Je les vois encore à cette apparition subite tomber toutes à la fois à ses pieds, les inonder de pleurs, essayer des paroles , ne trouver que des sanglots ; puis , enhardies par nos consolations , nous raconter toutes ensemble leurs communes douleurs. Mélanges de philosophie et de littérature - 11 ÆäÀÌÁö1805Àüüº¸±â - µµ¼ Á¤º¸
| 1818 - 664 ÆäÀÌÁö
...aperçurent la compassion sur un visage « humaia. Je les vois encore, à cette apparition subite, s tomber toutes à la fois à ses pieds, les inonder de pleurs, i< essayer des paroles, ne trouver que des sanglots; puis, « enhardies par nos consolations , raconter... | |
| François-Antoine comte de Boissy d'Anglas - 1819 - 436 ÆäÀÌÁö
...émotion ; »"et, pour la première fois sans doute, ces infortunées » aperçurent la compassion sur un visage. Je les vois :» encore à cette apparition...fois à ses pieds , les inonder de pleurs , essayer de« » paroles , ne trouver que des sanglots ; puis , enhar» dies par nos consolations , raconter... | |
| François-Antoine comte de Boissy d'Anglas - 1819 - 424 ÆäÀÌÁö
...première fois sans doute, ces infortunées » aperçurent la compassion sur un visage. Je les voi* » encore à cette apparition subite , tomber toutes à la » fois à ses pieds , les inonder de pîenrs , essayer de* » paroles , ne trouver que des sanglots ; puis , enhar» dies par nos consolations... | |
| Emilien Frossard - 1835 - 376 ÆäÀÌÁö
...première fois sans doute , ces infor•n tunées aperçurent la compassion sur un visage humain. « Je les vois encore , à cette apparition subite ,...« des paroles , ne trouver que des sanglots ; puis , enhar« dies par nos consolations , raconter toutes ensemble leurs « communes douleurs ! Hélas... | |
| Charles Coquerel - 1841 - 572 ÆäÀÌÁö
...pour la première fois sans doute ces infortunées aperçurent la compassion sur un visage humain. Je les vois encore à cette apparition subite tomber...des sanglots ; puis , enhardies par nos consolations , nous raconter toutes ensemble leurs communes douleurs. Hélas , tout leur crime était d'avoir été... | |
| Girault de Saint-Fargeau - 1847 - 950 ÆäÀÌÁö
...pour la première fois sans doute, ces infortunées aperçurent la compassion sur un visage humain. Je les vois encore, à cette apparition subite, tomber...trouver que des sanglots ; puis, enhardies par nos consolai ions , raconter toutes ensemble leurs communes douleurs. Hélas ! tout leur crime était d'avoir... | |
| F. Em. di Pietro - 1849 - 574 ÆäÀÌÁö
...la première fois sans doute, ces « infortunées apercurent la compassion sur un vi« sage humain. Je les vois encore, à cette apparition « subite,...trouver » que des sanglots , puis, enhardies par nos conso« lations, raconter toutes ensemble leurs communes « douleurs ! Hélas ! tout leur crime était... | |
| Abraham Borrel - 1856 - 510 ÆäÀÌÁö
...pour la première fois sans doute, ces infortunées aperçurent la compassion sur un visage humain. Je les vois encore , à cette apparition subite, tomber...pieds, les inonder de pleurs , essayer des paroles et ne trouver que des sanglots ; puis , enhardies par nos consolations, raconter toutes ensemble leurs... | |
| Ernest Alby - 1858 - 264 ÆäÀÌÁö
...pour la première fois sans doute, ces infortunées aperçurent la compassion sur un visage humain. Je les vois encore à cette apparition subite tomber...des sanglots ; puis, enhardies par nos consolations, nous raconter toutes ensemble leurs communes douleurs. Hélas! tout leur crime était d'avoir été... | |
| François Puaux - 1863 - 390 ÆäÀÌÁö
...fois sans doute, ces infortunées aperçurent la compassion sur un visage humain. Je les vois encore a cette apparition subite, tomber toutes à la fois...pieds, les inonder de pleurs, essayer des paroles et ne trouver que des sanglots; puis enhardies par nos consolations, raconter toutes ensemble leurs... | |
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