Omne vafer vitium ridenti Flaccus amico, nisannya Tangit, & admiffus circum pracordia ludit, Callidus excuffo populum fufpendere nafo. Men' mutire nefas, nec clam, nec cum fcrobe? Nufquam. Hic tamen infodiam. Vidi vidi ipfe, libelle: De fes traits dans fes vers vivement redoublez, Cet Horace nouveau dans fa fine Satire Je ne l'envirai point à son esprit malade. Ces Midas ne font pas les Lecteurs que je veur. Sordidus lufco qui poffit dicere, lufce, Sefe aliquem credens, Italo quod honore fupinus Fregerit heminas Areti edilis iniquas: Nec qui abaco numeros, & fecto in pulvere metas Seit rififfe vafer, multum gaudere paratus, Si Cynico barbam petulans Nonaria vellat. His manè edictum, post prandia Callirhoën do. Finis Satyra primæ, Ces brutaux, ces groffiers qui ne favent jamais D'un voile adroit & fin enveloper leurs traits. Loin ces fades cenfeurs dont toute la fcience Se renferme à l'orgueil d'une illuftre naiffance, Et qui tirent d'un rang qui leur done crédit Le droit de décider des ouvrages d'efprit. Loin ces baudets oififs qu'on voit avec audace Railler l'ingenieur qui calcule & qui trace', Et rire quand Catin court d'un air éfronté Et va prendre à la barbe un pédant infulté. Qu'ils aillent tous ces fous chercher une amuzéte Le matin au Palais, le foir chez la Grizéte, Fin de la premiere Satyre. Varia hominum vota ut impia & levia infe quæ à Deo petenda funt docet.. Єtatur, & UNC, Macrine, diem numera meliore lapillo, Qui tibi labentes apponit candidus annos, Funde merum Genio, non tu prece pofcis emaci Qua nifi feductis nequeas committere Divis At bona pars procerum tacita libebit acerra, Haud cuivis promptum eft, murmurque humilefque fu furros Tollere de templis, & aperto vivere veto. |