De ce que l'on vient de me dire Oh bien, je viens vous affurer qu'il ne tiendra qu'à vous que nous ne foyons bichtoft heureux tous deux. MONCADE. Hé comment ? ERASTE. Je vous promets, fi vous voulez, d'employer tout le credit que j'ay fur elle pour la faire ERASTE. Il y a de certaines gens qu'on feroit mieux de pas aimer avec de pareils fentimens. MONCADE. ne C'eft ce que je voulois voir. ERASTE. Vous perdez le fens. MONCADE. Je ne vois pas que c'en foir une bonne mår. que de ne vouloir point fe marier? ERASTE. Adieu, Moncade, vous ne ferez peut-eftre pas toujours ny fi, habille, hy fi heureux. MONCADE. Nous verrons.... Parbleu cela eft plaifant, dans un autre temps j'euffe peut-eftre accepté le party, mais apres le trait que fa four vient de me jouer.... S SCENE X. MONCADE, PASQUIN PASQUIN. Raiment vous eftes fort exact, je viens de chez Belize. MONCADE. Paix. MONCADE. Donne-moy le miroir, écoûte, ma tabatiere, attends, approche ce fauteuil; hay mon écritoire, non, donne-moy un peigne, ailons donc te dépefcheras-tu. PASQUIN.. Dites-moy donc auparavant ce que vous .voulez ? MONCADE. Je ne fçay,je veux m'affeoir, Madame Leonor, Madame I conor, vous m'avez joué d'un tour. |