Philosophes et comédiennesLecou, 1855 - 344ÆäÀÌÁö |
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4 ÆäÀÌÁö
... mère ; mais avant de débuter il faut que je prenne des leçons . Vous connaissez mademoiselle Lecouvreur ? J'interrompis la jeune fille . Mademoiselle Lecouvreur , comme toutes les grandes comédiennes , n'a pris de leçons que de son c©«ur ...
... mère ; mais avant de débuter il faut que je prenne des leçons . Vous connaissez mademoiselle Lecouvreur ? J'interrompis la jeune fille . Mademoiselle Lecouvreur , comme toutes les grandes comédiennes , n'a pris de leçons que de son c©«ur ...
5 ÆäÀÌÁö
... mère est morte , et où je dois plus de quatre - vingts écus . Aussi Dieu sait toutes les insultes qu'il me faut subir faute d'argent . - Je ne vous en donnerai pas , lui dis - je , par une bonne raison : c'est que si je vous en donne ...
... mère est morte , et où je dois plus de quatre - vingts écus . Aussi Dieu sait toutes les insultes qu'il me faut subir faute d'argent . - Je ne vous en donnerai pas , lui dis - je , par une bonne raison : c'est que si je vous en donne ...
28 ÆäÀÌÁö
... mère féconde de la sagesse et de la vertu . C'est avec de telles compagnes de voyage que Platon part pour les régions idéales de sa République . III Platon bannissait les Muses , parce que les Muses étaient les courtisanes de l'esprit ...
... mère féconde de la sagesse et de la vertu . C'est avec de telles compagnes de voyage que Platon part pour les régions idéales de sa République . III Platon bannissait les Muses , parce que les Muses étaient les courtisanes de l'esprit ...
31 ÆäÀÌÁö
... mère fortunée . Je croyais à l'oracle et non au mensonge . Ce- pendant ce dieu qui a chanté mon bonheur et m'a pré- dit toutes les joies de l'hyménée , ce dieu est le meurtrier de mon fils . Rayons des poëmes d'Homère tous les vers ...
... mère fortunée . Je croyais à l'oracle et non au mensonge . Ce- pendant ce dieu qui a chanté mon bonheur et m'a pré- dit toutes les joies de l'hyménée , ce dieu est le meurtrier de mon fils . Rayons des poëmes d'Homère tous les vers ...
41 ÆäÀÌÁö
... mère commune , nous ne connais- sons pas ces odieuses distinctions . L'égalité d'origine nous soumet aux mêmes lois et nous élève aux mêmes droits . L'intelligence et la vertu seules sont nos titres au pou- voir . Pour la liberté , nous ...
... mère commune , nous ne connais- sons pas ces odieuses distinctions . L'égalité d'origine nous soumet aux mêmes lois et nous élève aux mêmes droits . L'intelligence et la vertu seules sont nos titres au pou- voir . Pour la liberté , nous ...
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Abeilard adieu aimait allait amant Amaranthe amoureux Aspasie avez Bagnolé baiser beau beauté belle bergère bohémiens bonne bras c'était çà chambre chanter charmant château chemin cheval ciel c©«ur comédie Comédie-Française comédienne Constant d'Aubigné Cornille Schut Coucy d'Aubigné Daniel Seghers Daphné Dieu dire dit-elle Élisabeth enfants Est-ce êtes femme figure Gabrielle Gacé George Arnault Hector homme j'ai Jacques Callot jamais jeta joie jolie jour l'amour Langevy larmes Lignon Louis XIV madame d'Averne madame d'Urtis madame de Parabère MADAME DE POMPADOUR madame Deshoulières Madeleine mademoiselle Clairon mademoiselle de Livry mademoiselle Gaussin mademoiselle Guimard Maillefer main maître marquise Martial monde monsieur Montluzun mort mourir n'avait NINON DE LENCLOS passer passion pauvre Pécoul peintre philosophie Platon pleurer poésie poëte portrait prit Raoul regard régent rêve roses Rouvray s'écria sais Scarron sculpteur seule sire de Fayel soir soleil souper sourire tableau Téniers théâtre triste veux voilà Voltaire voulait voulut voyant yeux
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17 ÆäÀÌÁö - ... ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles; Ces deux lustres de diamants Qui pendent à vos deux oreilles; Ces riches carcans, ces colliers, Et cette pompe enchanteresse, Ne valent pas un des baisers Que tu donnais dans ta jeunesse.
17 ÆäÀÌÁö - Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie ; Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine ; Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine ; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles...
47 ÆäÀÌÁö - Ce n'est pas moi qu'on applaudit, C'est vous qu'on aime et qu'on admire | Et vous damnez , charmante Alzire, Tous ceux que Gusman convertit.
36 ÆäÀÌÁö - Qui ostera aux muses les imaginations amoureuses, leur desrobera le plus bel entretien qu'elles ayent et la plus noble matière de leur ouvrage ; et qui fera perdre à l'amour la communication et service de la poésie, l'affoiblira de ses meilleures armes...
18 ÆäÀÌÁö - Que les agréments de ton âge, Un c©«ur tendre, un esprit volage, Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux, Et, que l'amour me le pardonne, Tu sais que je t'en aimais mieux.
54 ÆäÀÌÁö - Gaussin avait la plus belle tête, la voix la plus touchante ; son ensemble était noble, tous ses mouvements avaient une grâce enfantine à laquelle il était impossible de résister, et elle ne résistait pas non plus; mais elle était mademoiselle Gaussin dans tout.
9 ÆäÀÌÁö - De la maîtresse tant jolie Dont j'étais si fort entêté. Il rit de cette perfidie, Et j'aurais pu m'en courroucer : Mais je sais qu'il faut se passer Des bagatelles dans la vie.
18 ÆäÀÌÁö - Ah ! madame, que votre vie, D'honneurs aujourd'hui si remplie. Diffère de ces doux instants ! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du temps : On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris ; Sous vos magnifiques lambris, Ces enfants tremblent de paraître. Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre Et se jouer dans ton taudis.
18 ÆäÀÌÁö - D'honneurs aujourd'hui si remplie, Diffère de ces doux instants! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du Temps: On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris; Sous vos magnifiques lambris Ces enfants tremblent de paraître. Hélas! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a...
66 ÆäÀÌÁö - Mademoiselle , je m'étais toujours bien douté que cette petite fille que je vis entrer il ya six mois dans ma chambre avec une robe trop courte , et qui se mit à pleurer je ne sais pas bien pourquoi , était aussi spirituelle qu'elle en avait la mine.