pour le maintien de fa doc- trine, 262.& fuiv. Arnauld, fa Lettre à M. Perrault, où il défend la di- xiéme Satire de Boileau con- tre cet Auteur, 34. Remerci- ment que lui en fait Boileau. 369. Diflertation de M. Ar- naud contre le Traducteur des Confeffions de Saint Augu- ftin, 341. Il avoit la vûë fort foible fur la fin de fes jours,ibid.
Arrangement des paroles, combien il contribue au Su- blime, 26. 109. & fuiv. Art, Deux chofes à quoi il faut s'étudier quand on traite d'un Art, 2. S'il y a un Art du Sublime, 7. Quel eft le plus haut degré de perfection de l'Art, 72.. Ce que nous confidérons dans les Ouvra. ges, 102 Art poëtique de Boileau, a été traduit en Portugais, 3 14. fi c'eft une traduction de la Poëtique d'Horace,
Afrate dans les Enfers 251. Preuve qu'il en appor- ibid. Aftrée, Roman d'Honoré d'Urfé, 221. Suite de ce Ro- ibid. Athéniens, Froide exclama- tion de Timée à l'occafion des Atheniens qui étoient prison- niers de guerre dans la Si-
cile, Avarice, Baffeffe de cette
Aubignac (l'Abbé d' ne nie point qu'Homere ne foit l'auteur de l'Iliade & de l'odyflée, 137. Dans les der- nieres années de fa vie il tom- ba dans une espéce d'enfan-
Anfidius Lufcus, critiqué
Aurelian Empereur, fa lettre à la Reine Zenobie pour la porter à fe rendre v. Il la fait prifonniere, vij Auteurs, utilité qu'ils peu- vent tirer de la cenfure de leurs amis, 129. Ridicule d'un auteur médiocre, qui critique les plus célébres Au- teurs 137. Précaution des Auteurs qui ont cenfuré Ho- mere & quelques autres an- ciens, 155. Noms de certains Auteurs eftimés dans leur tems, & qui ne le font plus aujourd'hui, 168. Seule rai fon qui doit faire estimer les Auteurs tant anciens que mo- dernes, 172. Le droit de les critiquer eft ancien, & a paf- fé en coutume 258. & fuiv. en quel cas un Auteur peut en critiquer un autre fans être accufé de médisance, 364
te & lui attribue, 179. & suiv. Bellay (du) eftime qu'on avoit autrefois pour fes Ou- vrages, Bernier, fait une Requête
pour l'Univerfité fous le mo-
déle de l'Arrêt burlesque de
Boileau,
262. Rem.
Bezons Confeiller d'Etat
Prédeceffeur de Boileau dans
P'Académie Françoife, 274.
Rem.
Bien quel eft, felon Dé-
mofthéne, le plus grand bien
qui nous puifle arriver, 8.
Biens méprifables & qui
n'ont rien de grand, 23
Blondel Médecin d'où
vient felon lui la vertu du
Quinquina, 264. Rem.
BOILEAU DESPREAUX, En
quel tems il donna au Public
La traduction de Longin, &
dans quelle vûe il la fit, iij.
Il étoit fujer à l'Afthme ou à
une difficulté de refpirer, 132.
331. Rem. En quelle année &
comment il fut reçu à l'Aca-
démie Françoife
, 274. Son
art Poëtique traduit en Por- tugais, 14. Il avoit peine à entendre fur tout de l'oreille gauche, 331. Rem. Sujet de fon Epitre, X. 39. Ses enne- mis difoient que fon art Poë tique eft une traduction de la Poëtique d'Horace, Boileau (Gilles ) de l'Aca émie Françoife, 134 Boivin, fes Remarques dur 1.&uiv. Boffu Le Pere le ) Eloge de fon Livre fur le poëme Epi- 142
Bouillon, Méchant Poëte
298. & fuiv.
Brutus devenu Poëte, & amoureux de Lucréce dans les Enfers, 243
Cafuifle, on doit toujours écrire ce mot avec deux s. 178.
Cecilius, fon origine & fa capacité 2. Livre compofé par cet Auteur fur le Subli me, ibid. Injuftement préve nu contre Platon en faveur de Lyfias
Ciceron comparé avec Dé- mofthéne, 47. La Lettre à Pa-
pyrius au fujet de la modeftie & de la pudeur, & en quoi elle confifte 347 Circonftances, choix & amas des plus confidérables, com- bien avantageux pour le Su- blime,
Clelie, Roman de Made moiselle de Scuderi critiqué, 223. & suiv. 238. & suiv. Cléoméne palage d'Hero- dote touchant ce furieux, 87 Clitarque, fes défauts, Comédie, Dangers qui fe rencontrent dans la Comé- 353
Corps, Defcription merveil- leufe du corps humain par Platon, 89. A quoi les corps doivent leur principale excel- lence, 112. Sagefle de la Na- ture dans leur formation, 120 Courtois, Mêdecin, aimoit fort la faignée, 264. Acte de fon oppofition au bon fens à lui donné par Arrêt du Par- naffe,
Cyrus Roman critiqué, 232. & fuiv. Critique de la Tragédie de Cyrus de Qui-
Acier, fes Notes fur Lon-
à longue queue dans Homere, Din, comment difpofées Comparaifons mal appellées
162. &fuiv. Ufage des com paraifons dans les Odes & les dans cette édition, xiv. Quand Poëmes Epiques, 163 parurent pour la premiere fois, Compofition, qualités que xvij. doit avoir la compofition d'un Ouvrage pour le rendre par- fait Elle eft comme , 109. l'harmonie d'un Difcours, 111 Conde, Ce qu'il dit en enten- dant lire un endroit du Traité du Sublime, 23
Confeffions de S. Augustin traduites en François, 341 Contempler, ce verbe à l'Im- peratif comment fe doit écri- 178
Coré, critique fur le fens de 19 Corneille, (Pierre) Eloge de ce grand Poëte,171. 320. Rai- fons pourquoi les Ouvrages de ce Poëte ne font plus fi bien reçus, 171. Exemple de fu blime tiré de fon Horace, xvj. 199. Autre exemple tiré de fa Medée, 200. Auteurs dont il a tiré les plus beaux traits dé fes Ouvrages, 320 Cornu.(La) infâme dé.
Déclamation, ridicule d'une déclamation paffionnée dans un fujet froid, 14. IS
Déeffe des ténébres, comment dépeinte par Hefiode, ; 1. fi ce n'eft pas plûtôt la trifteffe ibid. Rem.
Défauts, rien de plus in- fupportable qu'un Auteur mé diocre, qui ne voïant point fes défauts, en veut trouver dans les plus célébres Ecrivains, 137 Démofthene, Belle Sentence de cet Ŏrateur 19. comparé avec Ciceron, .fon ferment en apoftrophant les Atheniens, 63. Difcours fublime quoi que fimple de cet Orateur 67. Figure qu'il emploie dans fon Oraifon contre Ariftogi ton, 81. fon fentiment fur l'ufage des Métamorphofes,
87. Comparaifon de cet Ora- teur avec Hyperide, 95. fes défauts & fes avantages, Denyau, Médecin nioit la circulation du fang, 264. Rem.
Denys d'Halicarnaffe cenfeur de Platon en certaines cho- fes
Denys le Tyran, pourquoi 156 chafle de fon Roïaume, Denys Phocéen, Hyperbate qui fait la beauté de fa haran- gue aux Ioniens,
Defcartes, Eloge des Ou vrages de ce Philofophe, 319 Diaforme, quelle figure, 1c8 Dieu, Il n'y avoit rien de véritablement fublime en Dieu que lui-même, 210. La foi- bleffe humaine eft obligée de fe fervir d'expreffions figurées pour le louer, ibid.
Dieux, avec quelle magni- ficence dépeints par Homere 31. 32. 33. Dans les appari sions des Dieux tout fe mou- voit & trembloit felon les Païens, 58 Diogene offre fon fervice á Pluton, 231 Dircéfon hiftoire, Difcorde. Defcription de cette Déeffe, felon Homere, 30. Prife mal-à-propos pour la Renommée,
Difcours, quelle en eft la fouveraine perfection, 5. Dif. ficulté qu'il y a de bien ju- ger du fort & du foible d'un Difcours, 23. Difcours diffus à quoi propre 47. Compa- raifon d'un Difcours avec le corps humain
fiées, 182. Les épithétes en- Epithetes d'Homere jufti- 183. L'épithète de Grand tout richiffent beaucoup la Poëfie fimple ne fe donne jamais qu'aux Conquérans ou aux Saints
de l'Antiquité,
Erafme, grand admirateur
fon Erigone,
Eratofthene, exactitude de
94 Ericeyra, Le Comte d' Lettre à ce Comte fur fa tra- duction en Vers Portugais de Art Poëtique de Boileau, 314 avantages & fes défauts, $7 Eschyle Poëte Grec, fes venir Orateur, pourquoi ? 122 Esclave, incapable de de grands efprits quand ils com- Esprit A mufement des mencent à décliner, 34. 39. Vafte étendue de l'efprit de l'homme 99. ass décadence des Efprits, 120,
Dubois, de l'Académie Fran- çoise, tour qu'il joua à M. de Maucroix, 340. Rem. Dunois, amoureux de la Pu- celle d'Orleans,
&fuiv. Etna, Montagne de Sicile, jerte des pierres, &c. Eumée, natif de Syros, 147 Eupolis, Poëte Comique,63 Euripide, Poëte Grec, fon talent & fes défauts, 54. 115.
Fils, autrefois en Grèce le fils ne portoit point le nom de fon pere,
Fleurs, comment appellées, 21. Rem.
Flute, différence de celle des Anciens d'avec celle d'au- jourd'hui, 12. 13. Rem. Ef fet du fon de cet inftrument,
férens effets, Exorde, en quoi confifte la beauté de l'Exorde, 135. Mal comparé au frontifpice d'un Palais, ibid.
Expreffion, ce qui en fait la noblefle, 8. Defaut le plus capable de l'avilir,
Fordinairement dans le Autes, on y tombe plus
Grand que dans le Médiocre, 92. Fautes dans le fublime excufables 101 Femmes appellées le mal des yeux Févre,(Tannegui le ) Pro. feffeur à Saumur ix Figures de deux fortes, 26. Leur ufage pour le fublime ibid. & 62. Befoin qu'elles ont d'en être foutenues, 65. Il n'y a point de plus excellente fi- gure que celle qu'on n'apper- çoit point 66. Mélange de plufieurs figures enfemble, 67, Ne les emploïer qu'à propos & dans les grandes paffions, 88. Elles perdent le nom de figures, quand elles font trop
Gelais (Saint) pourquoi les Ouvrages de ce Poëte font tou- jours eftimés,
Godean, caractere de fa Poë
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