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de fa déclamation, III. 314. Bernin. (Cavalier) Sa fontaine de la place Navonne à Rome, I. 474.

Bernoulli étudie les Mathématiques, & y fait de grands progrès, malgré fes parens, II. 30.

Bellijaire demandant l'aumône: fujet d'un tableau peint par Vandick, II. 381.

Bêtes. Ce qu'on doit penfer de l'opinion que ce font des machines, II, 527.

Boccalin, après avoir écrit fçavamment fur l'art de gouverner, ne fçait pas commander dans une petite ville, II. 332.

Boece. Paffage où il dit qu'on écrivoit en notes la déclamation auffi-bien que le chant mufical, III. 73.

Boesbeck, Ce qu'il dit de la maniere dont on traite les chevaux en Bithynie, II. 5 23.

Boulanger Jéfuite. Son ouvrage fur le théâtre des Anciens, III.

205.

Bouffole connue dès le treiziéme fiécle, combien elle a perfectionné la navigation, II. 441. Boyle Anglois, inventeur de

CAFFE'. Quel eft l'effet qu'il peut produire dans ceux qui en ufent, II. 279.

Calcophonos. Sorte de pierre curieuse à l'usage des Comédiens.

la machine pneumatique, II. 449.

Broffard a donné des explications très-juftes, des ouvrages que les Anciens ont compofés fur l'harmonie, Ill. 4. Il explique dans fon Dictionnaire les modes de la mufique des Anciens, III. 94.

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Bruit eft plus propre que le filence à calmer une imagination agitée, I. 437.

Briennius nous apprend comment fe compofoit la mélopée, qui n'étoit qu'une fimple déclamation, III. 70. & fuiv. Et comment elle s'écrivoit en notes, III. 73.

Brun. (Le) Combien son tableau du maffacre des Innocens attendrit fans affliger réellement, I. 28. Avec quelle attention il a obfervé le coftumé dans fes tableaux de l'Hiftoire d'Alexandre, I. 250. Combien il excellé dans l'expreffion & la poëfie pittorefque, I. 260.

a

Burette. Ce qu'il a écrit touchant le rithme des Anciens, III. 31. a traité de la mélodie dithyrambique: III. 81,

On hafarde d'expliquer le passage de Pline où il en eft parlé, III.

200.

Caligula aimoit la faltation avec fureur, III. 214.

Tome III.

V v

Calliachy Candiot. Son erreur touchant l'art des Pantomimes, qu'il prétend plus ancien qu'Augufte, III. 271.

Canacée. Tragédie Italienne de Speroné Speroni, comment l'Auteur a justifié le choix de fon fujet, 1. 114.

Cantiques. Explication de ce terme, III. 174. Comment on les déclamoit, III. 175.

Capella. Ce qu'il dit de la mélopée des Anciens, III. 56. & fuiv.

Capitaine. Qualités qui le rendent propre au commandement,

II. 7.

Capitulaires défendent aux Comédiens de prendre des habits eccléfiaftiques fur le théâtre, III. 294. Et de jouer le Dimanche pendant le fervice, III. ibid.

clamation, III. 98.

Caffiodore fait une description curieufe de l'art du geste dans une de fes lettres, III. 224. Il marque ce que les Anciens entendoient par mufique muette: III. ibid. En quoi il s'eft trompé fur les geftes d'inftitution, III. 225. Comment il définit les Pantomimes, III. 277.

Catalans. Ceux d'aujourd'hui, en apportant dans le pays une langue & des mœurs différentes de celles des anciens habitans, n'ont pu s'empêcher de retenir les inclinations de ces derniers, II. 250.

Caufes morales ont beaucoup favorifé les arts en certains fiécles, II. 128. Les causes phyfiques, telles que font les libéralités des Princes, y ont auffi beauCarache. Son jugement fur deux coup contribué, II. 138. Comtableaux du Guide & du Domini- ment les caufes morales concouquain, II. 1 1 3 & 114. rent aux progrès furprenans des Caramalus. Pantomime illuf- arts & des lettres, II. 178. Comtre, III. 265. ment elles procurent leur décadence, II. 179.

Carmen. Les Anciens entendoient par ce mot la mélodie de la déclamation, III. 95. & 98. Il comprenoit, outre le vers, quelque chofe d'écrit au-deffus du vers, pour prefcrire les inflexions de voix qu'il falloit faire, III. 9 6. Quelques Auteurs anciens on donné improprement ce nom à des vers qui ne fe chantoient pas, III. 97. Originairement c'étoit le mot propre qui fignifioit la dé

Céfar. Son grand génie pour le commandement des armées, II.

537.

Chanmeflée. (La) Succès avec lequel elle récita le rôle de Phédre, III. 303.

Chant Ambrofien n'avoit que quatre notes qu'on appelle les autentiques, III. 157. Le chant Grégorien a huit modes appellés Plagaux, III. 158. Il furpaffe en

beauté le chant Ambrofien, III. ibil. Tous les connoiffeurs admirent la beauté de la Préface & des autres chants de l'Office Grégorien, III. 302. Le terme de chanter fignifie fouvent chez les Grecs & les Romains une déclamation qui n'étoit point un chant mufical, III. 100. & fuiv.

Chapelain. Paralléle de fon poëme de la Pucelle avec l'Iliade d'Homere, II. $17.

Charles I. Roi d'Angleterre. Sa paffion pour la peinture, II.

146.

Charles IX. Roi de France. Bon mot de ce Prince fur les Poëtes, II. 98. Les vers qu'il compofa pour Ronfard, II. 160. On fe porta fous fon regne aux actions les plus dénaturées, II. 301.

Chaulieu. ( Abbé de) Beauté de la poëfie de fon ftyle, I. 269. Ses vers font harmonieux & nombreux, I. 322. & fuiv.

Chevaux. Il n'y en avoit point en Amérique, quand les Efpagnols la découvrirent, II. 263. Ils y ont dégénéré en certains endroits, & font devenus plus par faits dans d'autres contrées, II. 264. Diversité de leur naturel fuivant les différens pays, II. ib. Les difcours que les Poëtes leur font adreffer par des hommes, révoltent les modernes, II. s 22. Ces difcours convenoient au tems auquel ces Poëtes écrivoient, II. ib. Ils font encore d'ufage dans le

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Chiffres Arabes font d'un grand fecours pour l'Algébre & l'Aftronomie, II. 460.

Chinois ont découvert la poudre à canon, & l'Imprimerie avant les Européans, II. 1 5o. Ces derniers ont appris à leurs Akronomes à calculer les éclipfes, II. ib. Leur peu de goût pour les tableaux d'Europe, II. 155. Ils ont chez eux des Pantomimes, III. 284.

Chironomie. Nom dont les Anciens fe fervoient fouvent pour fignifier l'art du gefte, III. 211.

Chours. On y dansoit, même dans les endroits les plus tristes de la Tragédie, III. 238. Ces danfes ne reffembloient pas à nos ballets, III. 239. Erreur dans laquelle font tombés à ce sujet quelques Critiques, III. 2 3 8. De quelle nature étoient les danfes des chœurs, III. 239. Ces chœurs, étoient exécutés par de bons Acteurs, III. 240. Effet surprenant des chœurs d'Efchyle, ibid. Nous ne devons pas juger des choeurs des Anciens par les nôtres, III. 239. Ces chœurs compofés de cinquante perfonnes, furent réduits à quinze ou vingt, III. 240. Les chœurs des Opéra qui ont imité le jeu muet des chœurs des Anciens, ont réuffi, ibid.

Ciceron veut qu'on foit inspiré d'une espéce de fureur pour faire des vers, II. 14. Réputation

qu'ont acquis fes ouvrages, II. 416. Il improuve l'ufage des Orateurs qui mouloient leur gefte, fur celui qu'on enfeignoit aux gens de théâtre, Ill. 223. Difputoit quelquefois avec Rofcius, à qui exprimeroit mieux une même pensée, l'un par fes gestes, & l'autre par le discours, III. 228. Sujet de fon Oraifon pour Rofcius, célebre Comédien, III. 248.

Le Cid. Piéce que le public a longtems admirée, avant que les Poëtes en vouluffent convenir, II. 374. Vers de Defpréaux fur le fuccès de cette piéce, II. 396. Cette piéce traduite par Rutter Anglois, II. 5 10. On n'en doit pas juger fur cette traduction, ib. Il y a des fautes dans le Cid, mais il plaît avec ses defauts, ibid. La critique de l'Académie a fait voir méthodiquement en quoi confiftoient ces défauts qu'on connoiffoit déja par fentiment, H. 427.

Cimabué fait renaître la peinture en Italie dans le treiziéme fiécle, II. 168.

Circulation du fang. Progrès de cette découverte, II. 451. Quoique démontrée, plusieurs Sçavans ne laiffent pas de la combatre encore, II, 45 2. Elle a fervi à Perrault pour découvrir la circulation de la féve dans les arbres & les plantes, II. 454.

Climats. Leur diverfité met une grande différence dans les inclinations & les mœurs, II. 244. Ils

font plus puissans que le fang & l'origine, II. 257. Les climats chauds énervent l'efprit comme le corps, II. 277. Les denrées des climats chaudscommuniquent leur vertu aux peuples du Nord, II. 279. Des régions à la même diftance du pole, peuvent avoir des climats différens, II. 281.

Coeffures. Par celle des femmes Romaines on connoît en quel tems ces femmes ont vécu, II.

201.

Cœur humain a une difpofition naturelle à être ému par tous les objets, I. 37. & 38.

Colbert. (Jean-Baptifte) Eloge de ce Miniftre, II. 137. & fuiv.

Coloris. S'il eft préférable au deffein & à l'expreffion, I. 464. Les perfonnes d'un sentiment oppofé ne s'accorderont jamais fur ce point, I. 466. Le talent du coloris eft affecté à certaines écoles, II. 66.

Comédie. Les personnages des Comédies doivent reffembler par toutes fortes d'endroits au peuple pour qui on les compose, I. 150. Térence & Plaute n'ont pas suivi cette regle, I. 152. Pour quelle raifon, I. 15 3. Le but de la Comédie eft de nous corriger des défauts qu'elle joue, I. 150. Ses fujets doivent être pris d'entre les événemens ordinaires, I. ibid. & fuiv. Le public rejette depuis quelques années toutes les Comédies compofées dans des

mœurs étrangeres, I. 1 60. & fuiv.
Son fujet doit être à la portée de
tout le monde, I. 163. Chaque
pays doit avoir fa maniere propre
de réciter la Comédie, I. 409.
Ses fujets ne font point encore
épuisés,I. 221. Il faut être né
avec le génie de la Comédie pour
difcerner de nouveaux caracteres,
I. 226. Qualités qu'on doit avoir
pour faire de bonnes Comédies,
II. 108. Les Romains en avoient
de quatre genres différens, III.

I 30.

Comédiens. Le jeu des Comé-
diens Italiens paroîtroit une dé-
clamation de poflédés à des spec-
tateurs qui n'auroient jamais vu
jouer que des Comédiens An-
glois, III. 160. Les Comédiens
anciens avoient des écoles pour
apprendre le gefte propre au
théâtre, & ils excelloient dans
cette partie, III. 2 32. Dès qu'ils
fe négligeoient un peu, les fpecta-
teurs les redreffoient, III. 237.
Ils étoient en grande confidéra-
tion chez les Anciens, III. 253.
Quoiqu'exclus chez les Romains
de l'état de Citoyen, ibil. Ce
qui les a rendus plus odieux, c'eft
la profanation qu'ils ont fait au-
trefois des chofes faintes, III.
294. Les Etats de Blois s'oppo-
fent à l'établiffement des Comé-
diens Italiens à Paris, III. 295.
Compofiteur de mufique ;
qu'il faut qu'il faffe pour plaire,
I. 443.

ce

Compofitions. Exemples de plu-
fieurs compofitions ingénieuses
des anciens Peintres & Sculp-
teurs, I. 359. & fuiv. Ce qu'on
entend par compofition pittoref-
que, & compofition poëtique d'un
tableau, I. 2 5 6. & suiv.

Condé. Ce nom fervira dans la
fuite à défigner un grand Capitai-
ne, II. 224.

Contempteurs des Anciens, leur
petit nombre, II. 492. Hs vou-
droient affocier à leurs dégoûts les
autres Sçavans, ibid. Ils ne font
pas recevables dans leurs juge-
mens, II. 49 3.

Corneille a fouvent péché con-
tre l'Hiftoire dans fes Tragédies,
I. 241. Défauts dans fes dernie-
res piéces, II. 88. Le premier
Poëte François dont les ouvrages
ayent été traduits en une autre
langue, II. 174 Il trouva le théâ-
tre François tout barbare, II.
176. En quel fens on peut dire
que fa verfification eft mauvaise,
II. 361.

Cornelius Nepos. Jugement qu'il
porte des Grecs, II. 132.

Correge. (Le) Comment il de-
vint fi fameux Peintre, III. 40
171. Ce qui lui arriva en voyant
un tableau de Raphaël, II. 49.
eft le premier qui ait ofé peindre
des figures en racourci dans des
plafonds, II. 172.

11

Coftumé. Combien il eft cffen-
tiel aux Peintres de le bien ob-
ferver, I. 245. & fuiv.

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