Oeuvres de Nicolas Boileau Despréaux, 1±ÇI. Vaillant, 1722 - 436ÆäÀÌÁö |
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iv ÆäÀÌÁö
... critiques . Dans quelques - unes on releve Mr. Despréaux : liberté que fon Commentateur ne s'eft pas tou- jours refufée . Dans d'autres on cri- tique le Commentateur : foit qu'il paroiffe avoir mal pris la pensée de Mr. Despréaux : foit ...
... critiques . Dans quelques - unes on releve Mr. Despréaux : liberté que fon Commentateur ne s'eft pas tou- jours refufée . Dans d'autres on cri- tique le Commentateur : foit qu'il paroiffe avoir mal pris la pensée de Mr. Despréaux : foit ...
xx ÆäÀÌÁö
... critique des mots , criti- que fèche , rebutante , pen utile ; & quand ils ont tenté d'éclaircir les endroits obfcurs , à peine ont - ils pu s'élever au deffus des doutes & des conjectures . L'obscurité que l'éloignement des tems ne ...
... critique des mots , criti- que fèche , rebutante , pen utile ; & quand ils ont tenté d'éclaircir les endroits obfcurs , à peine ont - ils pu s'élever au deffus des doutes & des conjectures . L'obscurité que l'éloignement des tems ne ...
xxiii ÆäÀÌÁö
... Critique aussi sé- vère qu'éclairée . Qu'y a - t - il d'ailleurs de plus propre à former le goût , que la compa- raifon qui fe peut faire à tout moment , des endroits changez de mal en bien , ou de bien en mieux ? Les Remarques fuivent ...
... Critique aussi sé- vère qu'éclairée . Qu'y a - t - il d'ailleurs de plus propre à former le goût , que la compa- raifon qui fe peut faire à tout moment , des endroits changez de mal en bien , ou de bien en mieux ? Les Remarques fuivent ...
xlviii ÆäÀÌÁö
... Critiques . EPITRE VIII . Au Roi , pour le remercier de fes bienfaits . 361 376 384 EPITRE IX . à Mr. le Marquis de Seignelai , fur l'Amour de la Verité . PREFACE fur les trois Epitres fuivantes . 397 EPITRE X. à fes Vers . Pour ...
... Critiques . EPITRE VIII . Au Roi , pour le remercier de fes bienfaits . 361 376 384 EPITRE IX . à Mr. le Marquis de Seignelai , fur l'Amour de la Verité . PREFACE fur les trois Epitres fuivantes . 397 EPITRE X. à fes Vers . Pour ...
2 ÆäÀÌÁö
... Critiques ont condamné ce vers , prétendant que l'on ne peut pas dire , la charge d'un fardeau . Cependant , on dit fort bien , le poids d'un fardeau ; ce fardeau et d'un poids trop grand . Ces expreffions n'ont rien d'irrégulier ...
... Critiques ont condamné ce vers , prétendant que l'on ne peut pas dire , la charge d'un fardeau . Cependant , on dit fort bien , le poids d'un fardeau ; ce fardeau et d'un poids trop grand . Ces expreffions n'ont rien d'irrégulier ...
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adreffée affez ainfi ajoûta Alcippe Apollon auffi auroit Auteur avoient avoit beau bien-tôt Boileau C'eft C'eſt caufe ceffe Cenfeurs Chapelain chofe c©«ur compofa Confeiller Cotin d'Amft deffein déja Despréaux Dieu difoit dire discours Docteur Ecrits Edition emploïé endroit enfuite Epître Esprit eſt étoient étoit fage faifoit fameux fans fecond fens fentiment feul foi-même foin foit font fouffrir fous fouvent François ftile fuis fuite fuiv fuivans fujet Gilles Boileau grace grans Hautile Heros homme Horace Ibid illuftre IMIT j'ai jour jufte Juvénal l'Abbé l'Auteur l'Epître laiffe Lettre Moliere Monfieur mourut Mufe n'avoit n'eft n'eſt n'étoit Nicolas Boileau Ouvrages paffage paffer Païs parler penfée penſée perfonne Phèdre Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëme Poëte poëtique Pradon premières éditions Prince qu'un Racine Raifon refte Regnier Remarque fur Rhin rimer s'eft Satire ſes ſon tems toûjours trifte vains Vertu yeux دو
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168 ÆäÀÌÁö - C'est pour elle, en un mot, que j'ai fait v©«u d'écrire. Toutefois , s'il le faut, je veux bien m'en dédire, Et , pour calmer enfin tous ces flots d'ennemis , Réparer en mes vers les maux qu'ils ont commis.
145 ÆäÀÌÁö - Assez et trop long-temps ma lâche complaisance De vos jeux criminels a nourri l'insolence; Mais, puisque vous poussez ma patience à bout, Une fois en ma vie il faut vous dire tout.
363 ÆäÀÌÁö - De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
127 ÆäÀÌÁö - S'en alla follement, et pensant être dieu, Courir comme un bandit qui n'a ni feu ni lieu ; Et, traînant avec soi les horreurs de la guerre, De sa vaste folie emplir toute la terre : Heureux, si de son temps, pour cent bonnes raisons.
147 ÆäÀÌÁö - Et ne savez-vous pas que , sur ce mont sacré , Qui ne vole au sommet tombe au plus bas degré; Et qu'à moins d'être au rang d'Horace ou de Voiture...
98 ÆäÀÌÁö - Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront de cris aigus frappé le voisinage, Qu'un affreux serrurier, laborieux Vulcain, Qu'éveillera bientôt l'ardente soif du gain, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête.
24 ÆäÀÌÁö - L'habit qu'il eut sur lui fut son seul héritage, Un lit et deux placets composaient tout son bien ; Ou, pour en mieux parler, Saint-Amant n'avait rien. Mais quoi ! las de traîner une vie importune, II engagea ce rien pour chercher la fortune, Et, tout chargé de vers qu'il devait mettre au jour, Conduit d'un vain espoir, il parut à la cour 5.
154 ÆäÀÌÁö - On ne sait bien -souvent quelle mouche le pique. Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis, Et qui, pour un bon mot, va perdre vingt amis.
146 ÆäÀÌÁö - Qu'étant seul à couvert des traits de la satire Vous avez tout pouvoir de parler et d'écrire. Mais moi qui dans le fond sais bien ce que j'en crois, Qui compte...
98 ÆäÀÌÁö - Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues D'un funèbre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents, Pour honorer les morts font mourir les vivants.