Lettres edifiantes et curieuses: ecrite des missions etrangères, 13±ÇChez Nicolas Le Clerc, 1718 |
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xviii ÆäÀÌÁö
... Ifles voisines . Pendant dix mois de féjour que les Miffionnaires firent dans cet- te Ifle , ils y donnerent une fi haute idée de leur vertu , que les habitans ne les en virent partir qu'avec un regret extrême xviij EPISTR E.
... Ifles voisines . Pendant dix mois de féjour que les Miffionnaires firent dans cet- te Ifle , ils y donnerent une fi haute idée de leur vertu , que les habitans ne les en virent partir qu'avec un regret extrême xviij EPISTR E.
67 ÆäÀÌÁö
... vertu d'une per- miffion folemnelle du Prince , c'est à fa parole que j'en appel- le , il s'eft engagé d'honneur à la conferver , & s'il la détruit les ruïnes de ce faint édifice fe- ront un témoignage éternel du fonds qu'on doit faire ...
... vertu d'une per- miffion folemnelle du Prince , c'est à fa parole que j'en appel- le , il s'eft engagé d'honneur à la conferver , & s'il la détruit les ruïnes de ce faint édifice fe- ront un témoignage éternel du fonds qu'on doit faire ...
70 ÆäÀÌÁö
... & une douceur charmante , il joint un zele vif & animé qui le rend infatigable ; & bien qu'il n'ait que trente ans , fa vertu le fait 10 fingulierement refpecter des Chreftiens . Ils fe rendirent l'un & 70 Lettres de quelques.
... & une douceur charmante , il joint un zele vif & animé qui le rend infatigable ; & bien qu'il n'ait que trente ans , fa vertu le fait 10 fingulierement refpecter des Chreftiens . Ils fe rendirent l'un & 70 Lettres de quelques.
155 ÆäÀÌÁö
... , fi elles fe pu- rifioient en pratiquant la vertu ; elles pouvoient après quelques tranfmigrations retourner au premier eftat dont elles eftoient déchuës . G vj Millionnaires de la C. de F. 155 plique à peu près de cette ma. ...
... , fi elles fe pu- rifioient en pratiquant la vertu ; elles pouvoient après quelques tranfmigrations retourner au premier eftat dont elles eftoient déchuës . G vj Millionnaires de la C. de F. 155 plique à peu près de cette ma. ...
161 ÆäÀÌÁö
... vertu ou le vice , ne fe fait pas au hazard , mais avec ordre , & il y a comme dif- ferens dégrez par où elles mon- tent ou defcendent pour estre recompensées ou punies . C'est ce que Platon fidèle difciple de Pythagore , enfeigne dans ...
... vertu ou le vice , ne fe fait pas au hazard , mais avec ordre , & il y a comme dif- ferens dégrez par où elles mon- tent ou defcendent pour estre recompensées ou punies . C'est ce que Platon fidèle difciple de Pythagore , enfeigne dans ...
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affez ainfi ames auffi auffi-toft avoient avoit efté baftir Baptefme baptifer beftes Brames brufler Brumma Buenos-ayres c'eft c'eftoit c'eſt Caftes Callao Cenfeur Chili chofes Chref Chreftiens Compagnie de JESUS converfion Corduba coûtume d'eftre diens Dieu Dieux Difciples difent differentes eftat efté Eftienne eftoient eftoit eftre Eglife enfans enfuite eſt eſtre facrifice faifoit faint falut fans fçavoir fe trouve feconde fecret felon femble fentiment feroit fervi feul fieurs fion foient foit fouffrir fous fouvent fuiv fujet furpris fyfteme gneur grace Ifles Indes Indiens Iroquois j'avois j'eftois Jefuites jours jufqu'à l'Eglife laiffer lieuës lorfque Maduré maiſtre Mandarin maniére Marava ment Miffion Miffionnaires n'eft Neophyte Néophytes noftre Onnontagué paffer Paraguay parens Pere perfonne Peuplade Philofophes phytes Platon plufieurs prefque premiere prières prifon Prince Pythagore raifons refte Religion réponſe Requeſte Routren s'eft Sault ſes tefte tion toft toûjours tranfmigrations Vichnou vifiter
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123 ÆäÀÌÁö - Dieux eux-mêmes sont obligés d'animer des corps pour se purifier , et pour faire pénitence dans ces prisons, pouvez-vous douter que les ames', après avoir commis des péchés dans une autre vie , ne soient pareillement obligées de demeurer dans les corps qu'elles animent , comme dans autant de prisons? Si ces corps naissent dans des Castes méprisables , s'ils sont sujets aux maladies et à d'autres infirmités, ou s'ils sont disgraciés de la nature, tout cela arrive , afin qu'elles puissent...
117 ÆäÀÌÁö - ... dégagée de son corps , prit le parti d'entrer dans celui du prince. La première chose que fit ce faux p'rince , fut de trancher la tête à son premier corps , afin qu'il ne prît point fantaisie à son maître de l'animer.
238 ÆäÀÌÁö - Ces lieux charmants me rappelèrent les idées que j'avais eues autrefois en lisant les Vies des anciens solitaires de la Thébaïde. Il me vint en pensée de passer le reste de mes jours dans ces forêts , où la Providence...
248 ÆäÀÌÁö - ... de tous les devoirs de la vie chrétienne; secondement, les exemples de ceux qui les gouvernent , en qui ils ne voient rien que d'édifiant; en troisième lieu, le peu de communication qu'ils ont avec les Européens. Comme on ne trouve dans le Paraguay ni mines d'or et d'argent, ni rien de ce qui excite l'avidité des hommes, aucun Espagnol ne s'est avisé de s'y établir ; et quand il arrive que quelqu'un prend...
231 ÆäÀÌÁö - BuenosAyres ; elle est sitnée dans un pays fertile et agréable, le long d'une rivière qui se jette dans le grand fleuve de la Plata. Je n'y demeurai que deux jours, après quoi je pris la route de Corduba. J'avois déjà marché pendant cinq jours , lorsque les guides qu'on...
265 ÆäÀÌÁö - ... toutes les familles de leur district, et ceux-ci les distribuent aussitôt aux familles , donnant à chacune plus ou moins , selon qu'elle est plus ou moins nombreuse. Il en est de même pour la distribution de la viande. On conduit tous les jours à la peuplade un certain nombre de b©«ufs et de moutons , qu'on remet entre les mains de ceux qui doivent...
64 ÆäÀÌÁö - ... surseoir l'exécution jusqu'à son arrivée. Il le fit , et dès que le premier ministre parut , je lui fis demander audience. Il m'envoya deux de ses principaux officiers pour me dire qu'il ne vouloit pas me parler, de crainte que le prince...
232 ÆäÀÌÁö - Santa-Fé , prenant bien garde à ne pas m'écarter du sentier qui me paroissoit le plus battu. Après trois grandes journées , je me trouvai à l'entrée d'un grand bois ; les traces que j'y remarquai me firent juger que c'étoit le chemin de Santa-Fé.
235 ÆäÀÌÁö - Espagnols ; l'on tue jusqu'à cent mille b©«ufs , et même davantage , suivant la grandeur et le nombre des vaisseaux. Ce qu'il y a d'étonnant, c'est que si l'on passe trois ou quatre jours après , dans les endroits où l'on a fait un si grand carnage , on n'y trouve plus que les ossemens de ces animaux.