Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, 2±ÇVerdière, 1817 |
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... argent , richesse , Ni la gentillesse De ces grands seigneurs . Car pour nos labeurs Nous avons sans cesse Les beaux prés et fleurs , Fruitages , odeurs , Et joie à nos c©«urs , Sans mal qui nous COURS DE LITTÉRATURE . 3.
... argent , richesse , Ni la gentillesse De ces grands seigneurs . Car pour nos labeurs Nous avons sans cesse Les beaux prés et fleurs , Fruitages , odeurs , Et joie à nos c©«urs , Sans mal qui nous COURS DE LITTÉRATURE . 3.
47 ÆäÀÌÁö
... Seigneur ! MASSINISSE . Puisque vous me rendez le plus heureux des hommes ! Ma violente ardeur et le temps où nous sommes Ne me permettent pas de beaucoup différer . Cependant permettez que je prenne à mon aise Un honnéte baiser pour ...
... Seigneur ! MASSINISSE . Puisque vous me rendez le plus heureux des hommes ! Ma violente ardeur et le temps où nous sommes Ne me permettent pas de beaucoup différer . Cependant permettez que je prenne à mon aise Un honnéte baiser pour ...
98 ÆäÀÌÁö
... Seigneur , que faut - il que je sache ? Et quel est le secret que ce soupir me cache ? Ce soupir redoublé .... SERTORIUS . VIRIATE . N'achevez point : allez , Je vous obéirai plus que vous ne voulez . Et c'est le grand Corneille qui ...
... Seigneur , que faut - il que je sache ? Et quel est le secret que ce soupir me cache ? Ce soupir redoublé .... SERTORIUS . VIRIATE . N'achevez point : allez , Je vous obéirai plus que vous ne voulez . Et c'est le grand Corneille qui ...
109 ÆäÀÌÁö
... Seigneur , je l'en ferai descendre , Et j'irai l'attaquer jusque sur les autels Que lui dresse en tremblant le reste des mortels . Je ne doute pas que ces vers ne fussent applaudis par le parterre ; mais je crois qu'ils le furent moins ...
... Seigneur , je l'en ferai descendre , Et j'irai l'attaquer jusque sur les autels Que lui dresse en tremblant le reste des mortels . Je ne doute pas que ces vers ne fussent applaudis par le parterre ; mais je crois qu'ils le furent moins ...
111 ÆäÀÌÁö
... Seigneur , il peut , dans ce désordre extrême , Epouser ce qu'il bait et perdre ce qu'il aime . fli Et ces hommes que la passion laisse si peu maitres d'eux - mêmes sont pré- cisément ce qu'il nous faut dans la tragédie . On ne sait pas ...
... Seigneur , il peut , dans ce désordre extrême , Epouser ce qu'il bait et perdre ce qu'il aime . fli Et ces hommes que la passion laisse si peu maitres d'eux - mêmes sont pré- cisément ce qu'il nous faut dans la tragédie . On ne sait pas ...
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198 ÆäÀÌÁö - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
460 ÆäÀÌÁö - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours, (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,) Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
68 ÆäÀÌÁö - D'une simple vertu c'est l'effet ordinaire, Mille déjà l'ont fait, mille pourraient le faire ; Mourir pour le pays est un si digne sort, Qu'on briguerait en foule une si belle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu'on aime, S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur...
449 ÆäÀÌÁö - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
320 ÆäÀÌÁö - La peste de ta chute, empoisonneur, au diable! En eusses-tu fait une à te casser le nez ! PHILINTE.
217 ÆäÀÌÁö - Jéhu, sur les hauts lieux enfin osant offrir Un téméraire encens que Dieu ne peut souffrir, N'a , pour servir sa cause et venger ses injures , Ni le c©«ur assez droit, ni les mains assez pures. Non, non : c'est à Dieu seul qu'il nous faut attacher.
470 ÆäÀÌÁö - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet ; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet ; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.
69 ÆäÀÌÁö - Je l'envisage entier, mais je n'en frémis point : Contre qui que ce soit que mon pays m'emploie , J'accepte aveuglément cette gloire avec joie; Celle de recevoir de tels commandements Doit étouffer en nous tous autres sentiments.
236 ÆäÀÌÁö - Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre de fer veut être gouverné; Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime...
467 ÆäÀÌÁö - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.