Oeuvres de Nicolas Boileau Despréaux, 1±ÇI. Vaillant, 1722 - 436ÆäÀÌÁö |
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xxiii ÆäÀÌÁö
... aussi sé- vère qu'éclairée . Qu'y a - t - il d'ailleurs de plus propre à former le goût , que la compa- raifon qui fe peut faire à tout moment , des endroits changez de mal en bien , ou de bien en mieux ? Les Remarques fuivent les ...
... aussi sé- vère qu'éclairée . Qu'y a - t - il d'ailleurs de plus propre à former le goût , que la compa- raifon qui fe peut faire à tout moment , des endroits changez de mal en bien , ou de bien en mieux ? Les Remarques fuivent les ...
23 ÆäÀÌÁö
... été remplie par Gilles Boileau , frere de notre Auteur . VERS * Traité de la verfification Françoise , pag . 146 . GUERET , Avocat , qui a fait aussi le Parnasse réformé . 80 Dont Monmaur autrefois fit leçon dans Paris . Il SATIRE 23 I.
... été remplie par Gilles Boileau , frere de notre Auteur . VERS * Traité de la verfification Françoise , pag . 146 . GUERET , Avocat , qui a fait aussi le Parnasse réformé . 80 Dont Monmaur autrefois fit leçon dans Paris . Il SATIRE 23 I.
81 ÆäÀÌÁö
... aussi , durs bois , par les hivers lavez , Qu'holocaufte eft mon c©«ur pour un front magnanime . Ils font extraits de divers endroits du Poëme de la Pucelle . Notre Auteur , pour faire mieux fentir la dureté de ces vers , les chantoit ...
... aussi , durs bois , par les hivers lavez , Qu'holocaufte eft mon c©«ur pour un front magnanime . Ils font extraits de divers endroits du Poëme de la Pucelle . Notre Auteur , pour faire mieux fentir la dureté de ces vers , les chantoit ...
348 ÆäÀÌÁö
... Aussi moi , dit - il , je vois mieux que tout autre que ce font ici des resveries d'homme qui n'a goufté des Sciences que la croufte première . L. I. ch . XXV . VERS 29. Quelquefois aux appas . ] On croit que l'Auteur auroit dû mettre à ...
... Aussi moi , dit - il , je vois mieux que tout autre que ce font ici des resveries d'homme qui n'a goufté des Sciences que la croufte première . L. I. ch . XXV . VERS 29. Quelquefois aux appas . ] On croit que l'Auteur auroit dû mettre à ...
355 ÆäÀÌÁö
... aussi mal que vous : Vient - il de la Province une Satire fade , D'un Plaisant du païs infipide boutade ; Pour la faire courir on dit qu'elle eft de moi : Et le fat Campagnard le croit de bonne foi . Et difant ce dernier vers Mr ...
... aussi mal que vous : Vient - il de la Province une Satire fade , D'un Plaisant du païs infipide boutade ; Pour la faire courir on dit qu'elle eft de moi : Et le fat Campagnard le croit de bonne foi . Et difant ce dernier vers Mr ...
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adreffée affez ainfi ajoûta Alcippe Apollon auffi auroit Auteur avoient avoit beau bien-tôt Boileau C'eft C'eſt caufe ceffe Cenfeurs Chapelain chofe c©«ur compofa Confeiller Cotin d'Amft deffein déja Despréaux Dieu difoit dire discours Docteur Ecrits Edition emploïé endroit enfuite Epître Esprit eſt étoient étoit fage faifoit fameux fans fecond fens fentiment feul foi-même foin foit font fouffrir fous fouvent François ftile fuis fuite fuiv fuivans fujet Gilles Boileau grace grans Hautile Heros homme Horace Ibid illuftre IMIT j'ai jour jufte Juvénal l'Abbé l'Auteur l'Epître laiffe Lettre Moliere Monfieur mourut Mufe n'avoit n'eft n'eſt n'étoit Nicolas Boileau Ouvrages paffage paffer Païs parler penfée penſée perfonne Phèdre Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëme Poëte poëtique Pradon premières éditions Prince qu'un Racine Raifon refte Regnier Remarque fur Rhin rimer s'eft Satire ſes ſon tems toûjours trifte vains Vertu yeux دو
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168 ÆäÀÌÁö - C'est pour elle, en un mot, que j'ai fait v©«u d'écrire. Toutefois , s'il le faut, je veux bien m'en dédire, Et , pour calmer enfin tous ces flots d'ennemis , Réparer en mes vers les maux qu'ils ont commis.
145 ÆäÀÌÁö - Assez et trop long-temps ma lâche complaisance De vos jeux criminels a nourri l'insolence; Mais, puisque vous poussez ma patience à bout, Une fois en ma vie il faut vous dire tout.
363 ÆäÀÌÁö - De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
127 ÆäÀÌÁö - S'en alla follement, et pensant être dieu, Courir comme un bandit qui n'a ni feu ni lieu ; Et, traînant avec soi les horreurs de la guerre, De sa vaste folie emplir toute la terre : Heureux, si de son temps, pour cent bonnes raisons.
147 ÆäÀÌÁö - Et ne savez-vous pas que , sur ce mont sacré , Qui ne vole au sommet tombe au plus bas degré; Et qu'à moins d'être au rang d'Horace ou de Voiture...
98 ÆäÀÌÁö - Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront de cris aigus frappé le voisinage, Qu'un affreux serrurier, laborieux Vulcain, Qu'éveillera bientôt l'ardente soif du gain, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête.
24 ÆäÀÌÁö - L'habit qu'il eut sur lui fut son seul héritage, Un lit et deux placets composaient tout son bien ; Ou, pour en mieux parler, Saint-Amant n'avait rien. Mais quoi ! las de traîner une vie importune, II engagea ce rien pour chercher la fortune, Et, tout chargé de vers qu'il devait mettre au jour, Conduit d'un vain espoir, il parut à la cour 5.
154 ÆäÀÌÁö - On ne sait bien -souvent quelle mouche le pique. Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis, Et qui, pour un bon mot, va perdre vingt amis.
146 ÆäÀÌÁö - Qu'étant seul à couvert des traits de la satire Vous avez tout pouvoir de parler et d'écrire. Mais moi qui dans le fond sais bien ce que j'en crois, Qui compte...
98 ÆäÀÌÁö - Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues D'un funèbre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents, Pour honorer les morts font mourir les vivants.