Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, 2±ÇVerdière, 1817 |
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vi ÆäÀÌÁö
... sort des lettres et des arts , depuis la fin du siècle qui a suivi celui d'Auguste , jusqu'aux temps où le génie vit renaître de beaux jours sous les Médicis , et répandit ensuite sous Louis XIV cette éclatante lumière qui a rempli le ...
... sort des lettres et des arts , depuis la fin du siècle qui a suivi celui d'Auguste , jusqu'aux temps où le génie vit renaître de beaux jours sous les Médicis , et répandit ensuite sous Louis XIV cette éclatante lumière qui a rempli le ...
xviii ÆäÀÌÁö
... sort tout armée : et ce moment toujours iné- vitable , ne se fait pas même attendre long - temps . Enfin , tuerez- vous tous ceux qui sont capables de la dire ? Et qui a tué plus de monde que Robespierre ? Il n'a pas tué la vérité ...
... sort tout armée : et ce moment toujours iné- vitable , ne se fait pas même attendre long - temps . Enfin , tuerez- vous tous ceux qui sont capables de la dire ? Et qui a tué plus de monde que Robespierre ? Il n'a pas tué la vérité ...
4 ÆäÀÌÁö
... Sort ; Sort Fort Dur , Mais Très Str . Ces prétendus tours de force ne prouvent que la manie puérile de s'oc- cuper laborieusement de petites choses ; et l'on en peut dire autant des acrostiches et de toutes les belles inventions de ce ...
... Sort ; Sort Fort Dur , Mais Très Str . Ces prétendus tours de force ne prouvent que la manie puérile de s'oc- cuper laborieusement de petites choses ; et l'on en peut dire autant des acrostiches et de toutes les belles inventions de ce ...
18 ÆäÀÌÁö
... sort maître ; mais comme poëte bucolique , il a justifié l'éloge qu'en a fait Boi- leau , quand il a dit : Racan chante Philis , les bergers et les bois . Il a le premier saisi le vrai ton de la pastorale qu'il avait étudiée dans ...
... sort maître ; mais comme poëte bucolique , il a justifié l'éloge qu'en a fait Boi- leau , quand il a dit : Racan chante Philis , les bergers et les bois . Il a le premier saisi le vrai ton de la pastorale qu'il avait étudiée dans ...
20 ÆäÀÌÁö
... sort , C'est ici que j'attends la mort Sans la désire : ni la craindre . ( 1 ) Aujourd'hui ce ne serait pas trop la peine qu'un poëte fit remarquer qu'il vit loin de la cour ; mais il faut se souvenir que , du temps de Richelieu , tous ...
... sort , C'est ici que j'attends la mort Sans la désire : ni la craindre . ( 1 ) Aujourd'hui ce ne serait pas trop la peine qu'un poëte fit remarquer qu'il vit loin de la cour ; mais il faut se souvenir que , du temps de Richelieu , tous ...
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198 ÆäÀÌÁö - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
460 ÆäÀÌÁö - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours, (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,) Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
68 ÆäÀÌÁö - D'une simple vertu c'est l'effet ordinaire, Mille déjà l'ont fait, mille pourraient le faire ; Mourir pour le pays est un si digne sort, Qu'on briguerait en foule une si belle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu'on aime, S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur...
449 ÆäÀÌÁö - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
320 ÆäÀÌÁö - La peste de ta chute, empoisonneur, au diable! En eusses-tu fait une à te casser le nez ! PHILINTE.
217 ÆäÀÌÁö - Jéhu, sur les hauts lieux enfin osant offrir Un téméraire encens que Dieu ne peut souffrir, N'a , pour servir sa cause et venger ses injures , Ni le c©«ur assez droit, ni les mains assez pures. Non, non : c'est à Dieu seul qu'il nous faut attacher.
470 ÆäÀÌÁö - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet ; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet ; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.
69 ÆäÀÌÁö - Je l'envisage entier, mais je n'en frémis point : Contre qui que ce soit que mon pays m'emploie , J'accepte aveuglément cette gloire avec joie; Celle de recevoir de tels commandements Doit étouffer en nous tous autres sentiments.
236 ÆäÀÌÁö - Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre de fer veut être gouverné; Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime...
467 ÆäÀÌÁö - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.