Philosophes et comédiennesLecou, 1855 - 344페이지 |
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... bras de Platon , est aussi bizarre que la chanson . La lyre y alterne avec le tambour de basque , la plainte avec la roulade , le rire avec le sanglot . Ce- pendant les deux accents finissent toujours par se ren- contrer et se confondre ...
... bras de Platon , est aussi bizarre que la chanson . La lyre y alterne avec le tambour de basque , la plainte avec la roulade , le rire avec le sanglot . Ce- pendant les deux accents finissent toujours par se ren- contrer et se confondre ...
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... bras rotu- riers les Hercules de cette noblesse condamnée qui n'avait pas travaillé selon ses vues , à dédorer toutes les nuits un blason superbe sous le frottement de leur mule de satin rose . L'alcôve de mademoiselle Clairon , c'est ...
... bras rotu- riers les Hercules de cette noblesse condamnée qui n'avait pas travaillé selon ses vues , à dédorer toutes les nuits un blason superbe sous le frottement de leur mule de satin rose . L'alcôve de mademoiselle Clairon , c'est ...
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... bras de Bagnolé l'étu- diant ! car lui - même , en d'autres rencontres , a tourbil- lonné dans des chœurs , enlaçant ces adorables prêtresses des passions qui portent dans l'âme le sentiment de la poésie des hommes et dans le regard l ...
... bras de Bagnolé l'étu- diant ! car lui - même , en d'autres rencontres , a tourbil- lonné dans des chœurs , enlaçant ces adorables prêtresses des passions qui portent dans l'âme le sentiment de la poésie des hommes et dans le regard l ...
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... bras et l'appuyai sur mon cœur . Elle s'éloigna de moi sans se courroucer : Monsieur de Voltaire , je me destine au théâtre , c'est ma dernière ressource , car je n'ai plus ni père ni mère ; mais avant de débuter il faut que je prenne ...
... bras et l'appuyai sur mon cœur . Elle s'éloigna de moi sans se courroucer : Monsieur de Voltaire , je me destine au théâtre , c'est ma dernière ressource , car je n'ai plus ni père ni mère ; mais avant de débuter il faut que je prenne ...
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... bras de la mar- quise . Comme vous dites , madame , reprit - il , ce ne fut pas sans prières , sans combat et sans larmes . Ah ! qu'elle était belle dans sa défense , avec ses cheveux épars , ses yeux si doux , ses joues tour à tour ...
... bras de la mar- quise . Comme vous dites , madame , reprit - il , ce ne fut pas sans prières , sans combat et sans larmes . Ah ! qu'elle était belle dans sa défense , avec ses cheveux épars , ses yeux si doux , ses joues tour à tour ...
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Abeilard adieu aimait allait amant Amaranthe amoureux Aspasie avez Bagnolé baiser beau beauté belle bergère bohémiens bonne bras c'était çà chambre chanter charmant château chemin cheval ciel cœur comédie Comédie-Française comédienne Constant d'Aubigné Cornille Schut Coucy d'Aubigné Daniel Seghers Daphné Dieu dire dit-elle Élisabeth enfants Est-ce êtes femme figure Gabrielle Gacé George Arnault Hector homme j'ai Jacques Callot jamais jeta joie jolie jour l'amour Langevy larmes Lignon Louis XIV madame d'Averne madame d'Urtis madame de Parabère MADAME DE POMPADOUR madame Deshoulières Madeleine mademoiselle Clairon mademoiselle de Livry mademoiselle Gaussin mademoiselle Guimard Maillefer main maître marquise Martial monde monsieur Montluzun mort mourir n'avait NINON DE LENCLOS passer passion pauvre Pécoul peintre philosophie Platon pleurer poésie poëte portrait prit Raoul regard régent rêve roses Rouvray s'écria sais Scarron sculpteur seule sire de Fayel soir soleil souper sourire tableau Téniers théâtre triste veux voilà Voltaire voulait voulut voyant yeux
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17 페이지 - ... ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles; Ces deux lustres de diamants Qui pendent à vos deux oreilles; Ces riches carcans, ces colliers, Et cette pompe enchanteresse, Ne valent pas un des baisers Que tu donnais dans ta jeunesse.
17 페이지 - Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie ; Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine ; Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine ; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles...
47 페이지 - Ce n'est pas moi qu'on applaudit, C'est vous qu'on aime et qu'on admire | Et vous damnez , charmante Alzire, Tous ceux que Gusman convertit.
36 페이지 - Qui ostera aux muses les imaginations amoureuses, leur desrobera le plus bel entretien qu'elles ayent et la plus noble matière de leur ouvrage ; et qui fera perdre à l'amour la communication et service de la poésie, l'affoiblira de ses meilleures armes...
18 페이지 - Que les agréments de ton âge, Un cœur tendre, un esprit volage, Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux, Et, que l'amour me le pardonne, Tu sais que je t'en aimais mieux.
54 페이지 - Gaussin avait la plus belle tête, la voix la plus touchante ; son ensemble était noble, tous ses mouvements avaient une grâce enfantine à laquelle il était impossible de résister, et elle ne résistait pas non plus; mais elle était mademoiselle Gaussin dans tout.
9 페이지 - De la maîtresse tant jolie Dont j'étais si fort entêté. Il rit de cette perfidie, Et j'aurais pu m'en courroucer : Mais je sais qu'il faut se passer Des bagatelles dans la vie.
18 페이지 - Ah ! madame, que votre vie, D'honneurs aujourd'hui si remplie. Diffère de ces doux instants ! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du temps : On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris ; Sous vos magnifiques lambris, Ces enfants tremblent de paraître. Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre Et se jouer dans ton taudis.
18 페이지 - D'honneurs aujourd'hui si remplie, Diffère de ces doux instants! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du Temps: On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris; Sous vos magnifiques lambris Ces enfants tremblent de paraître. Hélas! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a...
66 페이지 - Mademoiselle , je m'étais toujours bien douté que cette petite fille que je vis entrer il ya six mois dans ma chambre avec une robe trop courte , et qui se mit à pleurer je ne sais pas bien pourquoi , était aussi spirituelle qu'elle en avait la mine.