Histoire de la comtesse de Gondez, 1±ÇChez la Veuve Pissot, 1751 - 700ÆäÀÌÁö |
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... . Fille de ce Héros qu'un Peuple Belliqueux * Jugea digne d'être fon Maître , Et que naître le Ciel avoit fait Pour rendre des Sujets heureux ... Les Polonnois , Ce début déja t'intereffe , Un fouvenir plein de ten- EPITRE .
... . Fille de ce Héros qu'un Peuple Belliqueux * Jugea digne d'être fon Maître , Et que naître le Ciel avoit fait Pour rendre des Sujets heureux ... Les Polonnois , Ce début déja t'intereffe , Un fouvenir plein de ten- EPITRE .
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Marguerite de Lussan. Ce début déja t'intereffe , Un fouvenir plein de ten- dreffe Te plait en t'arrachant des pleurs . Pour adoucir de fi juftes dou- leurs , Princeffe , contemple la gloire De ce Héros , cher à notre mé- moire ! Dont ...
Marguerite de Lussan. Ce début déja t'intereffe , Un fouvenir plein de ten- dreffe Te plait en t'arrachant des pleurs . Pour adoucir de fi juftes dou- leurs , Princeffe , contemple la gloire De ce Héros , cher à notre mé- moire ! Dont ...
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Marguerite de Lussan. fe donner le tems de choi fir . Il y avoit déja quelques mois que j'étois fortie du Couvent , lorfqu'un jour étant à la Meffe , je vis un jeune - Homme bien fait & dont l'air de Seigneur étoit plus attaché à fa ...
Marguerite de Lussan. fe donner le tems de choi fir . Il y avoit déja quelques mois que j'étois fortie du Couvent , lorfqu'un jour étant à la Meffe , je vis un jeune - Homme bien fait & dont l'air de Seigneur étoit plus attaché à fa ...
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... déja notre union comme une chose certaine , & me fai- foit valoir l'eftime qu'il di- foit que mon pere avoit pour lui . Quand il y avoit du monde dans mon appar tement , lui feul fçavoit A vj DE GONDEZ . II étoit fa maison, parloit fans ...
... déja notre union comme une chose certaine , & me fai- foit valoir l'eftime qu'il di- foit que mon pere avoit pour lui . Quand il y avoit du monde dans mon appar tement , lui feul fçavoit A vj DE GONDEZ . II étoit fa maison, parloit fans ...
15 ÆäÀÌÁö
... déja quelque tems que le Marquis de Monfrand venoit chez mon pere , lorfqu'un jour il me dit , avec cet air de con- fiance qui ne l'abandon- noit jamais , attendez - vous , Mademoiselle , les ordres d'un pere pour me laiffer comprendre ...
... déja quelque tems que le Marquis de Monfrand venoit chez mon pere , lorfqu'un jour il me dit , avec cet air de con- fiance qui ne l'abandon- noit jamais , attendez - vous , Mademoiselle , les ordres d'un pere pour me laiffer comprendre ...
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affez aimable amitié auffi avez avois avoit bleffe Brionfel c'eft c'eſt c'étoit Calemane chere Comteffe Cheva Chevalier de Fanime chofe c©«ur Comte connoître converfation craignois d'efprit deffein déja difcours Difen Difenteuil dis-je douleur Durand efprit eftime eſt êtes étoit faifoit fans doute fçai fçavoir fenfible fenteuil fentimens fentis feroit fervi feule fienne fieur de Gondez fituation foibleffe foins foit fouhaite foupçons fouper fouvent frere fuis heureuſe homme j'ai j'aurois j'avois j'étois jours l'eftime laiffer long-tems lorf lorfque m'avoit m'en Madame de Venne Madame de Venneville Mademoiſelle de Juffi maniere Marquife Marquis de Monfrand ment Monfieur de Gondez mouvemens n'eft n'eſt paffer paffion parler penfer pere perfonne perfuadé plaifir plaifirs pouvoit prefque raifon reçûs refpect refter repliquai-je reux Souville teffe tems tendreffe teuil tion toû toûjours tremblois trouve valier venoit vifite vûë
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178 ÆäÀÌÁö - Caleinane, à vous inftruire & à vous faire des regles de conduite, en réfléchiflant fur des faits hiltoriques, je crois que le récit de mes aventures vous fera d'une petite utilité. Je ne fuis, ni bon à imiter, ni même imitable. Le Comte de Difenteuil, moins charitable que fon Oncle , vous a parlé de moi , je le vois bien , comme d'une efpece de fou dont le férieux...