Oeuvres de Fénelon: précédés d'une notice sur sa vie et sur ses écrits, 1±Ç

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284 ÆäÀÌÁö - France, il n'ya plus à délibérer : l'unique gloire que les bons Français peuvent souhaiter au roi est que, dans cette extrémité, il tourne son courage contre* lui-même, et qu'il sacrifie tout généreusement, pour sauver le royaume que Dieu lui a confié. Il n'est pas même en droit de le hasarder ; car il l'a reçu de Dieu , non pour l'exposer à l'invasion des ennemis , comme une chose dont il peut faire tout ce qu'il lui plaît, mais pour le gouverner en père, et pour le transmettre comme...
437 ÆäÀÌÁö - J'ai reçu la condamnation de mon livre avec la simplicité la plus absolue. Je n'ai jamais été un seul moment en ma vie, sans avoir pour la personne du Roi la plus vive reconnaissance, le zèle le plus ingénu, le plus profond respect et l'attachement le plus inviolable.
203 ÆäÀÌÁö - Accordez à tous la tolérance civile, non en approuvant tout comme indifférent, mais en souffrant avec patience tout ce que Dieu souffre , et en tâchant de ramener les hommes par une douce persuasion.
318 ÆäÀÌÁö - Dauphin; il ya déjà quelque ( anuscr.) )} tenips gue je crains pOur lui un sort funeste. » Si Dieu n'est plus en fureur contre la France, » il reviendra; mais si la fureur de Dieu n'est » point apaisée , il ya tout à craindre pour sa » vie. Je ne puis rien demander; je tremble sans » qu'il me soit permis de prier. Mandez-moi la » suite de sa maladie; vous savez comme je m'y «intéresse; hélas! hélas! Seigneur, regardez» nous en pitié ». Quelques symptômes un peu moins alarmans firent...
401 ÆäÀÌÁö - En elle tout est action, et tout est repos. Nous voudrions imaginer un Dieu si éloigné de nous , si hautain et si indifférent dans sa hauteur, qu'il ne daigne pas veiller sur les hommes, et que chacun, sans être gêné par ses regards, puisse vivre sans règle , au gré de son orgueil et de ses passions. En faisant semblant d'élever Dieu de la sorte, on le dégrade : car on en fait un Dieu indolent sur le bien et sur le mal , sur le vice et sur la vertu de ses créatures , sur l'ordre et sur...
44 ÆäÀÌÁö - De cet abîme sortit un prince affable, doux, humain, modéré, patient, modeste, pénitent, et, autant et quelquefois au delà de ce que son état pouvait comporter, humble et austère pour soi.
199 ÆäÀÌÁö - Ses manières y répondaient dans la même proportion, avec une aisance qui en donnait aux autres, et cet air et ce bon goût qu'on ne tient que de l'usage de la meilleure compagnie et du grand monde, qui se trouvait répandu de soi-même dans toutes ses conversations...
396 ÆäÀÌÁö - ... sont inséparables, l'homme doit à Dieu des cérémonies réglées et publiques ; mais ces cérémonies ne sont point l'essentiel de la religion, qui consiste' dans l'amour et dans les vertus. Ces cérémonies sont instituées, non comme étant L'effet essentiel de la religion , mais seulement pour être les signes qui servent à la montrer, à la nourrir en soi-même, et à la communiquer aux autres.
103 ÆäÀÌÁö - Cambrai avec un c©«ur plein de soumission, de zèle, de reconnoissance et d'attachement sans bornes pour le Roi. Ma plus grande douleur est de l'avoir fatigué et de lui déplaire. Je ne cesserai aucun jour de ma vie de prier Dieu qu'il le comble de ses grâces. Je consens à être écrasé de plus en plus. L'unique chose que je demande à Sa Majesté, c'est que le diocèse de Cambrai, qui est innocent, ne souffre pas des fautes qu'on m'impute. Je ne demande de protection que pour...
186 ÆäÀÌÁö - ... ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il...

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