusqu'aux tems où le génie vit renaître de beaux jours sous les Médicis , et répandit ensuite sous Louis XIV cette éclatante lumiere qui a rempli le Monde , qui offusque aujourd'hui plus que jamais ...
... siecle qui a suivi celui d'Auguste , jusqu'aux tems où le génie vit renaître de beaux jours sous les Médicis , et répandit ensuite sous Louis XIV cette éclatante lumiere qui a rempli le Monde , qui offusque aujourd'hui plus que jamais ...
7 ÆäÀÌÁö
... siecle s'est piquée de n'être ni l'un ni l'autre . La vertu régna comme la loi : la Terre fur heureuse et le génie fut muet . Il y eut en- core quelques hommes d'esprit et de goût , tels que le critique Longin , le moraliste satyrique ...
... siecle s'est piquée de n'être ni l'un ni l'autre . La vertu régna comme la loi : la Terre fur heureuse et le génie fut muet . Il y eut en- core quelques hommes d'esprit et de goût , tels que le critique Longin , le moraliste satyrique ...
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442 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
127 ÆäÀÌÁö - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
161 ÆäÀÌÁö - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
429 ÆäÀÌÁö - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
386 ÆäÀÌÁö - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton c©«ur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du c©«ur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
338 ÆäÀÌÁö - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
413 ÆäÀÌÁö - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton c©«ur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
208 ÆäÀÌÁö - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes v©«ux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
99 ÆäÀÌÁö - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
217 ÆäÀÌÁö - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.