TABLE SOMMAIRE. O PREMIERE LETTRE, N fait voir que Celfe & Lanci fi, dont les autorités ont fervi de fondement à l'opinion de l'incerti tude des fignes de la mort, ont penJé tout le contraire; que cette opinion eft trop injurieufe à la Méde cine pour être vraie; & que malgré le nombre d'approbations qu'on a données à la Differtation de M. 'Bruhier, on peut regarder la quef tion qu'il a traitée comme indé cife, LA SECONDE LETTRE, Page r A vérité des faits que M. Bruhier rapporte peut être contestée. En Les fuppofant tous vrais, les nus prouvent directement la certitude des fignes de la mort ; & les exemples multipliés des perfonnes qui ont couru le rifque d'être enterrées vivantes ne prouvent pas l'incertitude de ces fignes, pag. 33. L TROISIEME LETTRE. Es coutumes des anciens peuples à l'égard des défunts, font · peu favorables à l'opinion de M. -Bruhier. Le luxe & la vanité des furvivans ont été le feul motif de la confervation des corps chez les Romains. Jamais ils n'ont penfe que le tems qu'ils laifoient écouler entre le jour de la mort & celui de la fepulture, pût fervir à s'affurer fi la mort étoit réel. Leurs procédés à l'égard des corps qu'ils gardoient étoient auffi meurtriers, que l'auroit été la précipitation des enterremens 2 pag. 74. QUATRIEME LETTRE. Signes caractéristiques de la mort qui difpenfent d'attendre la pour riture des corps, pag. 115. CINQUIEME LETTRE D Angers qu'il y auroit à confera ver les corps jufqu'à la putré faction, pag. 160. SIXIEME LETTRE. Examen du Reglement projetté par M. Bruhier au fujet des en terreme ns, MEMOIRE pag. 192 Où l'on détermine par plufieurs exa périences quelle eft la vraie caufe de la mort des Noyés, p. 2234 A VIS Publié en 1740. par ordre du Ro |