étant bien peintes, & pourquoi, 166, 167. Peintres dont les figures font groffieres, 170. Ceux dont les tableaux laiffent à penfer, 202, 203. Penfées. Quel doit être le caractere des pensées ingénieufes, 9, 10. Penfées fauffes, 13 & fuiv. 31 & fuiv. 34 & fuiv. 39 & fuiv. 54 & fuiv. 71, 72, 74, 79, 80. Penfées badines & frivoles, 40, 41, 60, 61, 323 & suiv. 356 & fuiv. Penfées justes, 44, 45, 72. Il nẹ fuffit pas que les pensées foient vraies, 80, 83, 84. Penfées nobles, 84, 85, 88 & fuiv. baffes, 131, 132; fortes, 135 & fuiv. agréa bles, 141 & fuiv. naïves, 161 & suiv. délicates, 169 & fuiv. 176, 178, 181 & suiv. 186 & fuiv. ufées, 185 & fuiv. nouvelles, 186 & fuiv. coupées & mystérieuses, 202 & fuiv. naturelles, 240 & fuiv. affectées, 250 & fuiv. 259 & fuiv enflées & hardies, 263 & fuiv. 280 & fuiv. 294 & fuiv. pouffées trop loin, 305 & fuiv. raffinées, 334 & suw. 357&fuiv. Pourquoi les penfées doivent être claires, 375. Comment une pensée doit être claire, 432. Penfées obfcures, 375 & fuiv. 379 & fuiv. 397& fuiv. 401 & fuiv. En quoi elles reffemblent aux diamans, 427, 428. La pensée fert de peu fans l'expreffion, 432. Voyez Expreffion, Fiction. Perron, (Du) Cardinal: ce qu'il dit de Cicé ron & de Séneque, 323. Pétrarque: ce qu'il dit fur la mort de Laure; 347. Phébus: ce que c'eft que le phébus, & en quoi il differe du galimatias, 377. Exemples de phébus, 379 & fuiv. Philippe IV, Roi d'Espagne. Pensée outrée fur la mort, 275, 276. Voyez Sonnet. Platon. Voyez Cicéron, Valere Maxime. Plaute. Ce que Varron difoit du style de Plaute, Pline le jeune. Il exhorte Tacite à étudier jufque dans le temps de la chaffe, 150. Ce qu'il dit des Lettres d'un de fes amis, 151; fur l'Hiftoire de la guerre des Daces, qu'un de fes amis avoit entrepris d'écrire, 160; à Trajan, fur le nom de Pere de la Patrie, 173, 174; fur ce que le Nil ne fe déborda point une année, 174, 175, 193, 1945 fur ce que les particuliers poffédoient des maifons qui avoient appartenu aux Empereurs, 175; fur ce que Trajan fut adopté par Nerva, étant éloigné de Rome, 178 & fuiv. fur l'amour que Trajan avoit pour fes fujets, 234, 337 338. Ce qu'il dit d'un Sénateur devenu Profeffeur de Rhétorique, 251, 252. Sa penfée fur une de fes maifons de campagne, 252, 253. Ce qu'il dit pour flatter Trajan, comparé avec ce que dit Lucain pour Aatter Néron, 300, 301. Sa penfée fur la mort de Nerva, qui venoit d'adopter Trajan, 336. Il raffine quelquefois, 336, 337. Pline l'Hiftorien. Ce qu'il dit des Dictateurs Romains, 152, 153. Sa pensée fur les maifons où font les ftatues des Héros, & que des lâches habitent, 153. Ce qu'il dit de l'ufage des fleches, 153, 154; des excellens Peintres & fur leurs ouvrages imparfaits, 202, 203. Sa penfée fur la rouille que le fang fait venir au fer, 251. Plutarque. Son caractere, & le fentiment qu'il a eu de la penfée de Timée fur l'incendie du Pô, (Le) fleuve : ce qu'en dit un Poëte Ita- Poëme. Poefie. Poëtes. Voyez faint Louis, Ma- delaine. Quel eft le monde poétique, 11 & fuiv. A quelles regles les Poëtes font affujet- tis indifpenfablement, 13, 14. Quel eft le but de la Poéfie, 148. Quelque chofe de poétique dans la profe rend les penfées agréa- bles, 149 & fuiv. Ce que dit la Poéfie fur les grandes actions du Roi Louis XIV, 160. Quelles font les licences de la Poéfie, 290. Pointes. Ce que c'eft, & combien elles font vicieufes, 20 & fuiv. 41; fur-tout dans les fujets triftes & pathétiques, 326, 327. Polypheme. Voyez Homere. Pompée. Mot remarquable de Pompée, 55, Martial. Poftérité. La croyance de la postérité au regard હ Prédicateurs. Exemples de Prédicateurs frivo- Preti, Poëte Italien : ce qu'il dit fur l'ancienne Priere. Les Déeffes de la Priere, pourquoi boi- Proverbe. Caractere des proverbes en toutes Q. Quatrain fur l'incendie du Palais, 21, 22; Tur la Reine de Carthage, 45; fur l'étymologie du mot d'Alfana, 164; fur la mort de Colas, 165; fur le voyage & la prise de Marfal, 215; fur une jeune perfonne qui ne penfe point à la mort, 249, 250. Quévédo,, Poëte Efpagnol: fes réflexions fur l'aventure d'Orphée, qui alla chercher fa femme aux enfers, & qui la perdit en la ramenant, 192 & suiv. Quinte-Curce. Ce qu'il a fait dire à Amintas en préfence d'Alexandre pour fe difculper d'avoir fuivi le parti de Philotas, chef de la conjuration découverte, 191; à Sifigambis, mere de Darius, après la mort d'Alexandre, 235, 236. Quintilien. Ce qu'il dit de l'hyperbole, 24, 25, 287. Il fe moque des corrupteurs de l'élo- J Penfée de Sallufte fur Mithridate, 418. Voyez Quintilien, Séneque le Philofophe. Sannazar. Son Epigramme fur la ville de Venife, 88. Sa penfée fur une perfonne morte, 345, 346. Sapho, appellée la dixieme Mufe, 204, 205. Scrupuleufe dans les louanges qu'elle donne aux grands guerriers, 279, 280. Scaron. Ce qu'il dit d'uue femme Espagnole, 345. Ce qu'un favant homme a écrit fur la mort de Scaron, 347. Séneque le Philofophe. Ce qu'il dit des pensées ingénieufes, 16; de l'hyperbole, 24, 27, 29; fur les Héros maltraités de la fortune, 88, 89; fur l'incendie de Lyon, 107; d'une grande fortune, 157. Il répete trop une même penfée, 322 & fuiv. fon caractere opposé à celui de Cicéron, 323. Il a été appellé l'Ovide des Orateurs, & pourquoi, 322. Il a plus d'efprit que de jugement, 323, 324. Ce qu'on lui fait dire en mourant, 331. Ce qu'il trouve à redire dans Sallufte, 418. Voyez Cicéron, Pallavicin, du Perron. Séneque le Tragique. Ce qu'il fait dire à Médée dans fon défelpoir, 139; à Hécube fur le Roi Priam, 326; à Mégare contre le meurtrier de fa famille & l'ufurpateur de fon Royaume, 342, 343. Sentence. En quoi les fentences different des proverbes, 63. Sentences tirées de la nature, 75. De quelle forte doivent être les fentences que les Hiftoriens mêlent à la narration, 196. Définition burlefque de la fentence, 412. Sentimens nobles & généreux, 99.& fuiv. ten dres & délicats, 231 & fuiv. Sentiment de |